Re : Vos lectures du moment...
Son contenu ? Pas de commentaire !
Ce n'est surtout pas sur un premier n° qu'on peut "juger" voire "se faire une idée"; il faut observer cela avec le temps. Or, il faudra un peu de temps car issue trimestrielle.
Les anciens savent qu'on ne lance pas, comme cela, vent arrière, une publication mensuelle sans "round" préalable, laissons du temps au temps.
Et maintenant: Histoire d'une publication qui fait encore référence quant à la qualité de ce qu'elle fut.... jusque .... mais ne froissons personne.
Tranche et tronches d'histoires. Les aventures d'un périodique disparu.
Il y a un peu plus de 10 ans, sans tambour ni trompette, à l'initiative de Flavien Marçais, petit fils de Serge Pozzoli, est arrivé un bimestriel intitulé "AUTOMOBILES historiques" - n°1 février/mars 1999, éditée par MRV PRESSE Paris. Le choc ! Sur le cul que nous étions au moment de sa sortie.
Trois n° puis plus rien ! Merde, nous étions le bec dans l'eau. Il faut attendre quelques mois pour voir arriver "La revue de L'automobile historique" n°1 mars/avril 2001, bimestriel au prix de 60,00F (A.H. coûtait 35,00F un an au paravant pour 100 pages !) et 116 pages, feuilles papier glacé, "clâss".
Je vous invite à lire ou relire la profession de foi de F. Dulac, "Les fils du "Fanatique".
La lecture de l'ours nos apprend que Flavien Marçais en est le rédac. chef et le dir. de la publication est F. Dulac (rien à voir avec un très célèbre Chevalier de la Table Ronde, amoureux de la belle Guenièvre, épouse de son "Roué"; quand bien même le secrétaire de la rédaction se nomme Lancelot ! Cela ne s'invente pas.), qu'il est créé un comité de rédaction où un autre Dulac apparaît plus un prof (ou instituteur) du coté de Avignon qui arrondi ses fins de mois en pigeant pour des revues et bouquin, et Flavien Marçais.
Ce qui attire l'attention, c'est la refonte totale de la revue, éditée par une nouvelle société, que l'imprimerie s'intitule SODIM - Société Dulac Imprimerie - et que le siège de tout cela est à Evreux.
Cette maquette démarrée en mars 2000 paraît jusque le n°8 - mai / juin 2001 -.
Et "POUF" ! le n°9 suivant reprend la dénomination de 1999: "Automobile historique" mais sans les S et les lettres majuscule, de plus on est de la revue puisque le mot a disparu
Que nous apprend l'ours ? Disparition de l'appellation Directeur de la Publication et arrivée d'un "p'tit Dulac nouveau": Sébastien, lequel prend titre de "Editeur" mazette.... Ceci sera rectifié dès le n°10, - septembre / octobre 2001 - ours relégué sur l'antépénultième page !
Jusqu'au n°12 de janvier 2002 qui nous laisse pantois quant à la nouvelle "Une" ! Finis les 4 photos, le fond bleu, le prix diminué, 6,10€ au lieu de 9,15€. Lecture de l'édito où nous apprenons que Automobile historique nous donne rendez-vous à Rétromobile de même que le prochain n° paraîtra le 8 février. Chic, la "revue" devient mensuelle.
Au jour dit, pas de revue sur les linéaires ! Pas grave, on verra cela "Porte de Versailles"
Mais arrivé dans le pavillon, peau de balle et balais de crin, que dalle
Et puis, dans l'après midi, à coté de la porte d'entrée (ou de sortie), un type devant un pupitre minuscule, une affiche petit format scotchée sur la vitre, derrière, qui nous montre François Cévert, tend à qui en veut, quelques feuilles collées, barrées d'un "FAC SIMILE" de ce que sera le n° 13 (!) de automobile (en bleu clair) historique (jaune lettre italique) mars 2002.
Fin de cet "unique" épisode raconté; et début d'une saga ou comment l'éditeur nous prendra la tête .... mais là ce sera une autre histoire qui reste à écrire . . . . Bref, le Editeur S.n.D. nous a embourbé de notre fidélité, souscrite tant nous aimions cette "revue" et ceux qui la rédigeaient, sauf ....
Au fait, le format de "Autodiva" est le même que le n° 1 de "La revue de l'Automobile historique" mars/avril 2000, à l'époque rédigé sur deux ou trois col. 116 pour A.H. au lieu de 130, par contre, dans le premier cité, il y avait beaucoup plus de textes et de photos (de formats différents il est vrai)
Donc "Wait and See" malgré les appels à souscription; ce qui est plus que normal. Fidélisation du lectorat; excitons les NMPP, observons les réassorts et invendus, faisons en sorte de servir les z'abonnés d'abord.
Bref, observation des lieux avant de gravir le "Pratzen" .
Son contenu ? Pas de commentaire !
Ce n'est surtout pas sur un premier n° qu'on peut "juger" voire "se faire une idée"; il faut observer cela avec le temps. Or, il faudra un peu de temps car issue trimestrielle.
Les anciens savent qu'on ne lance pas, comme cela, vent arrière, une publication mensuelle sans "round" préalable, laissons du temps au temps.
Et maintenant: Histoire d'une publication qui fait encore référence quant à la qualité de ce qu'elle fut.... jusque .... mais ne froissons personne.
Tranche et tronches d'histoires. Les aventures d'un périodique disparu.
Il y a un peu plus de 10 ans, sans tambour ni trompette, à l'initiative de Flavien Marçais, petit fils de Serge Pozzoli, est arrivé un bimestriel intitulé "AUTOMOBILES historiques" - n°1 février/mars 1999, éditée par MRV PRESSE Paris. Le choc ! Sur le cul que nous étions au moment de sa sortie.
Trois n° puis plus rien ! Merde, nous étions le bec dans l'eau. Il faut attendre quelques mois pour voir arriver "La revue de L'automobile historique" n°1 mars/avril 2001, bimestriel au prix de 60,00F (A.H. coûtait 35,00F un an au paravant pour 100 pages !) et 116 pages, feuilles papier glacé, "clâss".
Je vous invite à lire ou relire la profession de foi de F. Dulac, "Les fils du "Fanatique".
La lecture de l'ours nos apprend que Flavien Marçais en est le rédac. chef et le dir. de la publication est F. Dulac (rien à voir avec un très célèbre Chevalier de la Table Ronde, amoureux de la belle Guenièvre, épouse de son "Roué"; quand bien même le secrétaire de la rédaction se nomme Lancelot ! Cela ne s'invente pas.), qu'il est créé un comité de rédaction où un autre Dulac apparaît plus un prof (ou instituteur) du coté de Avignon qui arrondi ses fins de mois en pigeant pour des revues et bouquin, et Flavien Marçais.
Ce qui attire l'attention, c'est la refonte totale de la revue, éditée par une nouvelle société, que l'imprimerie s'intitule SODIM - Société Dulac Imprimerie - et que le siège de tout cela est à Evreux.
Cette maquette démarrée en mars 2000 paraît jusque le n°8 - mai / juin 2001 -.
Et "POUF" ! le n°9 suivant reprend la dénomination de 1999: "Automobile historique" mais sans les S et les lettres majuscule, de plus on est de la revue puisque le mot a disparu
Que nous apprend l'ours ? Disparition de l'appellation Directeur de la Publication et arrivée d'un "p'tit Dulac nouveau": Sébastien, lequel prend titre de "Editeur" mazette.... Ceci sera rectifié dès le n°10, - septembre / octobre 2001 - ours relégué sur l'antépénultième page !
Jusqu'au n°12 de janvier 2002 qui nous laisse pantois quant à la nouvelle "Une" ! Finis les 4 photos, le fond bleu, le prix diminué, 6,10€ au lieu de 9,15€. Lecture de l'édito où nous apprenons que Automobile historique nous donne rendez-vous à Rétromobile de même que le prochain n° paraîtra le 8 février. Chic, la "revue" devient mensuelle.
Au jour dit, pas de revue sur les linéaires ! Pas grave, on verra cela "Porte de Versailles"
Mais arrivé dans le pavillon, peau de balle et balais de crin, que dalle
Et puis, dans l'après midi, à coté de la porte d'entrée (ou de sortie), un type devant un pupitre minuscule, une affiche petit format scotchée sur la vitre, derrière, qui nous montre François Cévert, tend à qui en veut, quelques feuilles collées, barrées d'un "FAC SIMILE" de ce que sera le n° 13 (!) de automobile (en bleu clair) historique (jaune lettre italique) mars 2002.
Fin de cet "unique" épisode raconté; et début d'une saga ou comment l'éditeur nous prendra la tête .... mais là ce sera une autre histoire qui reste à écrire . . . . Bref, le Editeur S.n.D. nous a embourbé de notre fidélité, souscrite tant nous aimions cette "revue" et ceux qui la rédigeaient, sauf ....
Au fait, le format de "Autodiva" est le même que le n° 1 de "La revue de l'Automobile historique" mars/avril 2000, à l'époque rédigé sur deux ou trois col. 116 pour A.H. au lieu de 130, par contre, dans le premier cité, il y avait beaucoup plus de textes et de photos (de formats différents il est vrai)
Donc "Wait and See" malgré les appels à souscription; ce qui est plus que normal. Fidélisation du lectorat; excitons les NMPP, observons les réassorts et invendus, faisons en sorte de servir les z'abonnés d'abord.
Bref, observation des lieux avant de gravir le "Pratzen" .
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