Vos premières 24 heures

[prosto]

Re : Vos premières 24 heures

Enfin je débarque sur ce sujet fort intéressant. Mes premières 24 h...en 1967, bien qu'en 1966 j'ai assisté aux essais préliminaires (avec la monstrueuse J CAR). Etant au service militaire au camp de Auvours au 2è RIMA. Ensuite, essais, et courses de 67 à 1974. Ne pas oublier qu'en 1974 la course fut remporté difficilement par Matra avec dans ses trousses...la Porsche Carrera Turbo de Muller Van Lennep. Pas si loin.
Essais en 1981 et 1982 et ensuite...télé !

[loicbrz]

Re : Vos premières 24 heures

J'oubliais de dire avec la discussion sur 1977, mes premières 24 Heures étaient en 1969, j'avais 14 ans et voilà ce que je voyais alors d'où je me trouvais pour le départ... Pensée pour La Canette avec le stand #10 ! ...


(Photo Loïc Le Clainche 1969)

[camerat]

Re: Vos premières 24 heures

Belle photo, pratique pour les stands de 1969. Merci.

[pantera gr4]

Re : Vos premières 24 heures

J'ai regardé les journaux locaux , edition de la nuit, mais pas de trace de pluie ....a priori pendant ces 24 heures ..j'ai egalement visionné les images du dimanche matin en direct , mais la non plus pas d'allusion a la pluie pendant la nuit !!! a suivre !

[pantera gr4]

Re : Vos premières 24 heures



Ha si ! il a plu !!!

[Invité]

Re : Vos premières 24 heures

Ah, merci, Pantera. Je finissais par avoir de sacrés doutes sur ma mémoire ! Certes c'était il y a bien longtemps, mais quand même... Je n'avais pas, comme d'habitude, dormi durant la totalité de l'épreuve et j'ai le souvenir, comme dit plus haut, de cette fin de nuit et début de matinée où j'avais conversé avec la compagne de Bob Wollek devant le stand de la Porsche Burton et...il pleuvait.
Certes rien à voir avec 1979 ou 1980, mais quelques ondées passagères...

[loicbrz]

Re : Vos premières 24 heures

Ha si ! il a plu !!!

Une simple averse alors parce que sinon ... Et peutêtre pas sur Mulsanne en plus là où je me trouvais ... Bon, on va revenir au sujet car à force de sodomiser les dyptères, on va finir par se perdre ! ...

[Invité]

Re : Vos premières 24 heures

On ne va pas jouer les anciens combattants mais c'est sûr qu'on a eu de " good vibrations " les uns et les autres au Mans !
Notre nostalgie est compréhensible, plus on vieilli, plus on gagne de la nostalgie sur tout.

J'aimerai bien avoir le ressenti d'un plus jeune qui a débarqué comme nous entre 13 et 16 ans au Mans, mais dans les années 2000.
A t-il ressenti ce même bonheur, ces mêmes émotions , qui font qu'on est tombés dedans, à vie...

[Titounet]

Re : Vos premières 24 heures

Bonsoir can the can 4,


Bien que "ma première fois" au Mans fut en 1995, j'étais bien dans la tranche d'âge que vous citez. La passion aura eu raison de moi et 18 éditions plus tard, elle me tient toujours au corps. Satané virus dont je ne voudrai pas guérir.

Les 24 Heures du Mans ... ou l'éveil des cinq sens: l'ouïe pour le bruit des moteurs, la vue des belles carrosseries, l'odorat pour les huiles et le caoutchouc brûlés [sans parler des barbecues], le toucher d'une légende et le goût de la passion. Une certaine forme d'épicurisme certes parfois onanique mais irrésistible. C'est aussi cela mon ressenti lorsque je pense aux 24 Heures. Mais je reste cartésien et n'oublie pas qu'il y a bien d'autres choses à vivre. Vous vouliez une réponse, voici la mienne

a contrario, je regrette de ne pas avoir connu les 28 éditions précédentes. Mais c'est un fait, mes parents ne s'étaient pas encore rencontrés en 1967

o tempora o mores


Voilà ce que l'un des plus jeunes pouvait vous raconter !


Bonne fin de soirée !

[camerat]

Re: Re : Vos premières 24 heures

Bonsoir can the can 4,


Bien que "ma première fois" au Mans fut en 1995, j'étais bien dans la tranche d'âge que vous citez. La passion aura eu raison de moi et 18 éditions plus tard, elle me tient toujours au corps. Satané virus dont je ne voudrai pas guérir.

Les 24 Heures du Mans ... ou l'éveil des cinq sens: l'ouïe pour le bruit des moteurs, la vue des belles carrosseries, l'odorat pour les huiles et le caoutchouc brûlés [sans parler des barbecues], le toucher d'une légende et le goût de la passion. Une certaine forme d'épicurisme certes parfois onanique mais irrésistible. C'est aussi cela mon ressenti lorsque je pense aux 24 Heures. Mais je reste cartésien et n'oublie pas qu'il y a bien d'autres choses à vivre. Vous vouliez une réponse, voici la mienne

a contrario, je regrette de ne pas avoir connu les 28 éditions précédentes. Mais c'est un fait, mes parents ne s'étaient pas encore rencontrés en 1967

o temora o mores


Voilà ce que l'un des plus jeunes pouvait vous raconter !


Bonne fin de soirée !

Il me semble d'après un vague souvenir de la lecture d'un Astérix que la locution latine est: o tempora o mores

[Titounet]

Re : Vos premières 24 heures

Bonsoir camerat,


mea culpa est !


J'ai omis la lettre "p" bien évidemment


Je m'en vais corriger mon erreur et vous souhaite une bonne soirée. Merci à vous

[Dominique]

Re : Vos premières 24 heures

En plus de l'histoire, on fait du Latin sur ce forum. Ma femme ne peut plus râler que je perds mon temps sur le net.
JK

[Duser]

Re : Histoire du Circuit des 24h du Mans

Puisque vous nous rappelez avec passion vos anecdotes du Mans 1977,
voici 2 photos de cette édition, vous reconnaîtrez facilement
ces 2 endroits mythiques du circuit :

Est ce que je peux mettre cette photo dans le sujet Tertre Rouge?
Amusant je l'avais copiee ainsi que celle de la De Cadenet
en tombant dessus sur heberger.com sans en connaitre l'origine .

http://forums.motorlegend.com/vb/showthread.php?t=36991&page=5&highlight=tertre+rouge

[Invité]

Re : Vos premières 24 heures

Mon cher " jack " on ne perd pas notre temps ici. Ma chère femme, plus connue ici sous le nom de " Girls,Girls, Girls " voir le sujet du même nom qui se morfond p 5 mais où tu peux la voir # 1132 ( où visiblement elle se fait ch.... ) s'est rendue à l'évidence.
Le WE du Mans, elle le passe avec des copines ( du moins je l'espère) et me laisse devant ma télé pendant 24 heures.
Les enfants évitent de m'appeler, le boucher m'a préparer les grillades ( comme là bas) je passe la tondeuse pour que çà sente bon l'herbe fraîchement tondue ( comme là bas) je fais brûler un pneu dans le jardin pour l'odeur de cramé ( comme là bas) et puis je met au dessus de la télé la photo de John Woolfe.
Quand elle rentre, le lit n'est pas défait car j'ai dormi dans le canapé du salon, TV allumée sans son, et je réattaque le dimanche matin avec un bon café, en zieutant le classement général, les abandons de la nuit etc...

Bon, 2002 ma dernière édition, çà commence à dater, je sais que j'y retournerai, un jour.... avant.... çà s'est sûr, foi d'une canette !

[Invité]

Re : Vos premières 24 heures

Bon,J' en ai pratiquement fini avec ma participation au Mans '77, mais pour faire un peu "baver" ceux qui ne connaissent que le Mans de maintenant, j'aimerais leur dire, qu'à une époque, Le Mans était quelque chose de convivial où on pouvait participer pour peu de chose. En '77, j'étais dûment accrédité. Mais en '76, je n'étais qu'un simple spectateur s'étant acquitté de son droit d'entrée et du prix de la Tribune Citroën, devenue ACO depuis. J'aperçois un grand ami dans le village. Il faisait partie de l'équipe de l'ami BUSSI, dont je vous parle depuis plusieurs pages. Il a simplement fallu de parler courtoisement avec l'un des préposés au contrôle des billets à l'entrée du paddok pour que je me retrouve sur la grille de départ, puis, par la suite, amener au stand des pneus pour l'auto de l'ami Bussi, associé cette année-là à P. Gurdjian et Gouttepiffre. L'auto n'a pas été très loin dans la course. J'ai, à la maison, une photo de moi-même sur la grille et, pour quelqu'un qui, jusque là n'avant été qu'un simple payant, celà demeure un souvenir énorme.
J'imagine, aujourd'hui, pouvoir négocier avec les cerbères que l'on trouve aux différentes issues du circuit ( c'est peut-être mieux, d'ailleurs, ne serait-ce que pour la sécurité) Pour les mordus, il s'agissait de la Carrera n° 62. Pour les hyper-fanas, l'équipe était installée, cette année-là, dans le paddok bas, celui qui était bien bitumé, juste à côté de chez Kremer. Pour '77, nous étions installés "en haut", là où les voies étaient bitumées, mais pas sur les bords. Tout près du grand distributeur d'essence, sur l'herbe vite devenue gadoue en raison des belles pluies du mercredi soir. A cette époque, je parle de '77, j'avais pu entrer ma très modeste Peugeot 104 dans l'allée principale du village "près du Martini Club", car entré dès le mardi, sans un quelconque "pass". Désormais, pour pouvoir accéder à cet endroit (ou son équivalent) mieux avoir une Bentley ou Ferrari FR ce que vous voulez)
Les anciens ne seront pas surpris, les jeunes douteront de la véracité des propos...