oui, effectivement, ça fait un peu fouillis sur la photo. Mais sachant ce que je cherche, j'y ai vu la réponse à mon problème. Le tuyau métallique noir coudé qui relie le moteur à la cloison pare feu (sous les boites à fusibles) se dédouble et l'on voit bien le départ de cette deuxième branche toujours sous les boites à fusibles et qui se prolonge en faisant un coude sous la durite rouge d'air conditionné. On en voit l'entrée dans l'habitacle plus loin, sous la tôle oblique de la couleur de la voiture.
Voici une 280 SEL 3.5 W108 qui se porte bien. Outre qu'elle n'a pas, pour une fois, les double-phares us, elle montre sur l'aile droite un rare rétroviseur électrique d'époque, fabriqué par SEV Marchal. On en voyait parfois sur des DS.
Une 280 3.5! ma première Mercedes, et mon premier V8! Achetée 15.000 francs alors que j'étais étudiant, elle méritait un peu d'attention... Une fois tout remis d'aplomb et équipée au GPL, j'ai disposé d'une voiture fiable (pas de suspension à air ou autre fantaisie), performante et originale pour rouler tous les jours avec un budget relativement modeste. Un très bon souvenir!
Ah un V8, mon rêve...
Si l'essence n'était pas si chère j'aurais pu me l'offrir ce CLK430... sob...
Bon blague à part cette 280 est rutilante mais ce que je ne comprends pas c'est pourquoi avoir mis le rétro électrique sur l'aile et non sur la porte ?
Je crois Dakota que, au début des années 60, on avait plutôt tendance à poser les (rares) rétros sur les ailes, dans le but de voir le côté de la voiture pour des maneuvres par exemple. Il s'agissait toujours d'accessoires ajoutés par le propriètaire.
Puis vint l'obligation du rétro gauche qui se posa, de manière plus pratique pour doubler, près du montant de pare-brise.
Cette 220SE b sort du "garage" et avec un peu d'huile de coude et une étoile va reprendre la route !
Toujours "sympa" de compter un nouveau membre parmi nous !
- Au fait aujourdhui l'architecte est sur le chantier !
Modérateur Forum Mercedes Benz
Paddock Café et Forum généraliste
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Hier, il n'y avait pas de barrières le long du trou !
Hier, on ne savait pas que l'automobile, et la vitesse tuent !
Hier, on ne savait pas que l'amour fout le sida !
Hier, on ne savait pas qu'un bon Cohiba fout le cancer !
Hier, on ne savait pas que la bonne chère flanque le diabète, et le bon vin la cirrhose; pis, on pensait naïvemement que ce dernier réjouit le coeur de l'homme.
Hier, on était demandeur d'avenir, au lieu de l'apréhender.
Enfin hier, on avait des devoirs quand aujourd'hui l'on a que des droits.
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