Lola and Co au Mans

[camerat]

Re : Lola and Co au Mans

Toujours la 7 en 68, une photo de la revue Automobile Historique.

[villedieu11]

Re : Lola and Co au Mans

pour compléter ma collection de photos des Lola au Mans je recherche les T292 roc , n° 29 et 30 de 1975.

.
Bonsoir Alain, pour les deux Lola en question, je les ai, mais malheureusement,
en n/b. photo trouvé sur un forum, elles ne m'appartiennent pas, donc Copyright.





Voila, pour le moment, mais j'espère que quelqu'un va les poster en couleur.
Amitiés, Antoine, le nouveau retraité.

[Invité]

Re : Lola and Co au Mans

[SIZE="5"]DE CADENET AU MANS

Chapitre 3 : 1978-1980[/SIZE]

En 1978, ce sont cette fois trois De Cadenet qui se présentent aux Jacobins. En effet, Alain De Cadenet a fait construire chez John Thompson, toujours avec l’aide de Len Bailey un nouveau châssis, que nous dénommeront « LM4 » . Celui-ci est quasiment identique au « LM3 ». Quelques pouces ont été rajoutés à la longueur du châssis, les porte moyeux et l’entretoise moteur-boite proviennent cette fois d’une Lola T280. « LM4 » a été assemblée à Buxted dans le Sussex par Dick Crosthwaite et John Gardner qui habituellement construisent les Kougar-Jaguar. Testée à Silverstone, elle dispose toujours d’un Cosworth DFV assemblé par Nicholson, mais dont cette fois la puissance a été portée à 460 ch. C’est quasiment sans sponsor que la voiture se présente au pesage. Seul un immense « Made in Britain » orne le capot avant. Toujours accompagné de Chris Craft , Alain De Cadenet aura pendant la course des soucis avec l’embrayage puis des problèmes électriques et sera victime d’une surchauffe de la boite de vitesse, dont les pignons seront remplacés sur une boite brûlante, dans les derniers instants de la course. Cela explique la modeste 15ème place à l’arrivée.
« LM3 » a été vendue à Peter Lovett qui l’engage sous la bannière de son coéquipier John Cooper avec le sponsorship de Cooper Industries (Ce John Cooper n’a rien avoir avec le célèbre préparateur Mini !). Mais avec le 19ème temps seulement, ils ne seront pas qualifiés.
« LM2 » , sous le nom de De Cadenet-Lola Ford est aussi présente aux mains de son propriétaire Simon Phillips. La seule modification visible semble être la décoration noire, rouge et blanche de Batco, un sponsor français ! La chauve-souris peinte sur le capot avant lui fera donner le surnom de « Batcar » . L’équipage composé de Nick Faure, Simon Phillips, John Beasley et Martin Raymond sera mis hors course à la 14ème heure pour distance parcourue insuffisante.


En 1979, les trois autos sont à nouveau présentes et cette fois elles participeront toutes les trois à la course.
Auréolé d’une 2ème place à Silverstone avec « LM4 », Alan De Cadenet se présente comme un challenger face aux Porsche et aux Ford. Il a comme coéquipier le manceau Francois Migault, qui amène des sponsors français. Cette fois, la préparation a été complétée par un test d’une quinzaine d’heure. Tout semble aller pour le mieux. Et pourtant, c’est le changement de l’ensemble moteur-boite après les essais en prévision de la course qui va causer le drame pour l’équipe. Un trou que l'on a oublié de percer endommagera la boite de vitesse et sera la cause de l’abandon lors de la première demi-heure de course. L’abandon officialisé à la 4ème heure sera le premier abandon officiel de cette édition.

De son coté Peter Lovett a engagé « LM3 », qu’il va partager avec John Cooper et l’américain John Morrison, sous une livrée blanche barrée de la croix rouge de St Georges, affirmant ainsi sa nationalité anglaise. Cependant, les référence à De Cadenet sont absentes sur les papiers officiels. « LM3 » est ainsi baptisée S.G. Lola T281 sur la liste des engagés, tandis que la fiche remplie aux vérifications techniques indique SG Lola 781 ! Ces types n’ayant jamais existé chez Lola, le mystère demeure sur le pourquoi de ces appellations. Pour le S et le G, il pourrait s’agir de St Georges, patron des anglais, dont le blason décore la carrosserie. Il pourrait également s’agir de Simon, le propriétaire, et de Gordon, le concepteur. Mais pourquoi avoir gommer la référence à De Cadenet ? L’explication vient peut être de John Morrisson, l’un des pilotes : « on a utilisé la voiture dans ne course de 4 heures à Brands Hatch, on était 2ème ou 3ème lorsque une biellette de direction a cassé. J’ai couru au stand De Cadenet et j’ai chapardé la pièce sur une suspension de rechange qui était derrière la porte du stand. Il n’y avait aucune collaboration entre les deux teams : les gens qui avaient fait du business avec Alain De Cadenet, ne le faisait généralement pas longtemps ! » Reste le nombre 781 de la feuille d‘engagement, il pourrait s’agir du numéro du Cosworth DFV utilisé (et préparé par Smith). Le 281 est très probablement, une faute de frappe ou une initiative malheureuse de l’ACO qui habituée à la nomenclature Lola, a inventé cette désignation que l’on trouve maintenant sur tous les ouvrages dédiés au Mans ! « LM3 » fera une course anonyme avant d’abandonner à la 16ème heure à cause de la défaillance de son circuit électrique.

Autre « De Cadenet » présente en 1979, la vaillante « LM2 » est cette fois aux couleurs orange et bleue de Fisons Agricole. Sa dénomination ne fait pas non plus référence à De Cadenet puisqu’elle est dénommée soit Fisons-Lola sur la fiche des vérifications techniques, soit Lola T286 sur la liste des engagées ! Pour la première dénomination, on peut comprendre que Simon Phillips ait voulu faire plaisir au sponsor amené par Martin Raymond. Cela a ainsi permis à ce que la bannière placée par l’ACO au-dessus du stand reprenne cette dénomination. Il n’a fait qu’imiter Alain De Cadenet pour Duckhams ou Jean Rondeau pour Inaltera. On ne sait par contre sur quelle base, l’ACO a été pécher le Lola T286 ! Est ce des documents douaniers de convenance ou une intervention de Lola ? Le mystère demeure ! Engagée officiellement par Fisons Agricole/Simon Phillips et pilotée par Martin Raymond et Ray Mallock (avec Simon Phillips en réserve) « LM2 » sera la seule à voir l’arrivée. Classé à la 20ème place malgré de nombreux problèmes comme la perte de l’alternateur et un étrier de frein fondu, ce sera sa dernière apparition sur le circuit manceau. « LM2 » se trouve à l’heure actuelle dans une collection aux cotés de HU02, l’autre Lola T380 !


En 1980, Il y a deux De Cadenet engagée et ce sont « LM4 » et « LM3 ».
« LM4 » est engagé par Alain De Cadenet avec cette fois Murray Smith comme Team Manager. L’équipage est composé de François Migault et de la sud-africaine Désirée Wilson. Le team arrive au Mans auréolé de deux victoires en championnat du Monde (aux 6 heures de Silverstone et aux 1000kms de Monza). C’est donc en sérieux outsider que l’équipe aborde le rendez-vous de juin. Le mercredi, l’équipage qualifie la voiture en 6ème position. Malheureusement, le jeudi soir, lors de ses tours d’essais, sur une piste humide, Désirée Wilson met une roue dans l’herbe au virage Porsche. La voiture part en tête à queue, heurte le rail et part en tonneaux. C’est une course contre la montre qui va s’engager pour réparer, sans changer ni le moteur, ni la boite conformément au règlement de l’époque. Les pièces de rechanges étant peu nombreuse pour un modèle unique, il va falloir en refabriquer avec l’aide d’artisans locaux. Et c’est seulement , quatre heures avant le départ, que « LM4 » sera prête. Evidemment, la cabriole de Désirée l’empêchera de prendre part à la course. C’est Alain qui prendra le départ mais s’arrêtera sur le circuit après deux tours, victime de problèmes d’allumage. Au terme de la 1ère heure, « LM4» pointe en 39ème position ! Mais au matin, on les trouve en 4ème position. Vers 8h du matin, Migault s’arrête au stand pour ce qu’il pense être une crevaison lente. Mais en fait, conséquence de l’accident du jeudi, c’est la suspension qui a cassé. Les 49 minutes nécessaires pour réparer relègue finalement « LM4 » à la 7ème place finale. Presque une victoire !

Nick Faure, un illustrateur londonien, a acheté « LM3 » à Simon Phillips, passé sur une Porsche. Il l’engage pour Richard Jones, Bernard de Dryver et lui-même. Mark Thatcher, un moment pressenti, sera interdit de course par sa « maman de fer » . Et le crash de Désirée, confortera cette décision ! « LM3 » a bénéficié d’une cure de jouvence chez K&K Automotive et est propulsé par un coupleux DFV préparé par Smith. Cette fois sur la fiche des vérifications techniques, il est inscrit « De Cadenet SLG 781 ». Ce qui deviendra plus simplement « De Cadenet LM » sur la liste des d’engagé ! La décoration a évolué puisque la croix rouge a été agrémentée de bleu, pour honorer Pepsi-Cola, l’un des sponsors. Cette année la, des problèmes de chronométrage animent les essais, la fiabilité du système Longines est contesté par certains concurrents. Nick Faure, sur des capacités de la voiture malgré la perte de la quatrième vitesse dans la dernière heure des essais, conteste les temps attribués à son équipe. Il fera appel à un huissier mais en vain puisque la qualification (sur la moyenne des temps) sera accordée à l’ACR- Longines ! « LM3 » est donc non-partante, ce qui fera sûrement un peu le bonheur d’Alain De Cadenet, puisque pour la course des stickers Pepsi-Cola seront apposés sur « LM4 ».

La suite... Bientot..

Merci pour vos photos d'illustrations...

[collection mans]

Re : Lola and Co au Mans

Bonsoir

Certainement déjà postées, voici les Lola 29 et 30 de 1975 en couleur :





Collection Mans

[camerat]

Re : Lola and Co au Mans

Légère bavure "Collection Mans" sans vouloir vous offusquer, la photo de la 29 serait plutôt au freinage de la Source à Spa, la 29 des 24h 75 est celle-ci.

[Invité]

Re : Lola and Co au Mans

[SIZE="4"]DE CADENET AU MANS [/SIZE]

[SIZE="4"]Chapitre 4 : 1981 et Fin[/SIZE]

Pour 1981, ce fut la surprise de constater qu’Alain De Cadenet avait pour ambition d’engager la nouvelle Ford C100 dessinée par son ami Len Bailey. En effet, Alain De Cadenet s’était vu confier par Ford le soin d’exploiter la future Groupe C de la marque. Mais finalement Ford se révisa et ne lui livra jamais la voiture. Celle-ci fut livrée à Zakspeed juste après les 24 heures ! Entre Ford Allemagne et Ford Angleterre, c’est l’Allemagne qui gagna le droit d’exploiter une auto qui s’avéra finalement peu performante par rapport aux Porsche 956 !

En juin, on retrouve donc Alain De Cadenet avec un engagement pour sa fidèle « LM4 ». Mais cette fois la livrée British Green Racing a laissé la place à la décoration rouge et blanche d’un grand cigarettier belge qui finance les frères Martin qui ont loué la voiture. Autre changement notable, le moteur st maintenant un Cosworth DFL de 3300 cm3

« LM3 » a été rachetée par le Dorset Racing, grâce au soutien d’Air Florida et de Frox Clothing, qui l’engage pour Nick Faure et les irlandais Martin Biranne et Vivian Candy. Aux essais, « LM3 » sera handicapé par problèmes de pompe a essence sur le DFV préparé par Smith.

Les De Cadenet vont terminer toutes les deux leurs carrières au Mans à la 19ème heure. C’est un carter de boite cassé qui arrêtera « LM3 » tandis que « LM4 » sera victime de l’explosion de sa pompe à essence. Cette année la, plusieurs concurrents équipés de Cosworth, dont Rondeau, connaîtront des problèmes de pompes à essence, et mettront en cause la qualité de l’essence fournie par l’organisateur.

A partir de la les deux autos vont avoir des destinées différentes :

« LM3 », propriété du Dorset Racing sera vendue à Hugh McCaig qui a pour ambition de faire renaître la prestigieuse Ecurie Ecosse. Il confie le châssis à Ray Mallock qui le modifie selon ses propres dessins avec l’aide de la firme TC Prototypes de John Thompson. L’Ecosse C284-Cosworth est ainsi née. Elle terminera 2ème en GrC Junior à Monza mais en juin, aux mains de Wilds, Leslie et Dudfield, elle se retirera au bout de six heures de course sur panne d'essence.
Lors d’une course en levée de rideau du Grand Prix d’Angleterre, la voiture sera détruite dans une sortie de route. Hugh McCaig la fera démonter et certaines pièces détachées servirons à la construction de la C285.
Le Dorset Racing, ayant gardé la carrosserie De Cadenet, c’est cette dernière que l’on verra exposée au Musée Rosso Bianco habillant un châssis de Lola T390. Fin 2006, un amateur anglais se porte acquéreur de cette T390 en vue de la restaurer. La carrosserie De Cadenet orne dorénavant son garage.

La destinée de « LM4 », entre sa dernière participation au Mans et sa réapparition au Mans Classic aux mains de Martin Birrane est plus nébuleuse. Il semble que Alain De Cadenet l’ait cédée en 1985 à Colin Poole, qui l’aurait fait courir dans deux épreuves de la série Thundersport britannique (peinte en rouge et sous la dénomination ADA ). Il la cédera ensuite à Martin Birrane, propriétaire de la marque Lola. Celui-ci l’équipe d’un ancien DFV de F3000. Le 8 novembre 1990, il s’appropriera le record de vitesse irlandais, à plus de 280 km/h sur l’autoroute M50. C’est à l’occasion du Mans Classic que la plaque châssis de « LM4 » est apparue sous le vocable énigmatique de GLC 913. G pour Gordon, L pour Lola ou Len Bailey (qui a aussi participé au dessin), et C pour Cadenet ou Cosworth, tandis que 913 serait le numéro du DFV originel.

Mais l’histoire de De Cadenet au Mans ne s’arrête pas complètement puisqu’elle va se poursuivre de deux manières.

En 1982, les Gr.6 sont bannies et doivent laisser la place aux Gr. C. Alain De Cadenet , après sa déconvenue avec Ford, n’a pas les moyens de construire une nouvelle auto. Aussi trouve t’il refuge comme pilote chez son compatriote Ian Dawson qui a conçu la Grid. Partageant la voiture avec Emilio De Vilota et Desiré Wilson, ils abandonneront .
Cette même année, figurent sur les engagements une DRA De Cadenet-Lola, mais cette fois, Alain De Cadenet n’a rien à voir avec cet engagement ! C’est Francois Duret qui a commandité à ADA Engineering la construction d’une Gr C. Selon Chris Crawford, son constructeur, le châssis de base est un châssis Lola T390 (conçu pour une motorisation 2 litres) non numéroté, provenant de l’usine qui s’en servait comme show car, sur lequel sont monté des suspensions, des portes moyeux et une entretoise moteur-boite de T380 acheté à Alain De Cadenet. Le moteur est un Cosworth DFV 3 litres. Equipée d’un nez avant de Lola T390 (assez semblable à celui de « LM2 » et d’un arrière ressemblant à celui des Lola T28x , le cocktail est complété par un pare-brise de Porsche… 906. Ce prototype quelque peu disgracieux, sera surnommé « Morris Minor ». Lors de son apparition au Mans en 1982, la DRA De Cadenet Lola abandonnera à la 5ème heure. Il est probable que cette dénomination ait été choisie par le Dorset Racing, afin d’assurer son invitation pour juin, par l’ACO. Pour 1983, toujours sous la dénomination De Cadenet, la carrosserie est légérement modifiée avec un pare-brise moins haut. Elle terminera non-classée. Elle prendra la dénomination ADA01 lors de sa dernière participation en 1984 ou elle abandonnera sur bris de suspension. Vendue en 1985, au yougoslave Francy Jerancic, elle sera équipée d’un moteur Porsche 911 et sera engagée dans quelques épreuves d’Intersérie. Pour 1986, elle sera équipée d’un moteur rotatif provenant d’une Mazda RX7 et sera engagée en tant que Lola-Mazda C2. Elle sera irrémédiablement détruite en 1987 dans un accident.


En 1983, on voit Alain De Cadenet au volant de la Cougar C01 en compagnie de d’Yves Courage mais cette participation se solde également par un échec. Abandon également en 1984, sur la Porsche 956 qu’il partage avec Craft, son ancien coéquipier, et Grice. Enfin, il terminera 20ème en 1985 et 18ème en 1986 au volant de la Cougar C12.

Ayant mis un terme à sa carrière de constructeur et de pilote, Alain De Cadenet s’est fait un nom sur les petits écrans en présentant l’émission « Victory by Design » ou il essaye des anciennes gloires de la route et de la piste. Par ailleurs, le nom de De Cadenet est également connu dans le monde des arts par le biais de son fils Alexander, photographe d’art, et de sa fille, la sulfureuse Amanda, mannequin et ex-épouse d’un membre du groupe de rock Duran Duran.

Ainsi en dix éditions, de 1972 à 1981, Alain De Cadenet a été à l’origine de quatre châssis (et seulement quatre !), totalisant 14 participations et 3 non-qualifications.
Il est l’un des symboles de la ténacité des petits constructeurs qui ont tenté Le Mans.

Merci aux sources suivantes : Forum Motorlegend (Pantera) Forum Ten Tenths (Driftwood, Allenbrown, Fausto, John Morrisson, Colin Pool), Ford au Mans (Francois Hurel).

AMICALEMANS-MUSTANG66

[Invité]

Re : Lola and Co au Mans

Résumé des De Cadenet au Mans



Avec une erreur sur 1974 : l'équipage est Craft-Nicholson

[pantera gr4]

Re : Lola and Co au Mans

...Hello..avec ce graphique on voit mieux ...bravo pour ce sujet ..merci d'avoir cité mon pseudo...mais je n'etais pas tout seul sur le coup !!!..permets moi de rajouter tout les amis ici presents....!

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Re : Lola and Co au Mans

les anglais de ten tenths ralent ! car ils ne pigent pas le francais, maintenant il faut que je traduise...

[Invité]

Re : Lola and Co au Mans

On repasse aux Lola, avec la Lola "chiffon" ou Lola "Christo" :

[Invité]

Re : Lola and Co au Mans

un petit détail d'une Lola particulière :

[Invité]

Re : Lola and Co au Mans

un petit détail d'une Lola particulière :

La caterpillar de 2004 ?

[Invité]

Re : Lola and Co au Mans

Yes yes avec le moteur d'un VW Touareg revu par Mountune

[camerat]

Re : Lola and Co au Mans

Je l'ai affichée dans le topic consacré aux non-partants, je la rajoute ici; la Lola T70 du Grand Bahama Racing de Robin Ormes et David Prophet. Chassis 140 ou 149 ? qui connait la réponse ?

[Invité]

Re : Lola and Co au Mans

Pour la Lola du Grand Bahama Racing, plusieurs de mes sources donnent comme numéro de châssis : SL 76/140.