j’espère que notre alsacien va bien et que l'on va pouvoir le lire rapidement. comme je l'ai mis sur un post du mpc, se lire indique qu'au moins on est possiblement bien.
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1970 Carnet d'un Passionné
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Retour au Grand Prix de Belgique.
La dernière victoire F1 de Pedro quand même...
Merci à ceux qui se préoccupent de ma santé, pour l'instant ça va, en fait pas sur que ce soit le virus qui nous pourrit la vie des passionnés de sport auto. peut-être un début de grippe.Dernière modification par camerat, 16 mars 2020, 21h58.Avant c'était mieux
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F2 AU RICARD ...un pastis bien sec!
Changement de décors avec le soleil provençal. Après son inauguration du mois d'avril par les protos 2l, le circuit varois était le théâtre de la 3ème et dernière manche des Trophées de France après PAU et ROUEN. Cette fois c'est le grand tracé de 5.8 km qui était baptisé et son développement autorisant un nombre important de concurrents ce sont plus de 40 pilotes qui étaient attendus sur le plateau du Castellet. Tout le gratin de la F2 était présent à commencer par STEWART et sa BRABHAM COOMBS qui emmenait un peloton de quelques 18 monoplaces au nom de Black Jack où figurait notamment PESCAROLO. LOTUS n'était pas en reste avec l'équipe de RINDT (Jochen et G.HILL) FITTIPALDI et IKUSAWA. BMW avec son duo ICKX-SIFFERT. Il y avait aussi 4 PYGMEE pour BELTOISE-JABOUILLE-DEPAILLER et DAL BO et la MARCH de PETERSON bien esseulée, AMON étant forfait. Enfin TECNO avait amené pour le seul Clay REGAZZONI une nouvelle monoplace originale dotée de 2 radiateurs latéraux dans le museau, CEVERT étant lui au volant de sa monture habituelle.
Tout ce beau monde pour l'essentiel découvrait les lieux et de ce fait, la hiérarchie habituelle était un peu bouleversée au terme de essais. ICKX et sa BMW était le plus rapide bien aidé par sa carrosserie DORNIER comme à ROUEN dans la longue ligne droite du Mistral. CEVERT surprenait en seconde position devant son équipier F1 STEWART. Puis SIFFERT et REGAZZONI avec sa nouveauté. La surprise venait de RINDT seulement 9ème devancé par FITTIPALDI à voiture égale. De toute évidence l'autrichien en avait sous le pied et privilégiait son statut de net leader du championnat F1 pour s'éviter toute déconvenue. Les autres vedettes notamment françaises ne brillaient guère, BELTOISE et sa PYGMEE seulement 12ème précédait PESCAROLO (14ème).
Sous un soleil brûlant, le départ fut donné dans des conditions pour le moins chaotiques à cause de CEVERT dont l'embrayage collait et qui ne démarra pas au drapeau vert semant une belle panique derrière lui mais miraculeusement le troupeau réussit à l'éviter et lui à démarrer. ICKX troublé loupa complètement le sien et fut débordé par son équipier SIFFERT qui boucla le 1er tour en tête devant REGAZZONI et STEWART lui aussi mal parti. Par contre BELTOISE réussit un départ canon puisqu'étant 5ème devant RINDT, SCHENKEN et enfin ICKX qui va vite reprendre ses esprits en doublant rapidement tout le monde pour se retrouver dans les roues de l'autre BMW qu'il dépassera au 5ème tour pour s'emparer du commandement. Les deux bavaroises sont donc maintenant en tête et c'est BELTOISE qui est 3ème car après avoir doublé SCHENKEN et RINDT il a profité des ennuis de boite de STEWART. Et ce n'est pas fini pour le français qui va soulever l'enthousiasme des spectateurs en s'emparant coup sur coup de la seconde puis de la première place au détriment des BMW et en se détachant rapidement...Trop car bien vite on comprend que sa PYGMEE pisse l'huile ce qui explique les écarts immédiatement réalisés, ses concurrents comprenant vite que c'est le chant du cygne pour la bleue qui s'immobilise peu après au stand. La piste de ce fait étant devenu glissante, il apparaît vite que les FIRESTONE qui équipent entre autres les TECNO sont beaucoup plus performants que les DUNLOP des BMW ce qui permet à REGAZZONI de s'emparer du commandement et à CEVERT d'effectuer une remontée éclaire après ses déboires du départ. SIFFERT,STEWART,RINDT et PESCROLO vont rapidement disparaître si bien qu'à mi course l'ordre est REGA-ICKX-SCHENKEN-WESTBURY et CEVERT. ICKX à son tour sera comme son équipier victime de son moteur laissant définitivement REGAZZONI au commandement, la lutte se limitant à la seconde place entre SCHENKEN et CEVERT, WESTBURY ayant été distancé. Le français victime de sa boite devant baisser pavillon en vue de l'arrivée, c'est l'australien qui remporte cette seconde place, le pilote TECNO complétant donc le podium.
Un super plateau au RICARD ici STEWART et les PYGMEE....
RINDT et sa LOTUS
SIFFERT et la BMW DORNIER
1ère ligne ICKX au fond CEVERT, qui va coller son embrayage et STEWART
Un départ chaotique vu de dos...heureusement la piste est large au Castellet
REGAZZONI et sa TECNO emmène le peloton
BELTOISE héros éphémère sur sa PYGMEE
Sea, sun and F2 en pagaille ....la vie est belle au Castellet
REGAZZONI et sa TECNO à radiateurs carénés ...le début d'une longue marche en avant
J'espère ne pas être censuré...L'image du trio vainqueur en flagrant délit de tabagisme......
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1970 j'ai retrouvé le sujet sur Jacques Argoud, plus de photos, mais pour ceux qui ne connaissent pas.
https://forums.motorlegend.com/forum...-argoud/page11Vous aimez les 24 heures, le polar, le suspens, la pop music, la 2è guerre mondiale, la poésie ? c'est ici!
www.l-oree.org
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EDMONTON CANAM: McLAREN ENCORE
Je vais être bref concernant la 4ème manche du Championnat CANAM qui se courait sur le tracé canadien d'EDMONTON car à part un entrefilet dans SPORT AUTO, pas grand chose. Je signalerai l'essentiel à savoir que ce fut le cadre d'un nouveau doublé McLAREN, HULME l'emportant devant son nouveau coéquipier Peter GETHIN. En effet Dan GURNEY en contrat exclusif avec un pétrolier incompatible avec celui des kiwis, dû laisser sa place tant pour la F1 (on verra ça à HOCKENHEIM) que pour la CANAM et c'est donc le réserviste maison qui prend son relais et l'assume comme il se doit. En dehors de cela, signalons à nouveau la belle performance de Lothar MOTSCHENBACHER sur sa McLAREN cette fois 3ème et de nouveau les déboires de Peter REVSON avec sa LOLA HAAS et de EATON et sa BRM alors que Jim HALL s'était abstenu d'aligner sa révolutionnaire CHAPARRAL faute d'une mise au point encore perfectible tout comme l'extravagante SHADOW.Par contre réapparaissait avec à son volant David HOBBS, la FORD G7 des frères AGAPIOU basée sur une FORD J de 1967 qui disparaîtra dès le 1er tour.
GETHIN le nouveau venu
La LOLA de REVSON peu efficace et peu fiable
Pas mieux pour la BRM d'EATON
Brève réapparition de la FORD G7A pilotée par David HOBBS
Une FERRARI 512 en CANAM celle acquise par Jim ADAMS (7ème)
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Mine de rien, c'est la plus célèbre des 512.
Elle vient d'arriver aux States et dispute ici sa deuxième course. Son propriétaire Chris Cord la revend très vite à Roger Penske.
Elle va devenir la sublime SUNOCO qui nous a tant fait rêver.
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2 AOUT
GP d'ALLEMAGNE: RINDT DANS LE CHAUDRON DU STADIUM
50ème et dernier tour du GP d'ALLEMAGNE, les 80 000 spectateurs massés dans les immenses tribunes du Stadium du Motodrom d'HOCKENHEIM, retiennent leur souffle et bouillent d'impatience en espérant voir émerger de la forêt, pour la dernière fois et dans cet ordre, une fusée rouge et or et collée à ses basques une autre toute rouge...encore quelques secondes le rugissement des moteurs se fait plus net et brutalement le rideau se déchire sur les derniers hectomètres de la course et dans une immense clameur arrivant même à couvrir la symphonie des 20 cylindres réunis, c'est bien l'idole local même si elle est autrichienne de passeport, Jochen RINDT et sa LOTUS qui précède la FERRARI de Jacky ICKX. Encore la SACHS KURVE à négocier, RINDT ferme une dernière fois la porte à son adversaire, puis les deux coudes à droite qui ramènent à la ligne d'arrivée, ICKX ne peut plus rien faire....c'est fait la LOTUS la franchit la première sous le nez de la FERRARI. CHAPMAN lance sa casquette et RINDT cette fois peut vraiment y croire.. au terme de cette formidable 5ème victoire, il a toutes les chances d'être champion à la fin de la saison et pourra se retirer comme promis à son épouse Nina.
Mais remontons le temps. Comme tous les ans depuis 1951, pour le Championnat du Monde (mise à part l'édition 59 couru sur l'AVUS) le GP d'Allemagne se dispute traditionnellement sur la magnifique et majestueuse NORDSCHLEIFE du NURBURGRING et ses propriétaires, fort de cette tradition, estiment qu'il n'est pas utile et nécessaire d'en améliorer significativement la sécurité bien que les voitures de course aient vu leurs performances considérablement augmenter. Le GPDA sous l'influence entre autre de Jackie STEWART qui se bat partout pour cette amélioration, se voit régulièrement objecter par les organisateurs des autres GP, qu'il accepte bien de courir au Ring alors que leur circuit à eux, est beaucoup plus sure. En 1970 c'en est trop, devant l'immobilisme des teutons, l'association des pilotes en révolte annonce qu'elle refuse d'aller au NURBURGRING pour le GP de F1. L'AVD ( Automobile club Von Deutschland) organisateur de l'évènement n'a d'autre choix que de transférer l'épreuve vers le seul autre circuit allemand homologué, HOCKENHEIM. Le Motodrom de sinistre mémoire qui porte encore la trace de l'accident de Jimmy CLARK est à l'opposée du NURBURG avec ses longues lignes droites et même si les organisateurs y ont disposé des chicanes on a vu lors de la course F2 de juin, que l'aspiration y jouait encore un rôle prépondérant.
C'est donc loin du massif de l'EIFEL et dans la plaine du BADE-WURTENBERG, que le petit monde de la F1 se retrouve pour la 8ème manche du Championnat et aucune nouveauté technique n'est à signaler. Seuls quelques changements concernant les hommes à commencer par Peter GETHIN qui comme pour la CANAM supplée Dan GURNEY dans la seconde McLAREN comme indiqué précédemment. Cette fois, le Comendatore a mis fin à sa politique de l'alternance entre GIUNTI et REGAZZONI puisque ce dernier assume à nouveau le second volant FERRARI comme à BRANDS HATCH. Enfin le local Hubert HAHNE a acquis pour son compte une MARCH 701 qu'il va piloter à cette occasion.
La piste allemande ne pouvant en théorie accueillir que 20 voitures, il va falloir de nouveau en passer par les qualifications pour en éliminer 5 parmi les non qualifiés d'office à savoir Peterson, Moser, de Adamich, Redman et Hahne. Sur ce circuit très rapide, les moteurs douze cylindres semblent avoir un avantage et cela se confirme, Ickx réalisant la pole mais avec seulement deux dixièmes de marge sur Rindt grâce à l'excellent aérodynamisme de sa Lotus 72. Regazzoni est troisième et la surprise vient de Siffert, jusqu'alors inexistant qui se hisse au quatrième rang. Il précède Pescarolo et Amon. Stewart est septième devant la BRM de Rodriguez. Andretti et Miles occupent la cinquième ligne. Les Brabham ne sont pas très performantes sur ce tracé puisque Stommelen et Brabham se retrouvent en sixième ligne. Fittipaldi progresse et s'est qualifié au treizième rang devant Cevert et Surtees. Hulme ne dispose pas d'un moteur très performant, d'où une décevante quinzième place. Déceptions aussi pour Gethin et Oliver, relégués en neuvième ligne. Suivent Peterson et Hill. Beltoise est 21ème et dernier qualifié grâce à son statut car une importante fuite d'huile a noyé son moteur et l'a empêché de participer aux dernières séances. Il est donc sauvé par sa qualification d'office ou sans cela Redman aurait pris sa place sur la gille. De Adamich, Moser et Hahne ne sont pas qualifiés.
Il fait chaud et lourd au moment du départ et Ickx prend un meilleur envol que Rindt, mais c'est Siffert qui part le mieux et aborde en tête le premier freinage mais Ickx plonge dans le virage et coupe autoritairement la route au Suisse. Suivent Rindt, Pescarolo, Regazzoni et Amon. Brabham grille son embrayage et reste scotché, avant de finalement pouvoir s'élancer avec trente secondes de retard. Rindt déborde Siffert peu avant l'Ostkurve si bien qu'au premier passage dans le Stadium Ickx mène devant Rindt, Siffert, Regazzoni, Pescarolo, Amon, Rodriguez, Stewart, Andretti et Miles. Gethin entre aux stands à cause d'un souci avec son accélérateur. Au 2eme tour Regazzoni prend la troisième place à Siffert. Pescarolo se fait doubler par Amon, puis par Stewart. Rodriguez a perdu quatre places. Oliver est huitième après avoir doublé Andretti et Miles et au 3ème tour, Ickx a une seconde d'avance sur Rindt. Oliver double Pescarolo, tandis que Rodriguez repasse devant Miles. De tout évidence Ickx a du mal à contenir Rindt qui semble plus véloce dans la portion rapide du circuit. Beltoise regagne le garage Matra, un triangle inférieur de suspension s'est brisé et le Français renonce. Abandon aussi pour Gethin à cause de son souci d'accélérateur alors qu'une importante fuite d'huile se déclare sur la voiture de Brabham. Le vétéran est contraint à l'abandon. C'est peut-être le tournant du championnat.
Au 6eme tour, Amon double Siffert. Stewart effectue un tête-à-queue dans le Stadium et doit laisser passer tout le peloton avant de repartir. Oliver casse un nouveau moteur et renonce pour la huitième fois cette année et Rindt déborde Ickx dans la première ligne droite. Le Belge se fait ensuite doubler par son équipier Regazzoni alors qu'Amon se rapproche de ce trio. Ickx reprend immédiatement la deuxième place à Regazzoni. Rodriguez subit une panne d'allumage et doit stopper. Les deux BRM sont une nouvelle fois hors course.
10e tour Ickx attaque Rindt dans le Stadium et reprend le commandement. En fin de tour, Ickx mène devant Rindt (0.4s.), Regazzoni (1.2s.), Amon (1.4s.), Siffert (2.1s.), Pescarolo (14.1s.), Miles (18.5s.), Surtees (19.1s.) et Stommelen (19.7s.). Au 12eme Peterson casse son moteur et doit abandonner alors que Regazzoni double Rindt dans le Stadium qui le repasse le tour suivant. La lutte est intense entre les 3 premiers soulevant l'enthousiasme du public à chaque passage. La situation reste figée jusqu'au 18ème tour où Rindt se place dans le sillage d'Ickx dans la première ligne droite et lui reprend la première place.
Mais au 21eme passage Regazzoni surprend Ickx et se retrouve deuxième tandis que Stewart est au stand Tyrrell où il renonce, moteur cassé. Rindt commet une légère erreur ce dont profite immédiatement Regazzoni pour le doubler. Le voici pour la première fois en tête d'un Grand Prix mais dès le tour suivant c'est lui qui part à la faute Rindt, Ickx et Amon le passent. Le suisse repasse le néo-zélandais 5 boucles plus tard si bien qu'à mi course le classement est Rindt premier devant Ickx (0.9s.), Regazzoni (1.9s.), Amon (2.2s.), Siffert (27.2s.), Surtees (28.7s.), Pescarolo (35.9s.), Hulme (36.6s.) et Stommelen (47.6s.).
3 tours plus tard les deux FERRARI sont en tête mais ce n'est que feu de paille puisque dès le 30ème tour Rindt est de nouveau second et Amon revient sur le trio de tête qui se gène et qui devient quatuor au grand ravissement de la foule et des observateurs, mais le tour suivant manque une FERRARI à l'appel. Regazzoni dans sa bagarre a fait un tête-à-queue et quand il essaie de repartir il n'a plus de transmission et abandonne. Débarrassé de la menace directe de Regazzoni, Rindt attaque Ickx dans une des lignes droites et reprend la première place alors que Hulme et Pescarolo doublent Siffert en difficulté et son équipier Amon n'ira guère plus loin, moteur cassé, laissant Rindt et Ickx face à face et ne cessant à chaque tour d'inverser leur position. L'autrichien est plus rapide dans les lignes droites alors que le belge est très à l'aise dans le Stadium.
A dix tours du but, Ickx et Rindt sont toujours en bagarre. Viennent ensuite Surtees (40s.), Pescarolo (56.3s.) et Hulme (57s.). Suivent Siffert, Fittipaldi, Stommelen et Cevert. Le duel va encore durer pendant les derniers tours de cette course fantastique avec le résultat décrit en introduction...Quelle course! quelle victoire pour Rindt! Ickx n'a pas démériter, l'attitude sur le podium des deux protagonistes l'un envers l'autre démontrant toute leur respect et admiration réciproques pour la qualité du combat mené.
Derrière la fin de course fut dramatique pour les deux ex champion Hill et Surtees qui durent renoncer et pour ce dernier c'était d'autant plus dommage qu'il visait la 3ème place dès la deuxième course de sa machine ce qui permit à Hulme de la récupérer et au jeune Fittipaldi de finir à une brillante quatrième place devant Stommelen et Pescarolo qui s'est arrêté à son stand pour savoir s'il pouvait continuer avec sa seule quatrième vitesse. Cevert est septième et ferme la marche.
A suivre
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Les premières lignes de la grille de départ ICKX-RINDT-REGAZZONI-SIFFERT-PESCAROLO-AMON
La quatuor majeur de ce GP dans l'ordre à cet instant REGAZZONI-RINDT-ICKX-AMON
Cette fois c'est ICKX devant....
Là c'est RINDT...
Ils n'ont pas démérité non plus..
HULME 3ème avec de la chance et de la persévérance
4ème pour son deuxième GP. Il promet Emerson...
SURTEES il aurait dû être sur le podium avec sa création. Dommage !
SIFFERT enfin retrouvé 4è des essais et un beau début de course ....
PECAROLO et la MATRA encore dans le coup avec juste 1 petit point. Si la boite avait tenu...
CEVERT 7ème et dernier mais à l'arrivée
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Oui cette photo est superbe traduisant parfaitement l'ambiance coole de l'époque.Je l'avais mise dans le post consacré à Rolf STOMMELEN ça me fait plaisir de la revoir ...même si c'est pour l'abandon de Pedro ( un de plus en 70...)
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