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1970 Carnet d'un Passionné

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  • La voiturette d'Elford







    Et Pedro en bonne compagnie

    Avant c'était mieux

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    • CAMERAT reprend du poil de la bête  

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      • 30 AOUT

        CANAM Du RIFFIFI A ROAD AMERICA

        Une semaine plus tard le tout petit monde de la CAN AM se retrouve sur le superbe circuit d'ELKHART LAKE où va se jouer une pantomime grand-guignolesque...Comme d'habitude Denis HULME a signé la pole ( GETHIN une nouvelle fois décevant seulement 6ème) et va s'envoler en tête. Mais c'était sans compter sur les aléas de la course, en la personne d'un attardé qui expédia l'invincible McLAREN du néo-zélandais hors la piste et lui faisant caler son moteur. Immédiatement Denis fit signe aux commissaires qu'il n'avait pas besoin de leurs services pour relancer sa machine, mais ceux-ci dans un excès de zèle s'empressèrent de pousser son bolide ce qui évidemment entraîna de facto son exclusion. Celui-ci fou furieux à sa descente de voiture fit des déclarations peu amènes envers les organisateurs et la CAN AM en général, dont il estime (a-t-il tort ?) que le niveau n'est pas à la hauteur. Tout ceci fait les affaires de son équipier GETHIN qui peut ainsi s'imposer pour la première fois d'autant plus facilement que les rares meilleurs challengers des McLAREN, REVSON et MOTCHENBACHER ont abandonné.

        Le joli cadre de ELKHART LAKE n'a pas apaisé le courroux de l"ours" Denny


        Peter GETHIN vainqueur par défaut pour McLAREN



        Pour faire plaisir à quelqu'un.. Pedro et sa monture qu'il n'a semble-t-il pas ménagée (7ème)

         

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        • ZANDVOORT TOURISME
          Doublé ALFA mais....

          L'adage nul n'est prophète en son pays s'est une nouvelle fois avéré exact...Toine HEZEMANS large leader du championnat était sur le papier le vainqueur certain de cette manche courue dans son jardin. Si une ALFA GTam passa bien la ligne d'arrivée en vainqueur ce ne fut pas la sienne mais celle du jeune Gianluigi PICCI qui au NURBURGRING n'avait pas brillé aux côtés de DE ADAMICH. Là sur un terrain plus à sa mesure, il montra ses qualités même si cette victoire internationale ne lui offrit pas une suite de carrière fructueuse. Une autre ALFA passa la ligne en seconde position avec FACETTI à son volant alors que HEZEMANS lui avait disparu suite à une sortie de piste. Son principal challenger SOLER-ROIG (BMW ALPINA) n'étant pas là, cette déconfiture n'eut pas de grande influence sur le classement du Championnat dont il demeure un large leader. Une fois de plus les CAPRI se montrèrent peu véloces ( GLEMSER 7ème) et les MAZDA si brillantes à SPA étant absentes, c'est une BMW ALPINA 2002 TI ( FURTMAYR) qui monta sur la 3ème marche du podium.

          Au départ HEZEMANS aux avants postes...


          La chute...



          PICCI au coude à coude avec une autre ALFA et la BMW de STENZEL


          Les CAPRI toujours à la traîne

           

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          • Je n'ai rien à rajouter à votre bon reportage, mes revues préférées ont ignoré cette course.
            Avant c'était mieux

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            • SALZBURG et ANDERSTORP
              LA F2 BICEPHALE

              Encore plus fort...La F2 ne cessera donc pas d'impressionner (rançon de son succès ???). Une semaine seulement après avoir quitté la Sicile et le même weekend, les uns sont en Autriche à SALZBURG pour le Festpielpreis ( allez entendre MOZART et le FORD BDA en même temps... quel pied !!!), les autres en Suède au MANTORP PARK. C'est dire si il y a de la ressource dans cette discipline , car rassurez-vous, bien que, ni l'une ni l'autre n'entrent dans le Championnat d'Europe, ces deux épreuves ont chacune un plateau de qualité jugez en:

              Coté Suédois 23 participants dont les TECNO de REGAZZONI et CEVERT les BRABHAM de SCHENKEN-MAZET-STOMMELEN-WESTBURY-ATTWOOD et la COOMBS confiée cette fois à la vedette locale Jo BONNIER ainsi que PETERSON et sa MARCH. Côté autrichien 19 partants dont évidemment l'idole local Jochen RINDT accompagnée de Graham HILL ainsi que FITTIPALDI et leurs LOTUS, les BMW de ICKX-SIFFERT et QUESTER et bien sure des BRABHAM, celle de REUTEMANN ainsi que des frères Ernesto et Vittorio BRAMBILLA. PYGMEE est également présente avec JABOUILLE-DEPAILLER et DAL BO, seul manque à l'appel d'un côté comme de l'autre, l'ex leader du Championnat, le britannique Derek BELL qui ménage ses forces bien conscient qu'il va falloir affronter une difficile fin de saison face à ses concurrents.

              SALZBURG: ICKX vainqueur, RINDT héroïque

              Tout d'abord sur le toboggan autrichien réputé pour ses hautes vitesses et ses courses à l'aspi, surprise aux essais puisque c'est la BRABHAM de Ernesto BRAMBILLA qui décroche la pole devant le duo BMW ICKX-SIFFERT. Courue en deux manches, au départ de la première, immense déception pour le public local, sa vedette Jochen RINDT casse son moteur sur la grille de départ; heureusement il pourra en changer et prendre le départ de la seconde manche courue deux heures plus tard. Pendant ce temps la meute s'est envolée emmenée par les BRABHAM de Ernesto BRAMBILLA et REUTEMANN, suivies de près par les BMW de ICKX et SIFFERT et tout le peloton, seules les PYGMEE sont d'entrée à la traîne. Le phénomène d'aspiration fonctionnant parfaitement, les dépassements et re-dépassements ne cessèrent tout au long des 25 tours de cette première manche, seuls les abandons et incidents clarifiant les rangs. REUTEMANN d'abord sortit sur l'huile perdue par FITTIPALDI, Ernesto BRAMBILLA en fit de même lui aussi mais réussit à finir la course avec une voiture passablement rectifiée, alors que ICKX dans un dernier effort coiffait tout le monde au poteau. Les 6 premiers (ICKX-Vittorio BRAMBILLA-FITTIPALDI-QUESTER-HILL-PERROT) se tenant en deux secondes. SIFFERT cassait son moteur sur la ligne d'arrivée et finissait 7ème.

              La seconde manche allait voir un formidable exploit de RINDT pour ce qui devait être sa toute dernière course. Parti dernier avec un nouveau moteur, il remonta une première fois aux avants postes puis suite à une turpitude du peloton, toujours aussi groupé, il se retrouva à nouveau à la queue à quelques tours de l'arrivée et réussit par un tour de passe-passe magique à s'imposer finalement dans cette seconde manche au nez et à la barbe de ICKX qui certes ne lui opposa pas une résistance farouche fort de son résultat de la première manche lui assurant la victoire finale. Vittorio BRAMBILLA 5ème de cette manche finissait second au général devant QUESTER et FITTIPALDI.

              Départ de la première manche RINDT immobilisé sur la grille de départ


              Changement de moteur. Jochen garde le sourire et va en faire un très bon usage pour ce qui sera sa dernière course



              La surprise des essais Ernesto BRAMBILLA et sa BRABHAM BT30


              Seconde manche: ICKX emmène la LOTUS de RINDT en pleine remontée devant HILL

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              • MANTORP: CEVERT en chef de fil TECNO

                Changement total de décor. Si le SALZBURGRING était un pur circuit de vitesse dans un environnement vallonné, celui de MANTORP PARK est un tourniquet genre Mickey Mouse dans une morne plaine...Pourtant ce ne fut pas WATERLOO puisque grâce à François CEVERT c'est la Marseillaise qui retentit ( je pense, car je n'y étais pas...). Ici à l'inverse de l'Autriche c'est la tenue de route qui compte et à ce jeu il s'avère que les TECNO sont les meilleures, REGAZZONI ayant décroché la pole avec la sienne à radiateurs latéraux et CEVERT le second temps toujours sur sa classique. Une fois de plus la course comportait deux manches avec addition des temps pour le classement final. Incontestablement elle fut bien moins disputée que l'autrichienne car dès le départ REGAZZONI l'anticipant, se voyait infliger une pénalité d'1 minute et même si sur le terrain c'est lui qui mena pour l'essentiel, avec un tel handicap c'était mission impossible. De toute façon une crevaison à 4 tours de l'arrivée le relégua un peu plus au fond du classement. CEVERT qui le suivait, loin devant les autres, assura la victoire de la marque italienne dans cette première manche devant STOMMELEN-SCHENKEN-ATTWOOD. WISELL au volant de la peu véloce jusque là, CHEVRON F2 se classait à une probante 5ème place. Pour la seconde manche la grille ne tenait compte que des temps des essais. Le duo TECNO repartait donc devant les autres et cette fois REGAZZONI mena de bout en bout mais avec un écart insuffisant pour empêcher son coéquipier français de l'emporter...cocorico 2ème victoire en F2 pour CEVERT après celle de REIMS en 1969. STOMMELEN 3ème de cette seconde manche était donc second au général, SCHENKEN, IKUSAWA et WESTBURY étaient classés au général dans cet ordre. BONNIER sur la BRABHAM COOMBS ne se distingua guère en finissant certes 5ème au général, mais surtout grâce aux abandons notamment de ses compatriotes PETERSON et WISELL.

                François CEVERT sur la plus haute marche du podium en manque depuis plus d'un an.


                Les deux TECNO sur la première ligne



                STOMMELEN ( BRABHAM) le meilleur des autres


                PETERSON contemple certainement avec envie l'invincible TECNO


                BONNIER une expérience sur la BRABHAM COOMBS peu concluante


                A l'inverse de WISELL sur la CHEVRON F2


                 

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                • Belle photo couleur de Stommelen, merci.
                  Avant c'était mieux

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                  • SAMEDI 5 SEPTEMBRE

                    J'étais avec un copain aussi passionné que moi et nous étions entrain de mettre au point la transformation de la LOTUS 49 miniature de la marque SAFIR CHAMPION pour en faire une 72 ( je vous rassure on n'y est pas arrivé...), lorsqu'en branchant le transistor pour les infos et connaître le résultat des essais du GP d'Italie, j'ai entendu la terrible nouvelle de l'accident de Jochen RINDT. Mon copain s'étant absenté et lui étant un supporter invétéré de l'équipe de CHAPMAN, quand je lui ai appris la nouvelle il n'a jamais voulu me croire....C'était trop irréaliste et pourtant la vérité était bien là. Le champion autrichien qui devait être couronné avait bien perdu la vie à l'entrée de la "Parabolica"

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                    • 6 SEPTEMBRE
                      GP D'ITALIE F1
                      FERRARI et REGAZZONI ....mais comment oublier ?


                      Pour ma part, je dois dire que la mort de Jochen RINDT a donné à ce GP d'ITALIE un caractère totalement secondaire et j'avoue avoir été choqué devant ma télé, de l'enthousiasme non contenu des tifosi mais surtout de celui de Clay REGAZZONI qui n'a pas manqué de savourer copieusement sa belle victoire. Il est vrai qu'à l'époque je n'étais pas vraiment fan de la Scuderia, mon cœur penchant nettement vers FORD ( et donc STEWART) qui avait enfin mis un terme à l'hégémonie italienne au MANS...Depuis la sagesse due à l'âge, m'a imposé une certaine neutralité...

                      Revenons à ce triste GP. La première conséquence de ce drame fut le forfait de toutes les LOTUS engagées même celle de Rob WALKER. Colin CHAPMAN fort de sa sinistre expérience après la terrible catastrophe de 1961 lorsque la LOTUS de Jim CLARK tua plusieurs spectateurs après s'être accrochée avec VON TRIPS, préféra prendre la poudre d'escampette afin de na pas être immédiatement jeté dans une prison italienne. L'enquête sur l'accident de RINDT démontrera que la mauvaise installation des rails de sécurité a tout autant provoqué la mort du pilote qu'une défaillance mécanique, ce qui le déculpabilisera que beaucoup plus tard, obligeant les LOTUS à ne pas participer officiellement au GP de 1971 malgré la présence de FITTIPALDI et de la LOTUS à turbine.

                      Bien entendu le GP d'ITALIE constituant pour FERRARI un évènement incontournable et suite à son triomphe autrichien, la Scuderia alignait son équipe au grand complet avec son trio ICKX-REGAZZONI-GIUNTI et la traditionnelle visite du Commendatore le vendredi. ALFA-ROMEO ne voulant pas être en reste, avait demandé à l'équipe McLAREN, qu'une seconde voiture soit alignée équipée d'un moteur maison pour son pilote NANNI GALLI aux côtés de DE ADAMICH. TYRRELL avait bien apporté sa dernière œuvre, mais préféra, à part quelques ronds aux essais, la laisser dans les garages et privilégier les régalages spécifiques pour MONZA de ses MARCH.
                      Sans grande surprise, Ickx réalise la pole position mais il ne devance que de deux dixièmes Rodríguez, dont la BRM se montre de nouveau performante grâce à son V12. Regazzoni est troisième devant Stewart qui s'intercale devant Giunti. Oliver est sixième au volant de la seconde BRM. Siffert est septième devant Brabham, Hulme et Surtees. On remarque les bonnes performances de Cevert (11ème) et de Adamich (13ème). En revanche les Matra déçoivent énormément: Beltoise et Pescarolo ne sont que quinzième et seizième. Amon a cassé son moteur et utilise à la place un mauvais bloc si poussif qu'il ne parvient pas à se qualifier, mais à cause du forfait des trois Lotus, lui ainsi que Eaton et Schenken sont réintégrés sur la grille bien que eux aussi non qualifiés.

                      Cent mille tifosi ont fait le déplacement pour encourager les Ferrari. Cinq pilotes prennent le départ sans leurs ailerons: Stewart, Cevert, Rodríguez, Oliver et Peterson, car c'est bien connu à MONZA à l'époque dépourvu de toute chicane, la course se fait à l'aspiration et en peloton entraînant des dépassements incessants et où la pointe de vitesse plus que la tenue de route est l'élément primordial.

                      Le départ est donné alors que seules les cinq premières lignes de la grille sont en place et Ickx conserve sa première place devant Rodríguez. Suivent Stewart et Regazzoni. Surtees reste scotché à sa place car sa batterie est à plat. Puis Regazzzoni double Stewart. Siffert perd quatre places aux profits de Brabham, Cevert, Beltoise et Pescarolo. Les douze premiers roulent en peloton. Surtees parvient enfin à s'élancer mais il n'effectue que quelques centaines de mètres car son alimentation électrique est hors d'usage.

                      Commence alors le traditionnel chassé croisé où les places de chacun changent même plusieurs fois par tour aussi vais-je m'en tenir à l'essentiel pour résumer cette course et notamment les abandons et incidents qui sont les véritables arbitres de cette épreuve jusqu'au drapeau à damiers.
                      Au troisième tour, le moteur de Siffert explose devant les tribunes. Un point au 10ème tour Regazzoni mène devant Rodríguez (0.3s.), Stewart (0.6s.), Stommelen (0.8s.), Oliver (1.1s.), Ickx (1.4s.), Hulme (1.9s.), Giunti (2.1s.), Cevert (2.7s.), Beltoise (2.7s.) et Brabham (6.5s.). Au tour suivant Giunti rentre au stand Ferrari car son moteur a des ratés, il abandonnera peu après et au 13ème tour c'est Rodríguez qui casse son moteur et doit aussi abandonner.

                      21e tour Ickx qui avait repris le commandement semble en difficulté, il se fait successivement doubler par Oliver, Regazzoni et Stewart puis Hulme et Stommelen et au 25ème tour le belge regagne son garage embrayage out. Il ne reste plus qu'une Ferrari celle de Regazzoni qui est à ce moment troisième derrière Stewart et Oliver qui ne cessent de se doubler, et Hulme le talonne. Plus loin Cevert, Brabham et Beltoise sont en lutte pour la sixième place. 10 tours plus tard la Ferrari passe à l'attaque et prend la tête sous les vivats de la foule. Le moteur de Brabham se coupe dans la Parabolica, envoyant l'Australien dans le décor, qui sort sans dommage de sa voiture, mais il a perdu une occasion de reprendre quelques points à Rindt.
                      A mi-parcours, Regazzoni mène devant Stewart (0.7s.), Oliver (1.6s.), Hulme (2s.), Stommelen (2.7s.), Beltoise (3.2s.), Cevert (5.8s.) et Amon (32.1s.). Suivent Gethin, Peterson et de Adamich. Deux tours plus tard c'est Oliver qui doit abandonner: son moteur, comme celui de Rodríguez, n'a pas tenu le coup. Peterson est aussi à son stand pour renoncer suite à une panne de moteur. Il n'y a plus que neuf voitures en piste. 40e tour Regazzoni et Stewart sont roues dans roues, en lutte pour la victoire. Beltoise, Hulme et Stommelen les suivent, légèrement distancés. Pendant les 20 tours qui suivent ce groupe des cinq ne va cesser de s'échanger les places même si Regazzoni et Stewart sont les plus assidus en tête, puis le tessinois se détache progressivement profitant de la bagarre générale derrière lui et à 10 tours du but il a 2 secondes d'avance, cinq tours plus tard le classement est Regazzoni premier devant Hulme (4.7s.), Stewart (5.1s.), Beltoise (5.5s.) et Stommelen (6.3s.). Cevert est sixième à une minute, il ne changera plus si ce n'est que dans le dernier tour Stewart et Beltoise passent Hulme pour la seconde et troisième place.

                      Clay Regazzoni remporte donc sa première victoire en Formule 1, et ce dès son cinquième Grand Prix. Les tifosi exultent et comme il est d'usage, la foule envahit la piste alors même que toutes les voitures n'ont pas fini leur course. La situation au championnat du monde des conducteurs est inédite puisque Jochen Rindt, est toujours en tête avec 45 points et une avance très confortable sur ses poursuivants: Brabham et Stewart n'ont que 25 points, Hulme 23, Regazzoni 21 et Ickx 19. Le malheureux Autrichien a donc toutes les chances de devenir champion du monde à titre posthume.

                      Au classement des constructeurs, la situation est plus serrée. Lotus n'a que onze points d'avance sur March. Mais l'équipe anglaise s'inquiète surtout du retour de Ferrari, désormais quatrième, intercalée entre Brabham et McLaren.

                      La course en peloton ...c'est MONZA: ICKX emmène la meute

                      ICKX aurait dû l'emporter ..l'embrayage en a décidé autrement

                      STEWART n'a pas ménagé sa MARCH dépourvue d'aileron 2ème

                      BELTOISE 3ème: la bonne surprise après de mauvais essais

                      SOMMELEN combatif de nouveau dans les points

                      1er point pour CEVERT

                      Les BRM dans le coup mais les moteurs n'ont pas tenu ici OLIVER en tête

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                      • pour moi c'est surtout le fait d'avoir enlevé l'aileron qui a envoyé Rindt dans le rail

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                        • Il semblerait plus que ce soit la rupture d'un axe de frein entre le disque qui sur la 72 était à bord et le la roue qui a provoqué une déséquilibre propulsant la Lotus dans le rail dont le poteau de soutènement était mal implanté ....mais on ne va pas refaire l'enquête.

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                          • Bien placé au départ Pedro,









                            Etonnant !


                             
                            Avant c'était mieux

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                            • Envoyé par CMTARGA Voir le message
                              Il semblerait plus que ce soit la rupture d'un axe de frein entre le disque qui sur la 72 était à bord et le la roue qui a provoqué une déséquilibre propulsant la Lotus dans le rail dont le poteau de soutènement était mal implanté ....mais on ne va pas refaire l'enquête.
                              les moyeux creux plus que limites de Chapman. Rindt s'était fâché sérieusement avec Chapman juste avant la tragédie.

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                              • Exact RB29

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