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Bravo TIPO ...toi aussi tu te mets à dégainer plus vite que ton ombre
. Une question d'où provient ton article ?
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Dans cet excellent bouquin de Patrice Moinet :
Sa saison F2 est terminée, mais courageusement, il repart 3 mois plus tard en F3 lors des coupes de l'ACIF à Montlhéry, alors que les chirurgiens avaient prévu 6 mois d'inactivité . Il a alors perdu 15 kilos ...Commentaire
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Retour à Zandvoort avec cette question : sans sa sortie de route, JPB pouvait-il terminer devant Jackie Stewart ?
Son témoignage :Envoyé par CMTARGA Voir le message
Moment de frayeur pour BELTOISE.
Ici, sous la pluis, devant Jackie Stewart :
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De retour plus tôt que prévu et le moins qu'on puisse dire c'est que le forum roupille
CAMERAT semble aux abonnés absents, aussi demain je reprends le cours de l'année 1968...peut être nous rattrapera-t-il plus tard ?????Commentaire
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1er JUILLET
200 MILES NUREMBERG.
La traditionnelle course du NORISRING avait le gros avantage d’être ouverte aux prototypes de plus de 3 litres, comme la FERRARI P4 (ou 412 P) ce qui permit à son heureux propriétaire, David PIPER, de pouvoir s’engager et aux heureux spectateurs bavarois, de revoir cette beauté pure même si elle était aux couleurs british du vert anglais. Face à cet épouvantail, des LOLA T70 pour BONNIER, GARDNER,EPSTEIN et NORINDER et des GT 40 pour HAWKINS-PROPHET-SADLER . Bien sûr PORSCHE et BMW se devaient d’être présents à cette grand messe du sport auto teuton. La firme de STUTTGART avait délégué un coupé 908 à queue courte pour le « local matador » comme disent nos cousins germains, Gerhart MITTER, alors que Jo SIFFERT et Vic ELFORD devaient se contenter de 910 privées. BMW pour sa part était représentée par une voiture originale, conçue initialement pour les courses de côte à partir d’un châssis LOLA propulsé par un 4 cylindres 2 litres et confiée au pilote maison Dieter QUESTER. Aux essais MITTER et sa 908 étaient les plus rapides mais de peu devant PIPER et sa belle FERRARI. Suivaient les LOLA de BONNIER et GARDNER puis la BMW de QUESTER, alors que SIFFERT et ELFORD, avec leurs modestes 910, étaient noyés dans le peloton, promesse de belles remontées des deux stars de chez PORSCHE. Prévue en deux manches de 40 tours avec addition des temps, au départ de la première, MITTER s’imposait devant PIPER et BONNIER et on notait à la fin du premier tour, que SIFFERT et ELFORD, roues dans roues, étaient déjà 8 et 9èmes. Mais la domination de la PORSCHE 908 n’allait pas durer, MITTER regagnant les stands avant même le 10ème tour (embrayage). Dès lors la FERRARI « evergreen » de PIPER, allait tranquillement s’acheminer vers la victoire d’autant que derrière les LOLA de BONNIER et GARDNER les plus menaçantes, connurent des fortunes diverses. Le premier abandonnant et le second des soucis de boite de vitesses qui faillirent lui coûté sa seconde place et qui fut sauvé par le gong, face à la LOLA-BMW de QUESTER 3ème. Du fait des multiples abandons chez les grosses cylindrées, SIFFERT et ELFORD étaient 4ème et 5ème. Ils n’étaient plus que 18 au départ de la seconde manche et autant le dire tout de suite, ce fut une promenade de santé pour PIPER et sa FERRARI reléguant le second à plus d’un tour à l’arrivée. Cette seconde place connu plusieurs titulaires avant qu’elle n’échoue définitivement à QUESTER ce qui ravit les responsable de BMW qui ne s’attendaient pas à un tel résultat avec une telle machine. SIFFERT empochait la 3ème place devant son équipier Rico STEINEMAN également sur une 910 de l’équipe suisse HART SKI, alors qu’ELFORD avait été éliminé par un GARDNER bien encombrant (cf sa bio et la photo).
Au départ MITTER conserve la tête devant PIPER et BONNIER.
Pousse-toi de là minus (GARDNER v/s ELFORD).
PIPER irrésistible avec la FERRARI P4.
BERGSPYDER LOLA-BMW surprenant second avec Dieter QUESTER.
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Avec du retard, désolé un livre à finir, du boulot par dessus la tête... le classement du GP des Pays Bas en photos.
1 Jackie Stewart 8 Matra International Matra MS10-Ford 2h 46m 11.260s 9
2 Jean-Pierre Beltoise 17 Matra Sports Matra MS11 2h 47m 45.190s 6 
Le tête à queue à Tarzan plus le ramassage de sable l'oblige à un arrêt nettoyage. La remontée depuis la 7e place n'en est que plus belle.
3 Pedro Rodriguez 15 Owen Racing Organisation BRM P133 89 laps 4 
4 Jacky Ickx 10 Scuderia Ferrari Ferrari 312 88 laps 3 
Comme quasiment tous les pilotes sauf Stewart, Ickx y va de sont tête à queue.
La Brabham BT20 du suisse a le train avant étonnament haut.5 Silvio Moser 22 Ecurie Charles Vogele Brabham BT20-Repco 87 laps 2
6 Chris Amon 9 Scuderia Ferrari Ferrari 312 85 laps 1 
Avant c'était mieuxCommentaire
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7 16 Richard Attwood BRM 85 +5 laps
8 19 Jo Bonnier MCLAREN BRM 82 +8 laps
9 3 Graham Hill LOTUS FORD 81 DNF
Si les Lotus ont commencé les essais avec le capot moteur "propre",...NC 4 Jackie Oliver LOTUS FORD 80 +10 laps
...un bricolage indigne de Chapman est venu se rajouter pour la course.
Ce qui n'empêche pas le tête à queue sous la pluie.
NC 18 Dan Gurney BRABHAM REPCO 63 DNF
NC 21 Jo Siffert LOTUS FORD 55 DNF
NC 7 John Surtees HONDA 50 DNF
Comme d'autres, Surtees a fréquenté la plage extérieure de Tarzan.
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NC 20 Piers Courage BRM 50 DNF
En début de course Courage a modifié le capot avant, nécessitant un remplacement.
NC 6 Jochen Rindt BRABHAM REPCO 39 DNF
NC 5 Jack Brabham BRABHAM REPCO 22 DNF
Assez tôt Brabham est restée à Tarzan, la vue est belle pour suivre le reste de la course.
NC 2 Bruce McLaren MCLAREN FORD 19 DNF
Bruce est le premier à poser sont transat à Tarzan
NC 1 Denny Hulme MCLAREN FORD 10 DNF 
NC 14 Lucien Bianchi COOPER BRM 9 DNF
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Retour au Norisring avec Pipes et Quester sur le podium :
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Excusez les amis j'avions point vue vos livraisons du jour ....toujours ce foutu forum qui n'est même capable de se mettre à jour CHAMUUUUUUUUUUUU ou es tuuuuu ?
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7 JUILLET
GP DE FRANCE
Depuis des lustres et avant même la création du Championnat du Monde en 1950, à l’inverse de ce qui se passait dans les autres pays, ce n’est pas la Fédération française qui organisait la course de monoplaces la plus prestigieuse, mais l’Automobile Club de France, d’où la dénomination de GP de l’ACF usitée jusque là. Sous l’impulsion de son nouveau Président, Bernard CONSTEN, la FFSA récupérait ce pouvoir pour organiser donc le véritable 1er GP de FRANCE. Restait à trouver un circuit digne de ce nom, compte tenu que le plus usité était celui de REIMS-GUEUX, justement chasse gardée de l’ACF et que le BUGATTI au MANS utilisé en 1967, s’était avéré totalement inadapté aux frêles monoplaces de F1. Dans ces conditions, il ne restait plus que ROUEN LES ESSARTS déjà promu précédemment et qui avait vu son dernier GP F1 en 1964. Doté d’un tracé rapide et périlleux malgré la pose de rails, il demeurait à l’image d’un SPA FRANCORCHAMPS malgré tout extrêmement dangereux, la sortie de piste ne pardonnant guère. Ce n’était pas non plus l’endroit idéal pour faire débuter une monoplace révolutionnaire ou essayer des éléments aérodynamiques encore perfectibles. Pourtant HONDA dans le premier cas et LOTUS dans le second n’hésitèrent pas. Colin CHAMPMAN jamais avar d’invention, monta sur ses LOTUS de véritables ailes d’avion implantées directement sur les suspensions arrières à 1 mètre au-dessus de la monoplace au bout de frêles piliers. Si l’expérience s’avéra malgré tout concluante, Jackie OLIVER aux essais s’offrit une belle frayeur après la rupture de son aile à pleine vitesse. Par contre les débuts de la HONDA RA302, pure produit maison, se soldèrent pas un drame qui coûta la vie à Jo SCHLESSER à la fois par un manque totale de mise au point et une construction particulièrement dangereuse. Jusque là, la marque nippone devant les échecs successifs de ses propres monoplaces, avait dû faire appel à LOLA pour enfin commencer à obtenir des résultats tangibles comme nous l’avons vu. Vexés, les ingénieurs japonais décidèrent de créer une voiture entièrement nouvelle dotée d’un V8 refroidi par air (??) et qui plus est avec un châssis essentiellement composé de magnésium afin d’être le plus léger possible. Ainsi naquit cette monoplace originale de taille extrêmement réduite, dont John SURTEES effectua les premiers essais qui s’avérèrent catastrophique au point que le pilote britannique refusa catégoriquement de la piloter en course. HONDA venant d’implanter en France son réseau commercial, ne l’entendait pas de cette oreille et malgré les indications contraires de son pilote maison, décida malgré tout de l’engager à ROUEN. Restait à trouver un pilote et comme il s’agissait d’opérer une promotion hexagonale, qui mieux qu’un pilote du cru. A ce titre et ayant une expérience suffisante, il n’y en avait pas plusieurs libres sur le marché pour disputer un GP et le choix de SCHLESSER s’imposa rapidement. On sait ce qu’il advint pour le malheureux Jo qui enfin disputait son premier GP F1 et qui dès le 2ème tour de course quittait la piste, heurtait le talus où sa HONDA remplie d’essence explosa littéralement ne lui laissant aucune chance. Deux semaines après le triomphe bleu, en ce sombre et pluvieux dimanche normand, la France perdait un de ses meilleurs et plus sympathiques pilotes. Restait le GP qui allait voir la première victoire de Jacky ICKX au volant de sa FERRARI. C’est Jochen RINDT qui avait signé la pole démontrant les progrès de la BRABHAM REPCO, devant STEWART, ICKX, HULME, AMON. McLAREN, SURTEES et BELTOISE auteur d’une bonne performance avec la MATRA-MATRA cette fois sur terrain sec. Par contre tout comme à SPA, les LOTUS étaient à la traîne et OLIVER suite à sa mésaventure des essais était forfait. Les BRM en compagnie des COOPER fermaient la marche avec, pour ces dernières et par la force des choses, deux nouveaux pilotes ELFORD et SERVOZ-GAVIN ( cf leur bio respective). Le temps est menaçant au moment du départ mais seul ICKX opte pour les pneus pluie, ce qui allait lui donner un avantage considérable car au moment où le drapeau s’abaisse, il pleut et le destin de la course est immédiatement scellé en faveur du belge. Derrière, le pole man RINDT ayant crevé sur les débris de la HONDA en feu et STEWART peu à l’aise sous la pluie de plus en plus drue, SURTEES et RODRIGUEZ en ont profité pour le dépasser. Comme l’écossais, les deux McLAREN et leurs GOODYEAR sont à la peine, ce que AMON préféra éviter en s’arrêtant pour mettre les pluies mais dégringola au classement. HILL et SERVOZ ont rapidement disparu alors que son équipier ELFORD remonte aux avants postes. A mi-course le classement est ICKX-RODRIGUEZ-SURTEES-STEWART-ELFORD-McLAREN-HULME-RINDT-AMON. La pluie cessant la piste va progressivement sécher mais ICKX, malgré ses pneus pluie, reste indétrônable, d’autant que RODRIGUEZ, à nouveau très bien placé, abandonne et que SURTEES doit stopper pour changer de lunettes. Au final le classement ne changera plus beaucoup. ICKX, l’emportant avec presque un tour d’avance sur SURTEES, puis STEWART 3ème et un excellent ELFORD et sa modeste COOPER-BRM 4ème,.HULME et COURAGE sont les derniers à marquer des points au championnat. A ce propos étant exactement à la moitié des GP à disputer, il est bon de faire un point au classement du championnat du monde. Fort des ses 2 victoires et de sa seconde place à KYALAMI et malgré un passage à vide depuis MONACO, Graham HILL garde la tête avec 24 points devant STEWART et ICKX 16, puis HULME 12..
La sinistre révolutionnaire HONDA RA302 avec Jo au volant.
Les ailes d’aviation plantées sur les suspensions des LOTUS.
STEWART a pris la tête pour quelques centaines de mètres.
ICKX passé devant précède SURTEES qui finira 2ème et RODRIGUEZ qui abandonnera.
Victoire nette et sans bavure de Jacky ICKX et sa FERRARI avec les bons pneus.
Jochen RONDT la pole et puis s’en va.
L’exploit Vic ELFORD et la poussive COOPER-BRM 4ème.
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Pas tout de suite le GP de France, je ne suis pas prêt. Pas sur avant le fin de la semaine.Avant c'était mieuxCommentaire
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OK ça tombe bien car pour les prochains épisodes je pense que tu interviendras peu
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