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1973 Carnet d'un Passionné
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Envoyé par ferrari p4 Voir le messageBonjour, merci pour cette photo de derrière les stands. Est-il possible de voir le camion Opel de Bonnier en miniature dans le post réservé aux 1/43ème ?Avant c'était mieux
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1ER AVRIL
ADAC 300 NURBURGRING
Ce meeting sur la NORDSCHLEIFE regroupait deux épreuves majeures. D'une part la manche d'ouverture du Championnat INTERSERIE dont nous avons vu à l'occasion de mon carnet 1970 la première édition et qui cette fois sera dans la mesure du possible, intégralement traité ici, d'autre part la première épreuve du Championnat Européen des pilotes GT créé en 1972 ( victoire de FITZPATRICK sur une 911) ouverts aux seules voitures homologuées dans le Groupe 4 soit les GT dites de série.
Pour ce qui concerne l'INTERSERIE, celle-ci s'est nettement développée en récupérant les voitures CAN AM des saisons passées en lieu et place des sports 5 litres telles la PORSCHE 917 ou FERRARI 512 dominatrices en 1970. Maintenant ce son bien des autos spécifiques faites pour le sprint qui animent ce championnat et à ce titre le plateau 1973 a fière allure. PORSCHE bannie du championnat du monde a transformé la base 917 en une barquette dont le flat 12 est boosté par un turbo et qui a écrasé le championnat CAN AM 1972 permettant à George FOLLMER et Roger PENSKE d'y triompher ( cf la bio de ce bon Roger...) Tout naturellement pour cette édition 1973 de l'INTERSERIE on retrouve ces mêmes PORSCHE 917 10 comme base du plateau puisque pour cette manche d'ouverture elles étaient pas moins de 5 dont une venue directement des USA pour le champion CAN AM FOLLMER alors que KINNUNEN, KAUHSEN, LOOS et KRAUS engageaient chacun la sienne. Face à cette armada débordante de puissance, la pourtant impressionnante McLAREN M20 CHEVY V8 de KELLENERS semblait bien pâle et ce n'est pas d'une autre McLAREN plus ancienne bien qu'engagée par le team VDS et à son volant Teddy PILETTE ni d'une MARCH 707 datant de 1970 qu'il fallait attendre une opposition farouche.
Pourtant les essais laissaient entrevoir un espoir pour McLAREN et KELLENERS puisque celui-ci réalisait le second temps n'étant précédé par Willy KAUHSEN "que" de 9 secondes, les autres 917/10 étant larguées à plus de 10 secondes supplémentaires tant pour FOLLMER que les autres. La course courue en deux manches ne laissa guère d'illusion, KAUHSEN s'imposant les deux fois au terme d'un cavalier seul. C'est donc derrière que l'épreuve avait un semblant d'intérêt KELLERS et sa McLAREN tenant tête à KINNUNEN jusqu'à ce que son moteur n'explose laissant le finlandais finir second devant Reinhold JOEST auteur d'un super performance au volant de sa modeste PORSCHE 908/3. FOLLMER retardé par une crevaison et ne finissait que 8ème. Bis repetita intégral dans le seconde manche. KAUHSEN s'envola dès le départ et on ne le revit plus. KINNUNEN mena sa course sans problème en seconde position et de nouveau JOEST et sa 908/3 profitant cette fois des déboires de PILETTE s'emparait de la 3ème place.
Départ 1ère manche KAUHSEN en pole est caché par le pace car; à droite KELLENERS et FOLLMER
Willy KAUHSEN et sa 917/10 turbo intraitable sur le RING
KINNUNEN a dû se contenter de la seconde place
Helmuth KELLERNERS et sa McLAREN le seul opposant aux 917/10
FOLLMER et sa 917/10 championne CAN AM 1972 en démonstration
Décidément increvables Reinhold JOEST et sa 908/3
La course GT opposait pour l'essentiel des PORSCHE CARRERA RSR et 911 RS, aucune FERRARI DAYTONA ou CORVETTE compétitives n'étant inscrites. Par contre la lutte entre les préparateurs patentés de la firme de SUTTGART avaient été intense en 1972 avec la victoire d'une KREMER et reprenait de plus belle cette année. FITZPTRICK de nouveau avec les frères KREMER, STECKKONIG avec WEISSMANN, SCHIKENTANZ avec NEUHAUS et enfin Claude BALLOT LENA avec Robert BUCHET voilà pour les principaux protagonistes. Les essais donnaient l'avantage à FITZPATRICK mais celui-ci n'allait pas loin en course ( moteur cassé) dès la première manche. STECKKONIG et SCHIKENTANZ se livraient alors un bagarre acharnée en tête tant et si bien que leur mécanique lâcha dans le dernier tour et c'est notre BALLOT LENA national qui hérita de la victoire. Dans le seconde manche galvanisé par sa victoire, le parisien si il ne pu résister au retour fracassant de FITZPATRICK, réussit à contenir SCHIKENTANZ pour la seconde place et au cumul des deux manches l'emportait haut la main...COCORICO!
Départ de la seconde manche BALLOT en pôle
Claude BALLOT LENA et la CARRERA RS de Robert BUCHET vainqueur au RING
John FITZPATRICK ( KREMER RACING) le favori
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8 AVRIL
HOCKENHEIM F2
La seconde manche du Championnat F2 retrouvait le MOTODROM d'HOCKENHEIM et ce n'est pas sans une certaine émotion que je vais narrer ce meeting qui fut mon premier d'une longue liste de ma présence en ces lieux. Aussi pour une fois je ne vais pas me limiter aux seules circonstances de la course proprement dite, pour vous faire découvrir (pour ceux qui n'y ont jamais mis les pieds) le cadre et son ambiance particulière, tout au moins tels que je les ai connus dans les années 70/80 et qui comme tout le reste ont dû bien changer....
Tout d'abord HOCKENHEIM c'est une petite ville du BADEN WURTENBERG, située à une cinquantaine de kilomètres de la magnifique HEIDELBERG et qui a l'énorme avantage de se situer sur un nœud autoroutier ( vous me direz en Allemagne c'est fréquent). Cette situation favorable offre l'énorme avantage d'une grande fluidité pour accéder ou sortir du circuit, l'accès aux autoroutes (gratuites) étant direct et aisé, très différent de certains circuits français ...si vous voyez de qui ou quoi je veux parler. Une fois arrivés, vous vous garez dans une immense forêt de pins ou les odeurs de saucisse vous cueille à froid, les amateurs étant là depuis deux jours avec leur Kombi VW et préparent sur des feux de bois leur copieux petit déjeuner " frûhstuck". Vous suivez le flot jusqu'à arriver au pied des immenses tribunes et si déjà des voitures tournent, leur écho raisonne entre les murs du stadium et la forêt de pins, ce qui excite encore plus votre impatience faute de les voir. Dans une discipline toute germanique, vous prenez vos billets au pied de la tribune dont vous avez choisi l'accès ( la meilleure celle qui donnait la vue sur toute la ligne droite de retour et tout le stadium jusqu'à l'entrée du droit qui suit les stands étant toujours à guichet fermé). Pour ma part, je privilégiais plus l'entrée que la sortie du stadium avec vue plongeante sur la SACHS KURVE. Ca y'est vous avez vos sésames, vous grimpez quatre à quatre les escaliers et vous découvrez cet immense cirque qui vous donne l'impression d'entrée plus dans un théâtre que sur un circuit. Il ne reste plus qu'à s'installer sur les gradins et admirer le c..l bien planté dans le béton ( sous-c..l fortement conseillés). Si par bonheur un pilote teuton est en tête ou simplement a réussi un dépassement sur un étranger, éclate une pluie de pétards et de feu d'artifice donnant encore plus à l'atmosphère toujours parfumée à la wurst (saucisse), une ambiance de carnaval bon enfant tout au moins tant que les excès de bière n'ont pas fait leurs méfaits....
Bon après ce petit pèlerinage mémoriel venons en au fait, les MARCH-BMW fortes de leur démonstration précédente sont favorites d'autant qu'en plus cette fois elles sont trois tout au moins pour les machines officielles puisque le héros local, Hans Joachim STUCK junior, en dispose d'une aux côtés du duo de Jean-Pierre, BELTOISE et JARIER. Inutile de dire que le public teuton n'a d'yeux que pour ce N°21 et qu'il n'attend qu'une chose qu'il ridiculise ses coéquipiers "franzose"..( en franco teuton dans le texte..).Autant le dire tout de suite, pétards et autres fusées resteront au chaud, les "franzoze" se taillant la part du lion de cette course courue comme d'habitude en deux manches. Ce ne sont pas moins de 32 concurrents qui participent à ce Mémorial Jim CLARK. En plus de STUCK, faisaient leur début également avec des MARCH-BMW notamment les frères BRAMBILLA et Mike BEUTTLER. Chez SURTEES, BELL épaulait MASS mais la grande nouveauté annoncée était l'entrée en lice des RONDEL de Ron DENNIS et Neil TRUNDEL avec un châssis maison dénommé MOTUL1 propulsé par le classique COSWORTH. Ce sont pas moins de 5 unités qui se présentaient en Allemagne réparties en deux équipes RONDEL MOTUL pour les français PESCAROLO-JAUSSAUD et WOLLEK et RONDEL INTERNATIONAL avec SCHECKTER et SCHENKEN. Le moins que l'on puisse dire c'est que Ron DENNIS voyait déjà grand.. Autre nouveauté ou plutôt retour, la ELF2 dont un seul exemplaire était présent pour DEPAILLER.
Aux essais MASS et sa SURTEES, les MARCH de BELTOISE et JARIER et la ELF2 se taillaient la part du lion et si JPB décrochait la pole, MASS réalisait un temps identique mais plus tard sans pour autant soulever l'enthousiasme de ses compatriotes qui n'avaient pourtant pas de quoi se réjouir de la prestation de leur chouchou STUCK seulement 15ème temps. Je n’ai jamais compris le peu d’empressement de nos cousins germains pour MASS, pas assez allemand ? Trop bohème ? Les nouvelles RONDEL semblaient peu à l'aise, la meilleure n'étant que 6ème (SCHENKEN). Au départ lancé c'est JARIER qui démarre le mieux, il devance son équipier compatriote et DEPAILLER soit un triplé français devant la SURTEES de MASS (les pétards sont en berne). Pour SCHENKEN et BEUTTLER la course est déjà finie suite à leur accrochage qui retarde aussi SCHECKTER. Rapidement JARIER se détache du groupe composé de BELTOISE-DEPAILLER-MASS puis suivent WILLIAMSON ( GRD) WOLLEK, BELL, STUCK, GETHIN, PESCAROLO et COULON. MASS victime d'une crevaison doit s'arrêter laissant BELTOISE et DEPAILLER batailler pour la seconde place loin derrière JARIER qui va aisément l'emporter devant son équipier qui maintiendra le clermontois derrière lui assurant un doublé MARCH. WOLLEK et WILLIAMSON devant s'arrêter c'est un duo composé de BELL et STUCK qui s'écharpe pour la 4ème place, le teuton l'emportant à la plus grande joie du stadium qui enfin se réveille.
Contrairement à ce que l'on pense, la seconde manche ne sera pas une formalité pour JARIER qui pourtant dès le départ sèmera ses concurrents dont BELTOISE et STUCK seront vite éliminés, le premier sur casse de son BMW, le second mis hors course suite à son départ à la poussette. DEPAILLER second se mit alors dans la tête de revenir sur le leader et de le menacer. De toute évidence grâce à son aéro parfaite la monoplace française est plus vite en ligne droite, mais la MARCH est meilleure dans le sinueux du stadium si bien que le classement ne changera pas malgré les attaques du clermontois. BELL finit troisième et le peloton décimé voit SCHENKEN à la 4ème place devant PESCAROLO sauvant ainsi la mise des RONDEL pourtant peu à la fête.
Et de deux pour JARIER et la MARCH-BMW
MASS-BELTOISE les malchanceux d'HOCKENHEIM
DEPAILLER et la ELF2 le seul adversaire à la hauteur
Hans STUCK n'a pas réussi à ravir son public pour ses débuts
Gerry BIRRELL (CHEVRON) des débuts timides
Les RONDEL ici celle de JAUSSAUD: y'a du pain sur la planche
Là celle de WOLLEK
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sujet toujours agréable à lire.
Je regardais plus haut les BMW ALPINA.
Il n'y a jamais eu de problème pour l'appellation entre les marques ALPINA et ALPINE ?
Vous aimez les 24 heures, le polar, le suspens, la pop music, la 2è guerre mondiale, la poésie ? c'est ici!
www.l-oree.org
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J'ai encore un métro de retard...
Retour sur l'Intersérie au Nurburgring, d'autres concurrents, connus, ou pas...
Ernst Kraus
Georg Loos
Teddy Pilette avec une M8F
Jorg Obermoser sur une GRD qui va l'inspirer pour ses TOJ.
Helmut Bross sur une T290
Tony Birchenhough
Trevor Twaites
Bernd Becker
Stefan Sklenar sur une March 717
Siegfried Rieger sur une M8C
Evidemment les 2 derniers je n'en ai jamais entendu parlé.Avant c'était mieux
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8 AVRIL
PROTOTYPES 2 LITRES PAUL RICARD
Le Championnat d'Europe des protos 2 litres dont on avait suivi la toute première édition à l'occasion de mon carnet 1970 a connu depuis un net accroissement d'intérêt et un palmarès qui a permis à LOLA en 1971 et ABARTH en 1972 d'être à leur tour couronnés. Mais 1973 voyait une nette évolution réglementaire avec l'uniformisation bien venue des mêmes modèles en ce qui concerne le poids et la carrosserie ( phares ) entre ceux disputant ce championnat et ceux alignés dans les manches du championnat du monde constructeurs. Cette uniformisation débouchait sur l'implication de nouveaux constructeurs comme GRD ou MARCH, mais également l'implication directe de RENAULT avec sa barquette ALPINE propulsée par son V6 GORDINI, absente à l'occasion de la première manche disputée sur le circuit Paul RICARD mais dont on connaît l'avenir qui débouchera sur la victoire au MANS et la F1.
Le plateau de cette première manche mise à part la défection d'ALPINE avait donc fière allure. Le tenant du titre ABARTH présentait à cette occasion sa nouvelle PA1 pour son pilote vedette Arturo MERZARIO et pour Jean-Claude ANDRUET de retour sur les pistes. LOLA de son côté pouvait compter comme fer de lance sur les voitures engagées par Guy EDWARDS et Chris CRAFT du dernier modèle T292, la première aux couleurs BARCLAYS propulsée par le nouveau 4 cylindres CHEVROLT VEGA préparé par COSWORTH alors que la seconde se contentait du classique FORD BVG COSWORTH. Mais la marque d'Eric BROADLAY comptait également d'autre représentants de qualité avec notamment Jean-Louis LAFFOSSE ( Ecurie FILIPINETTI) ou Gérard LARROUSSE (ARCHAMBAUD). Côté CHEVRON si l'usine n'est pas officiellement engagée les trois barquettes B23 du RED ROSE RACING de John LEPP, John BURTON et José JUNCADELLA, y ressemblaient fort. John HINE et Martin RAYMOND avec leurs propres voitures de l'an passé n'étaient pas non plus à négliger. Parmi les nouveaux, GRD étaient la marque la plus représentée avec 3 unités du modèle S73 dont celle propulsée par le CHEVROLET VEGA et pilotée par John MILES, l'ancien pilote LOTUS F1 sorti de sa retraite, était directement engagée par l'usine alors que celles engagées par Jorg OBERMOSER pour lui-même et pour son compatriote Roland HEILER avaient elles une FORD BVG. Enfin les deux MARCH 73S de Toine HEZEMANS et Gabriele SERBLIN toutes deux équipées du BMW elles aussi semblaient bien aussi provenir et être directement suivies par l'usine de Bicester toutefois manquait à l'appel celle de l'équipe de Vic ELFORD ( cf l'excellente bio...) faute de moteur.
Les essais allaient consacrer les couleurs LOLA avec une première ligne composée de EDWARDS et LAFOSSE. Sur la seconde MERZARIO peu satisfait de sa tenue de route et HEZEMANS qui découvrait sa MARCH puis MILES et CRAFT. Les CHEVRON semblaient à la peine la meilleure, celle de RAYMOND n'étant que 7ème devant LARROUSSE et JUNCADELLA. Enfin ANDRUET et son ABARTH occupait la 11ème place de la grille de cette première des deux manches que comportaient cette course.
Le départ ne changera pas fondamentalement l'ordre de la grille, EDWARDS bouclant le premier tour devant LAFOSSE et MERZARIO par contre à l'arrière LARROUSSE se distingue en occupant la 5ème place derrière HEZEMANS qu'il talonne mais devant MILES. Au deuxième tour MERZARIO commet une faute et se fait passer par tout le groupe pour se retrouver devant son équipier ANDRUET, les deux ABARTH n'iront pas bien loin, sortie pour le premier et joint de culasse pour le second. La course rentre dans son rythme avec les deux premiers qui se détachent. Une fois la mi course passée on va assister à une cascade d'abandons. C'est tout d'abord le leader EDWARDS qui met pied à terre suivi de CRAFT et enfin LARROUSSE, 3 LOLA out. Heureusement il reste celle de LAFOSSE qui passe la ligne en vainqueur devant la MARCH de SERBLIN (HEZEMANS ayant été retardé) et un groupe de CHEVRON qui profite ainsi des soucis des autres avec dans l'ordre RAYMOND-LEPP-BURTON.
La seconde manche voit le forfait de RAYMOND ( joint de culasse) et comme LAFOSSE, dont l'embrayage est mort démarre au ralenti, bloque SERBLIN, c'est John LEPP qui s'empare du commandement qu'il ne lâchera pas jusqu'au drapeau à damiers ce qui lui permettra compte tenu de sa 4ème place de la première manche et des incidents qui vont frapper ses concurrents de l'emporter au final . Parmi ces malchanceux il y a d'abord LAFOSSE dont l'embrayage out finit par avoir raison de sa boite de vitesses. Puis la pluie faisant son apparition les leaders s'arrêtent pour monter des "pluies" mais la MARCH de SERBLIN repart avec difficultés laissant les deux CHEVRON du RED ROSE de LEPP et BURTON définitivement au deux premières places. Jacques HENRY sur sa CHEVRON DINITROL finit cette manche à une belle 3ème place ce qui lui assure également la même place au général devant le malheureux SERBLIN qui finit au ralenti.
Premiers tours de la première manche EDWARDS précède LAFFOSSE HEZEMANS et LARROUSSE
John LEPP et la CHEVRON auront le dernier mot.
MERZARIO et l'ABARTH des débuts difficiles
Gabriel SERBLIN et la MARCH BMW 4ème avec difficultés
LA GRD CHEVROLET du revenant John MILES encore à court d'entraînement
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Envoyé par CMTARGA Voir le message
LA GRD CHEVROLET du revenant John MILES encore à court d'entraînement
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Envoyé par tipo 151 Voir le message
Je peux me tromper, mais je pense qu'il s'agit là de la dernière course de sa carrière ?
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Envoyé par tipo 151 Voir le message
Je peux me tromper, mais je pense qu'il s'agit là de la dernière course de sa carrière ?Avant c'était mieux
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