1974
La crise pétrolière ( et oui encore et toujours elle) va bouleverser totalement les plans les mieux établis. Mais pour ORECA elle va avoir un effet finalement bénéfique. MOTUL qui était son principal sponsor, désertant la France et ses courses, dans un premier temps interdites, se tourne vers la F1 et l'équipe BRM avec BELTOSIE et PESCAROLO. Puis ELF qui veut continuer à promouvoir sa filière jeunes pilotes à défaut de F3 française, investit sur la F2 y propulsant ses jeunes pousses, notamment Michel LECLERE et Alain SERPAGGI en leur faisant sauté le pas. Oui mais voilà, il manque à François GUITER, patron de la compétition ELF, une équipe capable des les accueillir. DE CHAUNAC su saisir l'occasion et cela aura une importance capitale pour ORECA et sa pérennité. Cette fois c'est en dehors des produits MARTINI que se poursuit l'aventure, ELF imposant son châssis née ALPINE, devenue ELF2 et cette fois propulsé par le 4 cylindres BMW SCHNITZZER. Avec deux rookies et une équipe toute neuve à ce niveau, il ne fallait pas s'attendre à des miracles, d'autant que le BMW SCHNITZER n'était pas à la hauteur des moteurs usines équipant les MARCH-BMW officielles de DEPAILLER (titré) et son équipier STUCK et que le châssis tubulaire de la ELF était dépassé. Leurs meilleurs classements furent 3 troisièmes places enlevées par LECLERE à HOCKENHEIM, ROUEN et NOGARO, celui-ci finissant 6ème du championnat d'Europe.
Michel LECLERE et Alain SERPAGGI au volant des ELF2 BMW SCHNITZER ORECA
La crise pétrolière ( et oui encore et toujours elle) va bouleverser totalement les plans les mieux établis. Mais pour ORECA elle va avoir un effet finalement bénéfique. MOTUL qui était son principal sponsor, désertant la France et ses courses, dans un premier temps interdites, se tourne vers la F1 et l'équipe BRM avec BELTOSIE et PESCAROLO. Puis ELF qui veut continuer à promouvoir sa filière jeunes pilotes à défaut de F3 française, investit sur la F2 y propulsant ses jeunes pousses, notamment Michel LECLERE et Alain SERPAGGI en leur faisant sauté le pas. Oui mais voilà, il manque à François GUITER, patron de la compétition ELF, une équipe capable des les accueillir. DE CHAUNAC su saisir l'occasion et cela aura une importance capitale pour ORECA et sa pérennité. Cette fois c'est en dehors des produits MARTINI que se poursuit l'aventure, ELF imposant son châssis née ALPINE, devenue ELF2 et cette fois propulsé par le 4 cylindres BMW SCHNITZZER. Avec deux rookies et une équipe toute neuve à ce niveau, il ne fallait pas s'attendre à des miracles, d'autant que le BMW SCHNITZER n'était pas à la hauteur des moteurs usines équipant les MARCH-BMW officielles de DEPAILLER (titré) et son équipier STUCK et que le châssis tubulaire de la ELF était dépassé. Leurs meilleurs classements furent 3 troisièmes places enlevées par LECLERE à HOCKENHEIM, ROUEN et NOGARO, celui-ci finissant 6ème du championnat d'Europe.
Michel LECLERE et Alain SERPAGGI au volant des ELF2 BMW SCHNITZER ORECA
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