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Quick Vic Elford

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  • Re : Quick Vic Elford

    Bonjour, je ne sais pas si les tifosis sont présents, mais UN tifosi, oui!!! Belle lutte entre Vic et Andruet, à la limite sportive si je me rappelle bien les récits des journaux de l'époque. De toute façon, je suis tifosi de vos récits et photos, merci de continuer.

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    • Re: Re : Quick Vic Elford

      Envoyé par camerat Voir le message
      Hier les photos ne s'affichaient pas chez moi. Aujourd'hui que je les vois…

      Bien que pas expert en McLaren Canam il me semble que c'est une M8C et non une M8E.
      Moi non plus je ne suis pas expert CAN AM . C'est RSC qui indique M8E et généralement dans ce domaine ils sont fiables. Grand merci pour les reportages TOUR AUTO.

      FERRARI P4 heureux de te retrouver ici mais je crois que tu confonds avec 1973....on devrait en reparler.

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      • Re: Quick Vic Elford

        Pardon 1972 :evillaugh

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        • Re : Quick Vic Elford

          Bonsoir, je n'écris rien mais je déguste avec gourmandise vos récits et photos. Bon, j'ai pris de l'avance sur le duel Elford / Andruet? ça va arrivez bientôt.
          Et en plus, je suis curieux, c'est quoi le prochain sujet? Stop, ne me tapez pas dessus………………………….

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          • Re : Quick Vic Elford

            Bien d'accord, CMTARGA et camerat c'est un formidable équipage.
            J'ai rarement vu un sujet si bien mené.
            Merci à vous deux.

            Commentaire


            • Re: Quick Vic Elford

              Merci les amis un petit encouragement de temps à autres ça rassure...

              RETOUR A LA F1

              La F1 pour achever le récit de cette saison 1971.

              Rien ne laissait supposer qu'un jour Vic allait remettre les fesses dans une F1 à l'occasion d'un GP comptant pour le championnat du monde et pourtant tel fut bien le cas à l'occasion du GP d'ALLEMAGNE 1971.

              Pour en comprendre les raisons, il faut remonter trois semaines au paravent lorsque sur l'ineffable tourniquet du NORISRING, la FERRARI 512 pilotée par Pedro RODRIGUEZ s'est malencontreusement écrasée contre un pilier en béton non protégé, tuant net le petit mexicain et laissant dans la détresse B.R.M. Or en cette année 1971 l'équipe de Lou STANLEY fait des miracles, SIFFERT et Pedro ayant accumulé jusque là de bonnes performances mais pas encore de victoire alors que de toute évidence la dernière création du brillant jeune ingénieur maison Tony SOUTHGATE en est capable à condition que les petits pépins soient résolus. Si à SILVERSTONE l'équipe british s'est contentée d'aligner SIFFERT et GANLEY, au NURBURGRING transfiguré par les travaux après le boycott de 1970, elle aligne son contingent minimum habituel de 3 autos. Or qui mieux que Vic pour suppléer au pied levé dans la perspective d'un course sur la NORDSCHLEIFE et qui plus est avec une F1? On peut aisément imaginer que malgré les mauvais souvenirs de sa dernière participation ici même en 1969, Vic n'a pas dû trop se faire prier pour accepter l'invitation avec peut être le secret espoir qu'elle se prolonge.

              Autant le dire tout de suite, cet espoir sera vite déçu et sa performance au NURBURGRING nettement pas à la hauteur des ambitions légitimes des deux parties, non pas par manque de performance, mais seulement à cause de la fiabilité qui trop souvent a privé les belles et fines anglaises revêtues de leur sémillante robe YARDLEY de bons résultats.

              Aux essais, Vic va ainsi être accablé par les problèmes d'allumage (un mal récurrent sur le 12 cylindres BRM dû aux vibrations qui sera enfin résolu pour le GP d'AUTRICHE 15 jours plus tard en déplaçant la bobine) le reléguant à la 17ème place de grille ( SIFFERT 3ème). La course ne va pas apporter beaucoup plus de satisfaction, car si Vic réussit à remonter jusqu'à la 6ème place à la quelle il pointait à mi course, essentiellement du fait des défaillances de ses adversaires, immédiatement après, il s'arrête dans la petite ligne droite de retour derrière les stands en panne de...bobine. Vic saute du cockpit, court en chercher une de rechange aux stands, revient, la réinstalle et repart ....Imaginerait-on aujourd'hui pareille chose...?? Bien entendu il a perdu un tour entier et dieu, que sur la NORDSCHLEIFE, un tour c'est long...et il passera sous le drapeau à damiers à une anonyme 11ème place. Vic pourtant nullement dégoûté indiquera à CROMBAC " Malgré mes pépins, que c'est agréable de conduire une F1..." Malheureusement il n'aura plus jamais l'occasion de le faire tout au moins en compétition officielle.

              Vic semble heureux de réintégrer le cirque F1.


              La BRM 160 une belle et efficace F1...elle le prouvera quand la bobine...ne cherra plus!!!!


              Le cadre majestueux du NURBURG transfiguré mais pas le résultat escompté.

              Commentaire


              • Re : Re: Quick Vic Elford

                Envoyé par CMTARGA Voir le message
                Merci les amis un petit encouragement de temps à autres ça rassure...

                RETOUR A LA F1

                La F1 pour achever le récit de cette saison 1971.

                Rien ne laissait supposer qu'un jour Vic allait remettre les fesses dans une F1 à l'occasion d'un GP comptant pour le championnat du monde et pourtant tel fut bien le cas à l'occasion du GP d'ALLEMAGNE 1971.

                Pour en comprendre les raisons, il faut remonter trois semaines au paravent lorsque sur l'ineffable tourniquet du NORISRING, la FERRARI 512 pilotée par Pedro RODRIGUEZ s'est malencontreusement écrasée contre un pilier en béton non protégé, tuant net le petit mexicain et laissant dans la détresse B.R.M. Or en cette année 1971 l'équipe de Lou STANLEY fait des miracles, SIFFERT et Pedro ayant accumulé jusque là de bonnes performances mais pas encore de victoire alors que de toute évidence la dernière création du brillant jeune ingénieur maison Tony SOUTHGATE en est capable à condition que les petits pépins soient résolus. Si à SILVERSTONE l'équipe british s'est contentée d'aligner SIFFERT et GANLEY, au NURBURGRING transfiguré par les travaux après le boycott de 1970, elle aligne son contingent minimum habituel de 3 autos. Or qui mieux que Vic pour suppléer au pied levé dans la perspective d'un course sur la NORDSCHLEIFE et qui plus est avec une F1? On peut aisément imaginer que malgré les mauvais souvenirs de sa dernière participation ici même en 1969, Vic n'a pas dû trop se faire prier pour accepter l'invitation avec peut être le secret espoir qu'elle se prolonge.

                Autant le dire tout de suite, cet espoir sera vite déçu et sa performance au NURBURGRING nettement pas à la hauteur des ambitions légitimes des deux parties, non pas par manque de performance, mais seulement à cause de la fiabilité qui trop souvent a privé les belles et fines anglaises revêtues de leur sémillante robe YARDLEY de bons résultats.

                Aux essais, Vic va ainsi être accablé par les problèmes d'allumage (un mal récurrent sur le 12 cylindres BRM dû aux vibrations qui sera enfin résolu pour le GP d'AUTRICHE 15 jours plus tard en déplaçant la bobine) le reléguant à la 17ème place de grille ( SIFFERT 3ème). La course ne va pas apporter beaucoup plus de satisfaction, car si Vic réussit à remonter jusqu'à la 6ème place à la quelle il pointait à mi course, essentiellement du fait des défaillances de ses adversaires, immédiatement après, il s'arrête dans la petite ligne droite de retour derrière les stands en panne de...bobine. Vic saute du cockpit, court en chercher une de rechange aux stands, revient, la réinstalle et repart ....Imaginerait-on aujourd'hui pareille chose...?? Bien entendu il a perdu un tour entier et dieu, que sur la NORDSCHLEIFE, un tour c'est long...et il passera sous le drapeau à damiers à une anonyme 11ème place. Vic pourtant nullement dégoûté indiquera à CROMBAC " Malgré mes pépins, que c'est agréable de conduire une F1..." Malheureusement il n'aura plus jamais l'occasion de le faire tout au moins en compétition officielle.

                Vic semble heureux de réintégrer le cirque F1.


                La BRM 160 une belle et efficace F1...elle le prouvera quand la bobine...ne cherra plus!!!!


                Le cadre majestueux du NURBURG transfiguré mais pas le résultat escompté.

                C'est ma BRM préférée, aux couleurs Yardley.
                Avant c'était mieux

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                • Re : Quick Vic Elford

                  Bonjour, petite question: pourquoi Vic portait très souvent une combinaison rouge?

                  Commentaire


                  • Re: Quick Vic Elford

                    Bonne question.....question suivante

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                    • Re : Quick Vic Elford

                      Reeeeeeeeeeeeeeeeeeee, hips, je sort d'une cave Vouvrillonaise, hips………... la prochaine fois, hips, je poserai une autre question, hips, du même genre, et toc!!!

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                      • Re: Quick Vic Elford

                        1972

                        ALFA-ROMEO AUTODELTA, est donc l'équipe qui accueille Vic pour sa 5ème saison complète en sport-prototypes, puisque depuis le 1er janvier 1972 seuls ces derniers sont autorisés à disputer le championnat des constructeurs. Vic n'avait pas beaucoup le choix malgré sa déconvenue de WATKINS GLEN avec l'équipe milanaise, car en dehors de FERRARI et de sa 312PB bien tester lors la saison précédente et qui cette fois, fort de la certitude de ne pas être entravée pour la victoire par les sports 5L, a mis le paquet pour gagner, pas grand monde. Bien sure il y avait les LOLA T280 de l'équipe BONNIER que Vic connaît bien, mais il s'agit quand même d'un team privé avec ses limites et qui plus est le V8 COSWORTH qui les équipe, n'a toujours pas fait ses preuves en endurance. Il en est de même pour John WYER, veuf des 917, qui retrouve sa situation de 1969 et l'obligation de construire sa propre MIRAGE elle aussi équipée du COSWORTH. Quant à MATRA, Jean-Luc LAGARDERE a bien annoncé que son objectif 1972 était LE MANS, mais sans disputer d'autres épreuves du championnat.

                        Voilà comment notre pilote britannique, portera dès les 1000 KM de BUENOS AIRES, les couleurs italiennes au volant de l'ALFA-ROMEO 33 TT 3. Il s'agit d'une barquette à châssis tubulaire issue de toute un lignée de 33 qui ont évolué depuis 1967 au fil du temps pour aboutir au modèle 1972 qui se caractérise outre son V8 3litres maintenant bien connu, par un empattement très réduit grâce à une boite de vitesses inversée offrant une répartition des masses située très en avant dans l'esprit de ce qu'est la PORSCHE 908/3 que Vic connaît bien, ce qui ne devrait donc pas trop le dépayser.

                        Pour la manche argentine, il y en aura 3 exemplaires pour les pilotes maison que sont maintenant, STOMMELEN-HEZEMANS/ DE ADAMICH-GALLI et enfin les petits nouveaux Vic associé à son ancien comparse du MARTINI RACING, le prometteur et ambitieux autrichien Helmut MARKO. L'équipe pouvait également compter sur un modèle 33 de 1971 confié à VACCARELLA, et un autre appartenant au pilote local ALBERTI.

                        En face FERRARI aligne 3 312 PB pour ICKX-ANDRETTI/REGAZZONI-REDMAN et un duo inédit PETERSON-SCHENKEN, alors que Jo BONNIER a ses 2 LOLA T280 , pour WISELL et lui même , l'autre étant confiée à LARROUSSE-CRAFT et que la MIRAGE de WYER non encore achevée, brille par son absence.

                        Je préfère passer sur les invraisemblables péripéties qui émaillèrent les essais, dues une nouvelle fois à une organisation totalement indigne d'une championnat du monde ( il est vrai que sur ce point les choses ont heureusement bien évoluées aujourd'hui...) allant de séances amputées pour permettre à la BERTA locale d'être dépannée, à des contrôles techniques et un chronométrage fantaisistes et à un chien sur la piste . A la fin et sans surprise, une FERRARI est en pole mais pas celle qu'on attendait puisque c'est celle des "p'tits" nouveaux PETERSON-SCHENKEN et une ALFA qui est seconde ( STOMMELEN), devant les deux autres 312 PB. Mais il faut descendre à la 7ème ligne de la grille pour enfin trouver trace de la 33TT3 de Vic qui a été accablée par les problèmes techniques notamment plusieurs changement de moteurs.

                        C'est donc pas très confiant, que notre duo austro-britannic s'élance pour la course sous une chaleur étouffante et si les actions du clan ALFA sont à la hausse grâce à STOMMELEN qui s'empare du commandement, qu'il va très rapidement céder aux FERRARI à cause d'un accélérateur bloqué , celles de Vic déjà pas bien hautes, elles chutent d'entrée avec un arrêt imposé ....à cause d'un tournevis oublié dans le pédalier (??). Autant le dire tout de suite les FERRARI et notamment celles de PETERSON-SCHENKEN dominèrent de la tête et des épaules l'épreuve, à l'inverse la course des 33TT3 fut un désastre. Deux ne virent pas l'arrivée et si celle de Vic et Helmut passa sous le drapeau à damiers en 4ème position au terme d'un véritable chemin de croix, c'est avec un retard de 8 tours et précédé par l'ALFA 33 privée argentine. C'est mal parti . MARANELLO 1/ SETTIMO MILANESE 0

                        L'ALFA ROMEO 33TT3 une barquette hyper compact inspirée de la PORSCHE 908/3


                        1er départ 1972: FERRARI-ALFA au coude à coude ....ça ne va pas durer longtemps.


                        Vic devant PETERSON l'image est très trompeuse

                        Commentaire


                        • Re : Quick Vic Elford

                          Confirmation que l'agressivité de ce pseudo gentleman n'est pas une légende ...
                          http://hulotphoto.piwigo.com

                          Commentaire


                          • Re: Re : Quick Vic Elford

                            Envoyé par Hulotphoto Voir le message
                            Confirmation que l'agressivité de ce pseudo gentleman n'est pas une légende ...
                            Je pense que tu veux parler de l'épisode de VALLELUNGA ?

                            Commentaire


                            • Re: Quick Vic Elford

                              Cette année pas de 24 heures de DAYTONA, constructeurs, organisateurs et CSI, craignaient que la fiabilité encore non démontrée des protos 3L aboutisse à une farce voyant une GT locale l'emporter ( ça arrivera pas plus tard que l'année suivante....) . Aussi c'est à une banale course de 6 heures à la quelle les prétendants au titre sont conviés sur l'anneau floridien.

                              Rien de bien nouveau pour les engagés, puisque FERRARI comme ALFA-ROMEO, engageaient chacun comme en argentine, 3 voitures avec les même équipages. Si ce n'est que chez cette dernière, Peter REVSON venait épauler STOMMELEN sur une 33TT3 ce qui fait que HEZEMANS était évincé pour cette course. L'arrivée de l'américain n'était pas sans conséquence technique, car celui-ci étant lié par un contrat d'exclusivité avec GOODYEAR, son ALFA à la différence des deux autres, se dispensait des traditionnelles FIRESTONE ( pas simple à gérer....)

                              Dès les essais ça partait mal pour ALFA, puisque NANNI GALLI détruisait sa 33TT3 contre le mur de l'anneau et lui et son équipier DE ADAMICH devaient se rabattre sur le mulet, une classique 33. Et en performance ce n'était guère mieux, non seulement FERRARI trustait les premières lignes mais qui plus est, BONNIER-WISELL sur leur LOLA, devançaient un duo ALFA, STOMMELEN-REVSON devant celle de Vic et Helmut.

                              On s'attendait à une domination écrasante des barquettes frappées du "cavalino rampante", mais loin de la promenade de santé annoncée, cette course aurait pu tomber dans l'escarcelle de ses concurrents tant les ennuis se multiplièrent pour ces favorites. Si dès le départ le trio de MARANELLO commença sa démonstration, ça n'allait pas durer car chacune des 312 PB connaissaient des soucis dans des registres différents. Si bien que WISELL comme REVSON n'étaient nullement largués, ce qui n'était pas le cas de Vic dont l'ALFA de toute évidence était moins performante que celle de son équipier américain ( les pneus ?) . Puis un accrochage entre WISELL et REGA retardait considérablement ces deux autos, si bien qu'au moment des premiers ravitaillements si ICKX-ANDRETTI, pourtant pas très fringants (embrayage) , pointaient en tête, c'était de peu devant l'ALFA de STOMMELEN-REVSON, celle de Vic se maintenant 3ème à distance mais PETERSON dont la 312 a connu des ennuis de moteur, remontait à grandes enjambées, comme plus loin REDMAN qui avait relayé REGA après sa mésaventure. Jusqu'à mi course les choses en restèrent là en fluctuant selon les arrêts. Mais peu après, l'ALFA de pointe du duo germano- américain, va disparaître moteur cassé , laissant Vic et son équipier autrichien seuls face aux FERRARI. Or il est évident que leur monture est incapable de s'opposer, si bien que malgré les avatars techniques et chronométriques des officiels, ICKX-ANDRETTI et PETERSON-SCHENKEN finiront dans cet ordre loin devant l'ALFA de notre héros chanceux 3ème car épargné par les ennuis à défaut de performance pure. MARANELLO 2/ SETTIMO MILANESE 0

                              Départ les FERRARI devant ...les autres derrières et des tribunes bien peu garnies...


                              Vic qui précède ici GALLI lui sur un modèle 33 de 1971


                              Épargnés par les ennuis ELFORD-MARKO finissent à une heureuse 3ème place

                              Commentaire


                              • Re: Quick Vic Elford

                                Petit intermède dans la saison 1972 de Vic

                                Deux photos trouvées ce matin sur cet excellent site anglais qui nous ramènent en 1967 lors des participations de Vic au BTCC de l'époque sur les 911 de Bill BRADLEY


                                Pour la première il semblerait qu'il s'agisse de la manche OVALTINE TROPHY RACE à SILVERSTONE pour laquelle nous n'avions pas de photo (cf post N° 98 par CAMERAT).


                                La seconde en couleur, une course à THRUXTON qui ne figure pas au calendrier du BTCC 1967 tel qu'indiqué ici:


                                Donc inconnu si vous en savez plus...

                                Commentaire

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