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Ignazio GIUNTI
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Merci CAMERAT , j'avais bien repéré mais je me suis dit que ça ferait peut être réagir ...Bravo tu as vite dégainé et ça donne l'occasion de t'avoir ici
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Cette photo n'est pas prise à Kyalami en 1970.
La grille de départ était ainsi.
Il n'y a pas de 917 Gulf ou Martini au départ. Il n'y a pas de ronds blanc marquant l'emplacement de pilotes pour un départ type Le Mans à Kyalami.
La 512M n'a jamais eu le n°18.
Je pense à une rétrospective récente. Mais ce n'est pas le chassis 1010 qui actuellement a une carrosserie de 512S.
Mystère.
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Pour Ignazio, il ne reste plus à disputer pour cette année 1970 que les 9 heures de KYALAMI à nouveau avec la 512M et Jacky ICKX comme équipier. Autant le dire tout de suite ce sera l’occasion d’une belle mais malheureusement ultime victoire pour notre héros. Pour confirmer la vélocité de son nouveau modèle, mais aussi jauger sa fiabilité mise à défaut en Autriche, la Scuderia n’hésita donc pas à envoyer une voiture et son équipage vedette en Afrique du Sud pour y courir cette classique de l’endurance qui ne compte pourtant pour aucun championnat international, ce qui fait que le plateau est assez faible et très hétéroclite. En effet face au bolide italien, il n’y au niveau supérieur que des voitures d’équipes privées certes valeureuses comme la PORSCHE 917 engagées par le MARTINI RACING et piloté par le duo SIFFERT-AHRENS ou celle des précédents vainqueurs ATTWOOD-LOVE, mais on était loin de l’affrontement avec les voitures de John WYER. Ce qui sur le papier était prévu, se concrétisa parfaitement dans la réalité. ICKX signa une pole magistrale une seconde plus vite que SIFFERT, démarra en trombe, ce qui valu à notre duo une pénalité d’1 minute, sans pour autant troubler son irrésistible domination du début à la fin de la course qui l’emporta avec une confortable avance sur son second qui était encore la 917 de SIFFERT-AHRENS , d’autant que l’autre PORSCHE avait été contrainte à l’abandon alors qu’elle semblait la seule à menacer un tant soit peu les vainqueurs.
Seconde course pour la 512M et victoire sans problème
ICKX-GIUNTI c’est marqué dessus comme ...
ICKX s’envole les autres ne reverront la FERRARI que pour se faire prendre 1 tour
Les heureux vainqueurs et leurs trophées
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C’est très confiante que la Scuderia aborde cette dernière manche du championnat acquis depuis longtemps à PORSCHE. En effet, les multiples séances d’essais ont montré que la nouvelle 512 était bien plus véloce que le modèle précédent, reste à tester sa fiabilité sur une course. Pour l’occasion c’est avec Jacky ICKX, qu’Ignazio va disputer l’épreuve autrichienne au volant de l’unique modèle engagé officiellement par FERRARI. Les essais confirment parfaitement le niveau de performance espéré, puisque ICKX signe le second temps à un souffle de la PORSCHE de RODRIGUEZ et devance celle de SIFFERT. Son début de course allait démontrer à quel point la 512M était ultra compétitive. Non seulement le belge s’empara immédiatement du commandement, mais qui plus est, il lâcha irrésistiblement toutes les 917 lancées à ses trousses. Mieux encore, il réussit à battre le record de la piste qu’il détenait personnellement depuis le dernier GP F1 disputé quelques semaines au paravent . Malheureusement cette formidable démonstration allait vite s’arrêter quand la belle italienne s’immobilisa au beau milieu de piste batterie à plat. Un mécano fut vite dépêché sur place pour en apporter une nouvelle ( à l’époque c’était autorisé comme beaucoup d’autres choses…) et ICKX put reprendre la course avec 4 tours de retard sur les leaders avant de céder le volant à GIUNTI. Notre héros n’ira pas bien loin, puisque lui aussi à son tour tomba en panne avec un batterie à nouveau à plat. Comme il s’avéra rapidement que l’alternateur était out, ce fut l’abandon. En tout état de cause chez FERRARI on avait la confirmation que la 512M était très bien né, restait à l’exploiter efficacement pour la victoire, ce à quoi le constructeur italien allait malgré tout renoncer pour mieux préparer l’avenir.
La nouvelle 512M peut braver fièrement les imbattables 917
ICKX s’envole, les PORSCHE ne le reverront qu’une fois immobilisé en bord de piste
FORGHIERI et ICKX contemple la bête malade
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Conscients que la 512S souffrait de maux rédhibitoires, notamment son poids et son aérodynamisme, Mauro FRORGHIERI et ses hommes, se sont remis à la tache pour la modifier en profondeur d’où l’appellation 512 M pour « modificato ». Le châssis, les suspensions, la carrosserie mais aussi le moteur tout a été revu, nécessitant un long travail de mise au point dont GIUNTI, libéré de son programme F1, serra le pilier. Avant de l’ennoyer en course, de nombreuses séances d’essais seront réalisées par notre héros tant à MODENE qu’à MONZA, puis ce sera la première course de cette nouveauté à l’occasion des 1000 kms de ZELTWEG qui clôturent le championnat du monde des constructeurs.
Ignazio à l’œuvre avec la nouvelle 512M ici en essais à MONZA
Avec l’ingénieur CALIRI à MODENE
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Si Ignazio comptait sur les 500 kms d’IMOLA pour se refaire un moral, il fut certainement très déçu. Partageant pour la seconde fois après le RING un spyder 512S avec Arturo MERZARIO, là aussi tout commença de travers par une sortie de piste certes bénigne lors des premiers essais mais qui mit à mal son orgueil de pilote. Heureusement le lendemain c’est lui qui signait le meilleur temps de leur FERRARI en échouant à 4/10ème seulement de la PORSCHE 917 WYER de RODRIGUEZ mais devançant la seconde confiée à REDMAN. Pour la plus grande joie des tifosi MERZARIO, qui prit le départ, s’empara du commandement devant les deux 917 et il mena les 15 premiers tours avant de commencer à avoir des problèmes avec son levier de vitesse, devant laisser passer les deux allemandes avant de s’arrêter deux tours plus tard pour réparer et ne repartant que 8ème. La réparation de fortune ne permettant plus à la FERRARI d’être aussi véloce, quand Ignazio prit le relais, leur voiture n’occupait toujours que la 7ème place loin des deux PORSCHE de tête et de l’ALFA ROMEO 33 officielle de DE ADMICH-GALLI. De toute façon la pompe à essence mit un terme définitif à sa course peu après en avoir atteint la moitié. Tout le monde l’ignore encore, mais c’était la dernière apparition en course de la FERRARI 512S engagée officiellement par la Scuderia, place maintenant à la 512M
Le duo GIUNTI-MERZARIO associé pour la seconde fois
Un joli sextuor pour ces 500 Kms d’IMOLA
Légère sortie d’ignazio aux essais
En seconde position sur la grille entre les 917 GULF de John WYER
La 512 Spyder de GIUNTI-MERZARIO ne verra pas l’arrivée
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Le voilà donc ce GP d’ITALIE de sinistre mémoire qui verra la disparition tragique de Jochen RINDT et le triomphe de Clay REGAZZONI que pour ma part ( je l’ai déjà dit... tant pis je radote ), j’ai trouvé particulièrement déplacé compte tenu de ces circonstances ( bien que je n’étais pas fan de LOTUS mais vous savez de qui…). Revenons à Ignazio pour qui bien évidemment ce GP national revêtait une importance toute particulière, comme on peut aisément l’imaginer. Pour bien se préparer , c’est lui qui était chargé du fameux « collaudo » des 3 F1 appelées à disputer la course, cette séance d’essais pour voir si tout marche bien et qui eu lieu la veille de l’expédition des voitures à MONZA . Et ça commence mal puisque le vendredi Emerson FITTIPALDI qui découvre la LOTUS 72, freine trop tard à l’entrée de la Parabolique et escalade la roue arrière de la 312B de GIUNTI. Notre héros en est bon pour une belle frayeur quand il a vu la monoplace du brésilien volé au dessus de lui, mais pas de bobos , ni pour lui, ni pour sa monture si ce n’est du retard pour sa mise au point. Est-ce ceci qui explique son temps moyen même si il est 5ème sur la grille de départ? Au regard de la pole signée par ICKX et la 3ème place de REGAZZONI, il est à nouveau le plus lent des FERRARI. Au départ il maintient sa position et comme à cette époque MONZA est dépourvu de toute chicane, c’est la course à l’aspiration et le classement change en permanence, le tout est de rester accroché au bon wagon des leaders. Le moins que l’on puisse dire c’est que le wagon en question est abondant puisque encore au terme du 10ème tour il comprend, ICKX-STEWART-RODRIGUEZ-REGAZZONI-GIUNTI-OLIVER-STOMMELEN-HULME-CEVERT-BELTOISE, tous changeant à qui mieux mieux leur position, bien que seuls les 4 premiers nommés, aient été pointés en tête à un instant ou l’autre. Malheureusement c’est aussi le moment précis que choisit l’alimentation du flat 12 FERRARI de notre héros pour le trahir et le contraindre à l’abandon. Ignazio quitte immédiatement MONZA dépité d’autant que la mort de RINDT ouvrant en grand les possibilités d’un titre de champion pour Jacky ICKX, il a été décidé que tout serait mis en faveur du belge et qu’en conséquence deux 312 B seulement seraient alignés à l’occasion des 3 derniers GP courus outre atlantique. Bien évidemment la victoire de REGAZZONI à l’occasion du GP d’Italie, le désignait de facto pour cette mission de soutien au chef de fil de la Scuderia, Ignazio comme toute le monde l’ignore encore, mais ce sera aussi le dernier GP du pilote italien.
Ignazio est chargé du « collaudo » des FERRARI en vue du GP d’ITALIE sur le circuit de Modene
Enzo comme d’habitude est venu à MONZA encourager ses troupes
Le trio FERRARI paré pour la bataille
Ça commence mal pour Ignazio
5ème des essais tout était encore possible
La course en peloton ou le « charme » de MONZA
C’est fini l’alimentation a lâché, Ignazio vient de disputer son ultime GPF1
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Le texte et les 5 photos sont geniales - hâte de voir le prochain episode
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En arrivant à ZELTWEG pour le GP d’AUTRICHE qui va s’y courir pour la première fois, Ignazio sait que tout le monde va guetter sa performance face à Clay. Dès les premiers essais ce dernier devance notre héros, les deux pilotes réalisant immédiatement les meilleurs temps. Deux pilotes FERRARI me direz-vois ? Et oui, Jacky ICKX s’était offert un jour de plus de lune de miel avant de rejoindre l’Autriche… Mais le lendemain RINDT en son jardin et sa redoutable LOTUS 72, remettait les pendules à l’heure en décrochant une superbe pole au grand ravissement des ses milliers de supporters. Mais c’est bien REGAZZONI qui était son dauphin précédant ICKX et STEWART, Ignazio ne venant qu’en 5ème position seulement, mais il faut bien dire que les chronomètres officiels, pour une première ici, étaient un peu fantaisistes. Quoi qu’il en soit, tout le monde constatait que la moins rapide des FERRARI était bien celle de GIUNTI, Et que dire de la course. Au départ REGA et ICKX brûle la politesse à RINDT et comme STEWART a immédiatement un problème moteur, Ignazio se retrouve 4ème. Pour l’équipe TYRRELL c’est la Bérézina car maintenant c’est CEVERT qui explose son moteur et répand son huile partout, piégeant REGA qui est le premier à arriver sur les traces. ICKX passe en tète et RINDT voyant le suisse en détresse lève le pied ce dont profite également BELTOISE sur GIUNTI qui reste 4ème et dont le sort de la course est ainsi scellé comme nous allons le voir. Le duo de FERRARI de tête s’échappe irrésistiblement alors qu’Ignazio est bloqué derrière la MATRA. Pire RINDT qui avait temporisé après sa mésaventure, repasse à l’attaque et double la FERRARI de note héros, mais lui aussi butte sur notre compatriote jusqu’au 20ème tour quand son moteur rend l’âme ( les fameuses vacances COSWORTH….). Revoilà Ignazio 4ème mais toujours derrière BELTOISE et pendant ce temps ses équipiers ont pris la poudre d’escampette et ne seront plus rejoints, REGAZZONI restant sagement derrière son chef de fil. Ils passeront la ligne d’arrivée avec une avance considérable sur le 3ème. Pour le moment c’est toujours BELTOISE qui est à cette place devant GIUNTI mais ça ne va pas durer. Peu après la mi course, Ignazio stoppe à son stand pour faire changer son pneu avant gauche qui se dé lamine. Est-ce dû à un mauvais réglage ou le style de conduite d’Ignazio ( il est le seul a avoir connu ce problème) ? Toujours est-il qu’il repart en 10ème position pour se lancer immédiatement dans une remontée au cours de la quelle il double SIFFERT, GETHIN et AMON pour échouer dans les roues de BELTOISE à la 7ème place finale car entre temps, le français a opéré un ravitaillement express qui lui a fait perdre sa 3ème place au profit d’un STOMMELEN opportuniste. Inutile de dire que sur la ligne d’arrivée c’était la liesse côté FERRARI qui replaçait ICKX dans la course au titre, mais la grimace pour GIUNTI avec le sentiment d’avoir loupé sa course et un triplé pour la Scuderia.
A ZELTWEG une course gâchée
A la chasse de BELTOISE pour la 6ème place… trop tard ce sera la 7ème
Un triomphe FERRARI dont est exclu Ignazio
La joie et la satisfaction de REGA et FORGHIERI, la déception pour GIUNTI
Pourtant les tifosi avaient choisi leur camp
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Si la confiance de la Scuderia envers Ignazio semble assurée pour ce qui concerne les courses d’endurance, il n’en est pas exactement de même pour la F1. La loi de l’alternance mise en place entre lui et REGAZZONI , fait que logiquement il ne prend pas part au GP de GRANDE BRETAGNE que le suisse finit à nouveau à la 4ème place sauvant les meubles FERRARI après l’abandon de ICKX. Par contre, il aurait été logique qu’Ignazio réintègre le cockpit de la 312B à l’occasion du GP d’Allemagne couru cette année à HOCKENHEIM, or tel n’était pas le cas. Il est vrai qu’à l’inverse de notre héros, son concurrent y a déjà disputé de nombreuses épreuves de F2, mais le circuit allemand est loin d’être aussi complexe que celui de Clermont-Ferrand. En réalité chez FERRARI on a changé de politique. Devant le constat évident des bons résultats de sa Formule 1 à l’inverse de la Sport 512 qui elle déçoit, il devient indispensable de donner priorité à la première, alors pourquoi se priver de cette arme qui pourrait permettre de viser encore les titres pilotes et constructeurs 1970. Aussi il fut décidé qu’à partir du GP d’AUTRICHE, ce ne sont plus 2 voitures, mais bien 3, qui seront engagées et cette fois avec le trio ICKX-REGAZZONI-GIUNTI, permettant ainsi une confrontation directe entre chacun d’eux et disons le tout de suite, elle n’allait pas être favorable à GIUNTI. En attendant à l’occasion de ce GP d’Allemagne, REGA a explosé aux yeux du public et des spécialistes. Déjà aux essais, il réalise une sacrée performance se classant 3ème sur la grille de départ à seulement 1/10ème de RINDT et 3/10ème de son chef de fil ICKX. Son entame de course sera tonitruante jouant à fond le travail d’équipe sur ce circuit où l’aspiration fait tout. Les trois premiers de la grille s’échangeant à qui mieux mieux la tête et le suisse n’est pas le dernier à y figurer. Sa démonstration va s’arrêter brutalement au 30ème des 50 tours dans un magistral tête à queue qui l’immobilisera définitivement, mais comme celui-ci est dû à une transmission bloquée, personne ne lui reprochera. A l’inverse une fois ICKX isolé face à RINDT, il est vite apparu que la LOTUS allait s’imposer beaucoup plus facilement, ce qu’elle fera.
Deux pilotes pour un baquet mais une bonne entente quand même, il est vrai qu'à l'époque pas de réseaux sociaux pour foutre la m....
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A peine fini ce GP morose, que Ignazio saute dans un avion direction les USA pour y disputer les 6 heures de WATKINS GLEN où 2 spyder 512 sont engagés par la Scuderia FERRARI et qui seront pilotés par ICKX-SCHETTY d’une part et d’autre part, par notre héros associé à rien moins que la star Mario ANDRETTI, preuve à nouveau de la confiance placée en lui. Aux essais une nouvelle fois Mario démontre tout son talent en réussissant à intercaler sa FERRARI entre les 2 PORSCHE WYER alors qu’il est maintenant patent que l’italienne ne vaut pas l’allemande. Conscient de cette situation l’italo américain qui a Jo SIFFERT à sa droite pour négocier le premier virage, décide de ne pas le laisser prendre l’avantage de sa pole et le tasse copieusement à peine le drapeau vert agité. Les deux voitures se frottent l’une à l’autre, aucun de leur pilote ne voulant céder, mais au final c’est la FERRARI qui émerge en tête, mais pas pour longtemps. Le suisse furieux et déchaîné mettra 3 tours pour passer et quand ce fut fait, il s’échappera irrésistiblement. RODRIGUEZ s’apprêtait à en faire autant, mais il confondait commande de phares pour faire des appels derrière ANDRETTI et le coupe circuit, ce qui lui faisait perde plusieurs positions. Mais ce n’était que partie remise, car en plus d’être moins rapides, les FERRARI allaient très vite connaître des problèmes techniques. Pour le duo ICKX-SCHETTY, des freins défectueux qui nécessitèrent plusieurs arrêts prolongés, les reléguant à une misérable 5ème place finale et pour notre duo favori, à la fois la surchauffe du moteur et des problèmes d’alimentation entraînant un retard de 3 tours sur le duo des 917 gagnantes qui n’eurent plus qu’à se départager ce qui ne fut pas sans bobos ( cf Carnet 1970)
Ignazio fait équipe avec Mario ANDRETTI ...rien que ça
Au départ Mario ne se laisse pas faire….
image hosting
… Il faudra 3 tours pour que SIFFERT passe
Trop de problèmes et un manque de performance pour la 512 S face à la 917
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23eme et dernier temps des essais pour Lovely . Pourquoi limiter la course à 20 partants sur un si long tracé ?
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Derriere Giunti , on distingue le museau de la lotus 49 de Pete Lovely , non qualifié pour la course...
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Y'a pas à dire elle avait de la gueule cette 312 B pas comme celle d'aujourdhui
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