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Brian Herman Thomas REDMAN

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  • CMTARGA
    a répondu
    Merci pour vos compléments photographiques les amis par contre LA CANETTE y va falloir que t'aille à l'oculiste... Moi je vois la SPICE avec le N°21 mais par contre la MAZDA a bien un numéro à 3 chiffres ( 203) mais on a vu bien pire au MANS avec cette année le 777 l'édition 2023 on ira peut être à 999...Finalement les N° du MANS vont bientôt se confondre avec ceux des MILLE MIGLIA    

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  • tipo 151
    a répondu


    Elle porte, sur son aile gauche, le deuil de John Wyer.
    J'aime bien la ligne simple de cette voiture.

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  • tipo 151
    a répondu
    C'est vrai que ces numéros à 3 chiffres ne "sentaient" pas Le Mans .

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  • can the can
    a répondu
    on voit la SPICE n°  171 à côté. Ce fut l'année des " numéros à la noix " avec les Mazda entre autre mais pas que, j'en ai marre de ces numéros bidons, à quand la 1001 ?

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  • Tonton Claude
    a répondu
    Oups !!!! Retrouvée :

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  • Tonton Claude
    a répondu
    Petite contribution habituelle lorsqu'il s'agit du Mans :

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  • CMTARGA
    a répondu
    Et bien avec ça on est bien renseigné Brian !!!
    Je me souvenais que le livre ne parlait pas ou peu de sa fin de carrière mais à ce point ...Heureusement que je suis là  

    Devant la nécessité évidente de mise au point, l'équipe ASTON MARTIN fait l'impasse sur la 3ème manche du championnat courue à JARAMA afin de mieux préparer LE MANS d'autant qu'il y est prévu deux autos. Malheureusement cette préparation sera quelque peu gâchée par le départ de Max BOSTROM, le concepteur de l'AMR1. Ray MALLOCK a maintenant la charge du développement. Plusieurs modifications sont réalisées: nouvelle lame avant, nouvel aileron arrière, plus reculé et plus haut, allègement général et un V8 de 650 à chevaux à l’électronique modifiée. Deux autos sont donc engagées, N°18 pour REDMAN-ROE-LOS, N°19 terminée sur place pour MALLOCK-LESLIE-SEARS. Un bandeau noir en hommage à John WYER, décédé en avril, est apposé sur l’aile avant gauche des deux AMR1. Le célèbre directeur sportif avait dirigé l’équipe course ASTON MARTIN dans les années 50 avec comme point d’orgue la fameuse victoire aux 24 heures du MANS et le titre de champion du monde en 1959.

    Brian nous raconte sa 14ème et ultime participation à la classique mancelle :
    Bien que cette année Le Mans ne faisait pas partie du Championnat, mais peu importe, c'est la seule course que tout le monde veut gagner. Roulant avec Costas Los et Michael Roe, nous nous sommes qualifiés 34e. Nos coéquipiers David Leslie, David Sears et Ray Mallock en 42e. Passée la 4ème heure, la boîte de vitesses n'était pas bonne, au passage de la 3ème à la 4ème toujours un léger "accroc". J'ai essayé de changer de vitesse avec et sans embrayage, plus lent, plus rapide, rien n'a fait de différence. J'ai dit à Marion de réserver le dîner car j'étais sûr que nous ne durerions pas longtemps. Vingt heures plus tard, Peter Livanos m'a demandé si je voulais faire la dernière heure ! À ce moment-là, nous étions 11e et il est peu probable que nous allions plus haut ou plus bas, sauf par attrition. À l'Arnage à 90 degrés, il était facile de faire glisser l'arrière de l'AMR1 sous tension en 2e vitesse. J'ai fait ça pendant quelques tours pour essayer et soulager l'ennui mais après avoir arrêté de le faire, un grand signe manuscrit est venu d'un groupe de Britanniques. Des passionnés à droite : «Donnez nous un peu de spectacle» tour suivant : « Maintenant un tour rapide »  et enfin : « Thé et gâteaux avec la Reine». Très amusant. Si une Mercedes, Jaguar ou Nissan nous dépassait à l'entrée des virages Porsche, nous pouvions rester avec eux jusqu'au Tertre Rouge, puis ils disparaissaient tout simplement. Sur la ligne droite de Mulsannes, nous faisions 215 mph, les Mercedes et Jaguars 245. Au revoir.
    Au final l'AMR1 de Brian finit donc à une méritoire 11ème place mais à 42 tours de la MERCEDES vainqueur alors que celle de leurs équipiers avait disparu dès la 11ème heure suite à une panne électrique. Signalons quand même que malgré son âge respectable, Brian signa pendant la course le meilleur temps d'une ASTON MARTIN à la barbe de tous ses équipiers pourtant nettement plus jeunes.


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  • tipo 151
    a répondu
    Brian :
    "La saison 1989, ma dernière comme pilote professionnel était un plaisir à tous points de vue. L'Aston Martin était une bonne voiture, même si elle était sous motorisée, et l'état d'esprit de l'équipe était excellent. Nous avons eu beaucoup de plaisir."

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  • CMTARGA
    a répondu
    Puis arrive la dernière grande aventure de Brian comme pilote professionnel. Une expérience d'autant plus riche qu'elle a lieu avec une voiture qui porte un nom mythique pour tout sujet de feu sa gracieuse majesté: ASTON MARTIN. Laissons la parole à Brian lorsqu'il s'est confié sur cet épisode à MOTOR-SPORT MAGAZINE à l'occasion d'un déjeuner plusieurs années après :

    Au début de l'année 1989, j'ai reçu un appel surprise d'un spécialiste Aston Martin et chef d'équipe d'une nouvelle équipe Works Aston Martin, Proteus Technology (PROTECH). Richard Williams, me demandant si j'aimerais conduire une Aston Martin AMR1 en cours de construction pour courir dans le groupe C du championnat du monde des voitures de sport. Propriété de Peter Livanos et de feu Victor Gauntlett en partenariat avec l'Ecurie Ecosse, dessinée par feu Max Boxstrom, conçue par Ray Mallock - un pilote doué à part entière - avec des moteurs construits par le spécialiste américain Reeves Calloway, c'était une tentative très sérieuse de courir contre les meilleurs de la discipline, Porsche, Mercedes, Jaguar, Nissan et Toyota. L'AMR1 avait été testé par David Leslie et Ray Mallock à Silverstone et Donington où un accident de test a forcé l'équipe à manquer la première course. Ma première fois dans la voiture c'était lors de ses débuts à Dijon-Prenois en mai. La piste était bosselée et a révélé un problème majeur. L'AMR1 avait été conçu selon les principes de la F1 avec peu ou pas de suspension arrière, ce qui signifie qu'au-dessus des nombreuses bosses, elle a simplement sauté dans les airs. Nous avons terminé à une modeste 17e place et comme on peut s'en douter, il y a eu beaucoup de discussions après la course ! Ray Mallock a alors conçu une suspension plus absorbante et depuis Brands Hatch en juillet, nous avons terminé à une honorable 4ème place, la maniabilité étant bien meilleure.

    Mais n'allons pas aussi vite et revenons à la genèse du projet à commencer par ses auteurs. A cette époque ASTON MARTIN appartient à FORD à 75% et à deux actionnaires minoritaires Victor GAUNTLETT un british bon teint qui a fait fortune dans le pétrole et Peter LIVANOS lui armateur grec de son état, tous deux passionnés d'ASTON et ne rêvant que d'une chose : ramener la marque britannique au plus haut niveau de la compétition. FORD acceptant mais à condition que cela ne lui coûte rien, une structure est créée par les deux associés dénommée ASTON MARTIN RACING DEVELOPPMENT financée à 100% par ces deux passionnés pour élaborer le projet et sa construction. Une autre est mise en place pour l'exploitation en course (PROTECH), dirigée elle par Richard WILLIAMS avec Ray MALLOK tous deux très impliqués dans l'ancien programme NIMROD. Ce projet déjà était propulsé par un V8 ASTON MARTIN, aurait dû aboutir à une nouvelle groupe C cette fois avec un nouveau V8 32 soupapes mise au point par le spécialiste américain de ces gros cubes CALLAWAY, vu plus tard au MANS avec des CORVETTE. C'est ce projet né en 1987 qui servira de base à la nouvelle ASTON groupe C dénommée AMR1, dessinée par l'ingénieur suédois Max BOSTROM. Voilà le puzzle est en place voyons maintenant concrètement ce qu'il en est advenu.

    La genèse de l'AMR1 fut longue et laborieuse, si bien que la voiture n'apparut que lors de essais européens début mai sur le circuit de DIJON. Des débuts retardés suite à la destruction du premier châssis lors d'essais en Angleterre et très contrariés pour ses débuts en France suite à deux casses moteur… 15 jours plus tard l'AMR1 parée de ses couleurs tricolores débute en course toujours à DIJON pour la seconde manche du championnat aux mains de Brian accompagné de David LESLIE. Un misérable 24ème temps aux essais à plus de 6 secondes de la pole ne laisse rien augurer de bon. Heureusement la course apportera un peu de satisfaction en réussissant à franchir le drapeau à damiers certes à une modeste 17ème place. Brian nous raconte ces débuts à la suite de cette course : "Hier encore nous nous posions bien des questions. On nous compare à des gens en place depuis des années. On doit nous laisser le temps et ce week-end on est loin d'être complètement négatif. Nous avons un peu trop d'effet de sol et devons limiter le régime moteur pour éviter la panne d'essence". Bref encore beaucoup de boulot mais aussi des espoirs à 1 mois des 24 heures du MANS. A l'occasion de ce petit film, Brian paye de sa personne pour nous présenter la bête ici https://www.youtube.com/watch?v=OB0Gg-hJH6A

    GAUNTLETT de face et LIVANOS à droite, les hommes du renouveau d'ASTON MARTIN en compétition


    La première apparition de la AMR1 brute de carbone lors des essais préparatoires à DIJON


    Première course à DIJON Brian au volant de l'AMR1 parée de ses couleurs pour une modeste 17ème place  

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  • tipo 151
    a répondu
    Pardon, ça m'apprendra a vouloir étaler mon savoir ...

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  • CMTARGA
    a répondu
    Bob qui ????? WOLLEK  

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  • tipo 151
    a répondu
    Brian aux couleurs de l'Ukraine ...

    L'année ou Bob Wolleck son coéquipier de l'an dernier gagne la course ...
    Bon, , j'ai du énerver la Cannette ...

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  • CMTARGA
    a répondu
    1989

    Même si les équipes de pointe ne font pas appel à lui, Brian se doit de disputer les 24 Heures de DAYTONA et pour sa 13ème participation, il n'a trouvé mieux qu'une MAZDA RX7 de la division GTO, c'est-à-dire la deuxième division de l'IMSA, réservée aux voitures GT sérieusement améliorées parmi lesquelles on retrouve essentiellement des produits américains, tels les CHEVROLET CAMARO, MERCURY COUGAR ou PONTIAC FIREBRID. Certes l'équipe de Roger MANDEVILLE, lui-même pilote passé maître dans la préparation du coupé japonais à moteur rotatif, paré d'un joli palmarès dans sa catégorie sur le sol américain, peut paraître une bonne opportunité pour se distinguer. Mais il est bien certain cette fois, que Brian ne vise pas la victoire absolue à l'inverse de la totalité de ses participations précédentes. Notre héros qui va fêter ses 52 ans ne va pourtant pas démériter à l'occasion de ces 24H. Après avoir décroché le 9ème temps de leur catégorie , le trio composé donc de Roger MANDEVILLE-Kelly MARSH et Brian au terme d'une épreuve réduite à 20 heures pour cause de brouillard nocturne, finira sans encombre majeure à la 11ème place au général et 5ème de sa catégorie.

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  • can the can
    a répondu
    Envoyé par CMTARGA Voir le message
    Bon ma CANETTE c'est pas bien d'abuser des bonnes choses à ton âge...Tu confonds le fil LE MANS 1981 à côté et ma bio de REDMAN ...C'est pas grave on t'en veut pas 
    j'ai revérifié, il s'agit bien de " bob " Wolleck qui abandonne minablement ses camarades après son premier relais. Je ne connaissais pas cette face là à ce gars. Les Dieux du MANS l'ont puni puisqu'il n'a jamais gagné, avec sa mine tout le temps renfrognée.
    Je le raye de mes relations.

    Et mes excuses à Brian. 

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  • CMTARGA
    a répondu
    Bon ma CANETTE c'est pas bien d'abuser des bonnes choses à ton âge...Tu confonds le fil LE MANS 1981 à côté et ma bio de REDMAN ...C'est pas grave on t'en veut pas 

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