Re : Magazines, Journaux et p'tites revues
C'est nouveau ?
Non !
Ce n'est que du "re nouveau", souvenez-vous
Et pour de plus amples détails de ce n°1 de 2006, reportez-vous au topic "Vos lectures du moment", le 5 juillet 2006, post 48 et suivants
S'il faut s'interdire d'écrire des critiques mécréantes, personne oblige à écrire du bien voire beaucoup de bien.
Dans la mythologie, cela ne nomme un "Phoenix"... vous jugerez vous même, et sur place.
Pour ma part, no comment ... hormis une publicité, 1/6e de page, dans le n° 2 juillet/août 2010 où il est, encore mis en avant, un autre "phoenix", mercantil celui-ci, la "refrabrication" de vêtements pour pilotes des années 50 !
Je veux bien croire et accepter que la rareté et le coté "exceptionnel" en font le prix; toutefois, ce genre d'objet, vraisemblablement - souligné à dessein parce que je n'en suis pas certain - fabriqué loin, très loin, laisse une marge très conséquente.
Le marché des montres d'exceptions est pratiquement saturé; celui des vêtements et objets signés autour du mythe de l'acteur/pilote/producteur/metteur en scène et icône des années 60/70 tant cinéma que feuilleton télé (on a jamais su où il rangeait sa cafétière lorsqu'il remontait en selle à la poursuite de l' "outlaw" suivant "dead or alive"), il fallait trouver l'idée suivante, Eminence, Calvin Klein/Pierre Cardin (selon la version américaine ou française), H&M, Lacoste, ... etc, sont déjà utilisés.
Il ne restait donc plus qu'à rescussiter un nom qui nous avez échappé, aperçu dans une photo, trouvé un jour sur la chemisette d'un pilote, puis le même sur la poche d'un pantalon.... PAF, la voilà la bonne idée.
Le "hic" est qu'aucune photo n'est disponible hors droit ! Tant pis, passons outre.
La marque ? Non. La citer serait faire une réclame gratuite. Au fait qui autorise à prendre le nom d'un ville pour dénommer un vêtement sous le prétexte qu'une photo dérobée (bien qu'un accord ait été donné sous condition - de source sûre -) montre un pilote la portant (la chemise) dans cette ville ?
C'est une REMARQUE très critique, j'en conviens, OK, d'accord; mais qui peut m'interdire de pousser ce coup de gueule sans ne jamais citer ni la marque ou le nom du coquin qui a tout fait pour pénétrer le sérail de ceux qui savaient ou pouvait connaître ?
p.s. La même chemisette sur l'étal d'un soldeur, un jour de foire, ce pourrait entre 5 et 10€; ici nous dépassons allègrement les 100 €
C'est nouveau ?
Non !
Ce n'est que du "re nouveau", souvenez-vous
Et pour de plus amples détails de ce n°1 de 2006, reportez-vous au topic "Vos lectures du moment", le 5 juillet 2006, post 48 et suivants
S'il faut s'interdire d'écrire des critiques mécréantes, personne oblige à écrire du bien voire beaucoup de bien.
Dans la mythologie, cela ne nomme un "Phoenix"... vous jugerez vous même, et sur place.
Pour ma part, no comment ... hormis une publicité, 1/6e de page, dans le n° 2 juillet/août 2010 où il est, encore mis en avant, un autre "phoenix", mercantil celui-ci, la "refrabrication" de vêtements pour pilotes des années 50 !
Je veux bien croire et accepter que la rareté et le coté "exceptionnel" en font le prix; toutefois, ce genre d'objet, vraisemblablement - souligné à dessein parce que je n'en suis pas certain - fabriqué loin, très loin, laisse une marge très conséquente.
Le marché des montres d'exceptions est pratiquement saturé; celui des vêtements et objets signés autour du mythe de l'acteur/pilote/producteur/metteur en scène et icône des années 60/70 tant cinéma que feuilleton télé (on a jamais su où il rangeait sa cafétière lorsqu'il remontait en selle à la poursuite de l' "outlaw" suivant "dead or alive"), il fallait trouver l'idée suivante, Eminence, Calvin Klein/Pierre Cardin (selon la version américaine ou française), H&M, Lacoste, ... etc, sont déjà utilisés.
Il ne restait donc plus qu'à rescussiter un nom qui nous avez échappé, aperçu dans une photo, trouvé un jour sur la chemisette d'un pilote, puis le même sur la poche d'un pantalon.... PAF, la voilà la bonne idée.
Le "hic" est qu'aucune photo n'est disponible hors droit ! Tant pis, passons outre.
La marque ? Non. La citer serait faire une réclame gratuite. Au fait qui autorise à prendre le nom d'un ville pour dénommer un vêtement sous le prétexte qu'une photo dérobée (bien qu'un accord ait été donné sous condition - de source sûre -) montre un pilote la portant (la chemise) dans cette ville ?
C'est une REMARQUE très critique, j'en conviens, OK, d'accord; mais qui peut m'interdire de pousser ce coup de gueule sans ne jamais citer ni la marque ou le nom du coquin qui a tout fait pour pénétrer le sérail de ceux qui savaient ou pouvait connaître ?
p.s. La même chemisette sur l'étal d'un soldeur, un jour de foire, ce pourrait entre 5 et 10€; ici nous dépassons allègrement les 100 €
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