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Merci TONTON pour ce sympathique complément 
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La saison se poursuit avec les 1000KM du NURBURGRING et le retour des éclopés LAPIERRE qui retrouve PANIS et ORETELLI, AYARY mais avec DUVAL en complément. Si ce dernier trio accomplissait une course sans histoire en finissant 6ème bien sûr devancés par les PEUGEOT et AUDI diesels, il l'était également, non par une PESCAROLO, mais par une LOLA ASTON MARTIN de plus en plus performante. Quant à PANIS-LAPIERRE le premier nommé ayant été exclu du meeting pour cause de marche arrière dans les stands (???), de toute façon leur course se soldait par un abandon. Restaient les 1000 kms de SILVERSTONE en septembre. Les deux équipages ont repris leur physionomie du début et cette fois ils verront l'un et l'autre le drapeau à damiers mais encore une fois loin des ambitions affichées alors que l'occasion était belle avec l'élimination des PEUGEOT. AYARY-ORTELLI ne finissent que 8èmes non seulement devancés par les 2 AUDI diesel mais également par la LOLA ASTON MARTIN une PESCAROLO, une ZYTEC et même une PORSCHE SPYDER de LMP2. Quant à PANIS-LAPIERRE une nouvelle fois retardés, ils ne sont que 17ème.
Une fin de saison bien difficile pour les ORECA COURAGE
En WTCC, au vu de la fin de saison précédente en boulet de canon d'Yvan MULLER avec la LEON diesel, inutile de dire que pour ORECA le titre s'impose, d'autant qu'aux côtés de l'alsacien cette fois on peut compter sur un équipier éprouvé avec le portugais Tiago MONTEIRO. Au Brésil le ton est donné dès la première épreuve, MULLER signant pole et victoire. La suite sera plus tendue pour lui, avec un passage à vide en milieu de saison dont profiteront les pilotes BMW. Heureusement coup sur coup à IMOLA et MONZA, il s'imposera ce qui lui permet de refaire le trou et d'être enfin sacré champion du monde à MACAO lors de l'ultime manche. Finalement il s'agit seulement du second titre à ce niveau pour ORECA après celui de Brice TIRIBASSI en junior WRC 2003. MONTEIRO finit 12ème du championnat avec deux victoires à son actif dont une chez lui à ESTORIL.
Yvan MULLER et la LEON DIESEL titrés pour la plus grande joie de son patron
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Alors figurez-vous que j'étais en signature samedi et je tombe sur un ancien client de LCL et on commence à parler " bagnoles " Il s'avère que c'est un pote de Dominique ROGER, il me dit qu'il a été pilote aux 24 heures et accessoirement à la FFSA.
Pas de trace de DominIque nique nique ROGER dans RACING SPORT CARS, ni au Mans ni ailleurs, mais je trouve cela. Etonnant non ?
Vous aimez les 24 heures, le polar, le suspens, la pop music, la 2è guerre mondiale, la poésie ? c'est ici!
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2006, les 24h du Mans:- Course
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Superbes ... bravo Laurent .
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Merci LAURENT si tu en as d'autres n'hésite pas
...Quant à la CANETTE les critiques des momies de la FFSA ....
2009
Devant les résultats plutôt décevants pour ses protos, DE CHAUNAC se dit qu'il faut sérieusement bouger. Cela passe tout d'abord par un changement de motorisation et avant la fin de la saison précédente, un accord est signé avec la firme japonaise AIM qui est un sous traitant important de tous les grands constructeurs nippons, mais qui voulant affirmer son image par la compétition, a développé une version plus élaborée du V10 JUDD qui a déjà démontré son potentiel dans une LOLA privée. L'intérêt majeur pour ORECA de cette alliance à bas bruit, est surtout de bénéficier de l'exclusivité des développements, ce qu'elle n'avait pas avec le bloc purement britannique. Reste à savoir si ce sera suffisant pour faire la différence avec les autres protos essence, car devant il y a encore et toujours les diesels AUDI et PEUGEOT. L'autre élément important de cette année 2009, est le passage d'ORECA du statut d'écurie de course utilisant ses propres voitures, à celui de vendeur de ses voitures à des équipes indépendantes du constructeur varois. Ainsi après avoir mis en place avec l'ACO un championnat dénommé Formule LE MANS, destiné aux jeunes pilotes d'endurance et exclusivement équipés de châssis ORECA doté d'un V8 CHEVROLET maison (une vingtaine de châssis seront produits dès 2009), l'équipe SIGNATURE de Philippe SINAULT prend possession d'une COURAGE ORECA LMP1 qui elle conserve le V10 JUDD et PEGASUS RACING une LMP2. Quand on connaît depuis la réussite commerciale des châssis ORECA, ont peut considérer que c'est là que cette nouvelle épopée a commencé pour DE CHAUNAC et ses hommes.
ORECA devient un constructeur à part entière notamment avec la FORMULE LE MANS
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Dans un dossier, tout témoignage est bon à prendre. C'est vrai que ce ROGER sort de nul part, pas pilote, juste " observateur " ...Vous aimez les 24 heures, le polar, le suspens, la pop music, la 2è guerre mondiale, la poésie ? c'est ici!
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J'ai du retard, 2007
Course
Essais :
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toujours 2007, la N° 55
Essais sous la pluie
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2008, La 5
Course
Les essais
Les essais préliminaires
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Laurent ...c'est NOEL
En attendant ORECA est toujours une équipe de course participant sous son nom à l'ALMS avec ses 5 manches de 1000 kms et bien sûr les 24 Heures du MANS. Durant l'hiver on a bien cru que Yvan MULLER et surtout Peter SOLBERG en manque de rallyes suite au retrait de SUBARU, feraient partie de l'aventure, mais finalement malgré des essais concluants, ni l'un ni l'autre ne quitteront leur discipline favorite. Pour autant DE CHAUNAC réussit un bon coup, en intégrant à son équipe habituelle un nouveau venu dont le nom à lui seul suffit pour rameuter micros et caméras: Bruno SENNA. Le neveu du quadruple champion brésilien, dont l'expérience en endurance est inexistante, prend place aux côtés de ORTELLI alors que PANIS continue d'être épaulé par LAPIERRE. La première manche ALMS à BARCELONE laisse un goût mitigé avec un abandon pour PANIS-LAPIERRE et un 3ème place pour le duo SENNA-ORTELLI, nettement devancés par un LOLA ASTON MARTIN et une PESCAROLO, alors que l'ORECA SIGNATURE finit sur ses talons. A SPA FRANCORCHAMPS suite à de multiples modifications, les COURAGE ORECA officielles ne s'appellent plus que ORECA. Pour autant leur résultat ne sera guère plus flatteur, cette fois c'est SENNA-ORTELLI qui ne finissent pas et LAPIERRE-PANIS ne sont que 4èmes sous le drapeau à damiers. Aux 1000 kms de l'ALGARVE sur le vallonné circuit de PORTIMAO, après avoir signé la pole, les deux ORECA AIM finissent 3ème et 4ème, mais une nouvelle fois devancées par une PESCAROLO et une LOLA ASTON MARTIN. Forfait au NURBURING, il faudra attendre l'ultime manche à SILVERSTONE pour qu'enfin la seule ORECA présente de PANIS et LAPIERRE montent sur la plus haute marche du podium au terme d'une course menée tambour battant depuis la pole qui marque donc la toute première victoire internationale d'un châssis ORECA. Fort de ce bon résultat DE CHAUNAC décida de tenter l'aventure américaine à PETIT LE MANS où LAPIERRE, PANIS et un débutant chez ORECA mais pas à ROAD ATLANTA, Romain DUMAS, seront les meilleurs, derrière les deux PEUGEOT et AUDI diesels et enfin au Japon où pour satisfaire AIM une ORECA fut déléguée à OKAYAMA pour les 1000 kms avec une seconde place pour LAPIERRE et DUVAL, derrière une LOLA- ASTON MARTIN.
SILVERSTONE 1ère grande victoire ORECA Il est heureux le patron PANIS et LAPIERRE aussi
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Bien entendu entre temps ce sont disputés les 24 heures du MANS
Le refus obstiné des autorités régissant l'endurance de pénaliser les surpuissantes diesels, entraînait de facto une situation de simple outsider pour les titulaires des moteurs essence comme ORECA. Henri PESCAROLO lui-même l'ayant bien compris, était passé dans le camp adverse en engageant une PEUGEOT sous ses propres couleurs ce qui faisait que pas moins de 7 voitures diesels étaient potentiellement les ultra favorites de ces 24H (4 PEUGEOT/ 3 AUDI) . Que pouvaient espérer DE CHAUNAC et ses troupes pour leur 15ème participation? Bien sûr une hécatombe chez les favoris mais pour viser la victoire c'était plus un cataclysme qui était nécessaire. Au mieux la plus petite marche du podium et au pire un top 5 et c'est cette dernière option qui arriva grâce il faut bien le reconnaître au désastre AUDI. Mais avant d'en arriver là, reprenons le cours normal de choses avec la présentation des équipages. Sur la N°10 ORTELLI-SENNA-MONTEIRO sur la N°11 PANIS-LAPIERRE-AYARI. Aux essais la 10 comme la 11 sont bien sûr précédées par toutes les diesels mais aussi par deux LOLA-ASTON MARTIN , une ZYTEC et la PESCAROLO si bien qu'elles ne sont que 15ème et 16ème. La course des deux ORECA LMP1 officielles (celle de SIGNATURE finissant à une bonne 11ème place) fut diamétralement opposée. Celle de la N°10 fut empreinte de mésaventures dues à deux sorties de piste signées ORETELLI puis SENNA (définitive pour ce dernier), alors que la 11 de PANIS-LAPIERRE-AYARI, fila son bonhomme de chemin qui grâce aux abandons de 2 AUDI et 2 PEUGEOT, l'amenèrent à la 5ème place finale et la seconde des LMP1 essence, devancée par une LOLA ASTON MARTIN. Au final une réelle satisfaction malgré tout dans le camp de DE CHAUNAC mais pour espérer triompher, il va falloir envisager autre chose..
L'image est trompeuse la meilleure ORECA ( PANIS-LAPIERRE-AYARY) finit 5ème bien loin des PEUGEOT vainqueurs
SENNA-ORTELLI-MONTEIRO ne sont pas allés au bout
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je uis encore désolé, mais vous aurez remarqué qu'au contraire de beaucoup de patrons d'écuries qui s'effacent au profit de leurs pilotes, le sieur DE CHAUNAC est toujours bien présent, au milieu de préférence, afin de ramasser les suffrages et les compliments, st surtout de se montrer !Vous aimez les 24 heures, le polar, le suspens, la pop music, la 2è guerre mondiale, la poésie ? c'est ici!
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J'ai la forte impression que tu ne l'aimes pas
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