Annonce
Réduire
A LIRE IMPERATIVEMENT
Suite à une décision de justice (Arrêt N°344 de la Cour d'appel de Rennes en date du 05 décembre 2023) contestant les droits possédés par Washington Photo sur certains de ses clichés photographiques) et interdisant de les reproduire notamment sur Internet sous peine de poursuites financières, il est donc interdit de poster et donc reproduire dans nos forums (notamment le forum endurance) toute photo issue du fonds photographique de Washington Photo. La transgression de cette interdiction exposera ses auteurs à des poursuites juridiques. Nous vous demandons donc de respecter scrupuleusement cette interdiction.
Voir plus
Voir moins
Ignazio GIUNTI
Réduire
X
-
Dis donc la Canette je vai finir par croire que tu viens d'une autre planète ....L'ENORME polémqiue sur les responsabiltés de ce drame ça te dit vraiment rien ????????????
-
désolé. je ne savais pas qu'il s'était tué ce jour là. Sinon je n'aurai pas utilisé l'expression il lui en est arrivé de belles à Ignazio.
je ne suis pas encore complètement ignare. C'était juste pour participer un peu et faire plaisir à Targa.
Laisser un commentaire:
-
Bonjour. La Canette, reprend le début du post. Il est prévu que le récit sur Guinti s'arrête au départ des 1000 km de Buenos-Aires. Merci de ne pas déclencher des polémiques avec des questions innocentes. Ras le bol que tu remues sans cess le caca. Bonne journée. GG
Laisser un commentaire:
-
il lui en arrivé e belles à Ignazio ! Comme à Buenos Aires 1971. Mais qui pousse sa bagnole en panne au milieu de la piste ? Le reste arrive.
Laisser un commentaire:
-
J'ai le livre sur Trento Bondone, mais il n'y a pas l'Alfa de Giunti en photo, dommage.
Laisser un commentaire:
-
Mais non LA CANETTE ....j'attends avec imaptience ta prochaine saillie
Laisser un commentaire:
-
Chers amis,
Pilote qui m'est totalement inconnu, je n'avais pas l'intention d'écrire une ligne dans ce sujet, sauf faire un signe de temps en temps à mon TARGA bougon.
Et puis, j'ai quand même été voir sur RSC et là, je me suis dit:Le Canette, tu es une naine !
Je relève surtout ses participations au MANS et sa 3è place en 1968, j'y étais de Dieu !
Oui, Canette, il faut renoncer à jouer dans la cour des grands, retourne dans ta ferme et fais toi discrète.
Laisser un commentaire:
-
En 1964 Ignazio malgré la présence de la nouvelle GIULETTA TI SUPER , persévère avec son inépuisable version précédente et pas sans résultat. Il dispute toujours des courses de cotes en Italie ( il remporte notamment sa classe à TRENTO BONDONE) mais court aussi en circuit notamment là où il va établir sa réputation sur le tracé romain de VALLELUNGA qui lui vaudra le titre de « PETIT ROI DE VALLLUNGA ». Il y remporte notamment en fin de saison sa classe lors du TROPHEO CONCIGLIA SHELL et finit second du championnat italien des voitures de tourisme derrière Enrico PINTO. C’est également en 1964 que GIUNTI dispute sa première course hors Italie, en l’occurrence en France au MONT VENTOUX où il court sur une MINI COOPER. En dehors de son classement (21ème de son groupe) je n’ai malheureusement aucun autre détail concernant cette participation (si vous avez...).
La nouvelle GIULETTA n’empêche pas Ignazio d’être encore dans le coup ici à VALLELUNGA
Ou ici en course de côtes
Un essai quand même avec la nouvelle version. Notez l’état du casque ????
Est-ce la MINI d’Ignazio que l’on aperçoit dans le parc du MONT VENTOUX ?
Ou bien ici sur le camion de l’usine ????
Laisser un commentaire:
-
Fort de ces résultats, Ignazio est certain de son talent et il persévère en 1962 et acquiert ce qui sera une des rares exceptions de sa carrière aux voitures italiennes, un coupé BMW 700 avec lequel il dispute 2 coures de côte italiennes et où il se classe second et 3ème de sa catégorie. Mais bien vite il revend la BMW et revient sur une ALFA ROMEO, cette fois une Super Zagatto ( SZ) et remporte sa catégorie au TROFEO MICANGELI, une course de côte dans les Abruzzes. En 1963, c’est avec cette même auto repeinte en gris métal qui est la propriété d’un autre romain, Paolo DATTI, que GIUNTI dispute à ses côtés, sa première grande course internationale, la TARGA-FLORIO. Ils abandonneront au 7ème tour.
Bref essai avec une BMW 700
La SUPER ZAGATTO victorieuse dans les Abruzzes...
hoster une image
Mais abandon à la TARGA-FLORIO
Ignazio au volant de cette même SZ lors d’une course de côte en Italie
Laisser un commentaire:
-
Mise à part P4 dont je n'ai pas compris toutes les finesses du message et LAURENT, le moins que l'on puisse dire c'est que ça roupille ENCORE
Laisser un commentaire:
-
Ferrari P4 a fait de tres belle photos cette année. Suite pb de mon micro, je les ai perdu. Je vais demander à l'équipe pour ouvrir le sujet "Monument préféré des francçais"
Merci CMTARGA de raconter la folle vie des pilotes
Laisser un commentaire:
-
Bonjour CMTARGA, bonjour à vous tous. Tout d'abord, deux choses. Je comprends parfaitement le coup de gueule. Perso, je n'ai aucune documentation puisque depuis des années, je m'en sépare. Très bonne chose aussi concernant l'arrêt de cette biographie comme vous l'avez écrit. Seul souvenir que j'ai de Giunti, c'est essayer de discuter des pneus Michelin que Ferrari testait en grand secret ( DE POLICHINELLE ) et bien Ignazio ne fut pas bavard dans ces réponses. Cette conversation avait eu lieu lors des essais préliminaires en mars ou avril 1970. Pour la Canette, c'est bien pour l'appel du bec mais qu'il ne vienne pas tout mélanger et, malgré votre avertissement, nous parler de l'accident qui lui coûta la vie. Bonne journée.
Laisser un commentaire:
-
-
Ignazio GIUNTI
Pour commencer vous me permettrez un GRAND COUP DE GUEULE
Devant l’apathie générale qui règne ici, je me vois contraint de reprendre la plume, car mise à part le brave DUSER qui s’ingénie à poster régulièrement pour sauver un temps soit peu la vie de ce forum , les autres je ne vous félicite vraiment pas. Même la nomination du circuit des 24H comme monument préféré des français n’a soulevé aucun enthousiasme de votre part …Alors , j’espère que cette nouvelle bio vous animera un tant soit peu, mais peut être suis-je d’un optimisme béat ?? Détrompez moi et réveillez vous, les CAMERAT-TIPO-P4-INDY-P4-PAPY-RB29-SEBASTIEN-TON TON CLAUDE etc etc... sans parler de la CANETTE qui se fait de plus en plus discret malheureusement!!!!
Après mes longs récits précédents et avant d’attaquer un autre gros morceau ( si je ne suis pas dégoûté…), j’ai ressenti le besoin impérieux de faire court et les brèves vie et carrière d’Ignazio GIUNTI correspondaient à cet objectif. Mais en analysant un peu plus le sujet, et surtout en découvrant que plus de 50 ans après, la passion des italiens pour ce pilote était toujours aussi vive, je me suis vite rendu compte que cet aspect purement égoïste et matériel de ma part, laissait vite place à un intérêt particulier qui mérite largement qu’on se penche sur la carrière et le palmarès de ce pilote.
Tout d’abord, en à peine 10 saisons de compétition, il est passé d’une banale petite berline de Monsieur Tout le Monde à une FERRARI F1, là où à l’époque, seul un long cheminement, passant par tous les stades de la compétition, permettait d’accéder à ce Graal. Encore plus fort, avant de glisser ses fesses dans le baquet de la F1 de Maranello, il n’était même pas monté dans une FERRARI de course avant le 1e r janvier de cette année 1970 qui le voyait débuter dans la Scuderia et il n’avait jamais réellement piloté une monoplace de sa vie. Je ne crois pas, qu’il y ait beaucoup de précédents équivalents dans la longue histoire de la Scuderia.
Qu’est-ce qui a pu pousser, l’ineffable Commendatore à donner sa confiance à ce niveau, à un garçon aussi inexpérimenté alors qu’avec la F1 312B, son écurie retrouvait enfin le chemin du succès au point de viser les titres 1970. Pour ma part, j’aurai tendance à penser que la personnalité d’Ignazio, en plus de son talent, y est pour quelque chose, comme ce sera le cas pour un Gilles VILLENEUVE quelques années plus tard. A l’inverse du canadien, de par ses origines de la haute vieille noblesse italienne, GIUNTI, était un modèle de réserve et de bonne éducation, tant derrière un volant qu’en public, donnant de lui une image du gendre parfait à l’inverse de celui qui était son rival de l’époque pour piloter la seconde F1 de la Scuderia, l’exubérant et démonstratif Clay REGAZZONI.
A ce titre Ignazio était le digne héritier d’autres anciens de la Scudieria, comme les TARUFFI-MUSSO-VILLORESI ou Alfonso DE PORTAGO et enfin Lodovico SCARFIOTTI, mêlant vitesse, efficacité et élégance naturelle. Une autre particularité d’Ignazio, est qu’il n’a pratiquement jamais piloté autre chose que des voitures italiennes tout au long de sa carrière. Est-ce par nationalisme ou du fait des circonstances qu’il en fut ainsi ? Et puis bien sûr il y a le drame de BUENOS AIRES qui donne à ce pilote une dimension particulière et à ce titre, j’indique tout de suite que je ne prendrai aucune position au regard des circonstances de l’accident qui lui coûta la vie. Non pas que je ne le veuille pas, mais tout simplement que ce n’est ici ni mon but, ni ma volonté, chacun étant libre de son jugement à ce propos. Sur ce point, j’indique immédiatement que mon récit s’arrêtera sur la grille de départ de ces tragiques 1000 kms de BUENOS AIRES courus le 10 janvier 1971, soit exactement 10 ans, 6 mois et 15 jours après la toute première victoire d’Ignazio en automobile au Rallye des DOLOMITES.
Rien ne laissait présager que le jeune GIUNTI deviendrait pilote de course. Né à Rome en 1939 ( même si il déclara au début de sa carrière être natif de 1941?) , d’une mère descendante de la noblesse calabraise, le moins que l’on puisse dire, c’est que sa famille vit dans une certaine opulence. Pour autant ce n’est pas auprès d’elle qu’il recevra un soutient quelconque pour assouvir sa passion de la course bien au contraire. Certes à 20 ans il est déjà propriétaire d’une ALFA ROMEO GULIETTA TI qui va lui permettre de débuter en cachette de ses parents, à l’occasion de la course de côte FRASCATI-TUSCOLO à une centaine de kilomètres de Rome au printemps 1961 où il finit 3ème de sa catégorie. En juillet toujours avec sa GULIETTA bleue nuit et en compagnie d’un ami d’enfance comme co-pilote, il s’inscrit au Rallye des DOLOMITES, comptant pour le championnat national, qu’il termine à la 15ème place au général et remporte sa catégorie. Toujours avec sa GIULETTA à la quelle il va rester fidèle longtemps, il dispute encore 4 courses de côte italiennes dont la fameuse TRENTO BONDONE où il se classe second de sa catégorie et début 1962, il dispute le RALLYE DES FLEURS ( qui va devenir le SAN REMO) où il remporte à nouveau sa catégorie.
Tags: Aucun(e)
Laisser un commentaire: