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1968 carnet d'un passionne

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  • A vos ordres Chef ... ... bon faut que je me dépêche, sinon il va déjà être au ''Boxing Day'' sans que camerat ne se soit rendu compte de rien ...





    Je laisse à ferrari p4 le soin d'identifier voitures et pilotes derrière François Cevert .
    Géjé, si tu coinces ...  ... tu peux demander à Dominique de te donner un coup de main ...

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    • Bonsoir. J'essaie. Cevert, Peterson, Franceschi, Jabouille Corti, Offen, après, je vois des tâches !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

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      • J'aime bien le travail d'équipe ....surtout quand c'est moi qui le distribue 

        Allez je vous laisse demain pour préparer vos copies 
         

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        • Rien de plus 

          20 JUILLET
          GP GRANDE BRETAGNE



          Pour la 3ème fois seulement, le GP de GRANDE BRETAGNE avait lieu sur le vallonné circuit de BRANDS HATCH bien loin des habituelles mornes plaines de AINTREE ou SILVERSTONE, Pour autant on avait de plus en plus l’impression en regardant les F1 alignées dans le paddock, qu’on était sur un aérodrome digne du dernier circuit nommé. En effet « l’école CHAPMAN » faisait de plus en plus d’émules. Si les BRM et les COOPER étaient encore dépourvues de tout appendice aérodynamique postérieur, ceux des autres, à commencer par la HONDA ressemblaient de plus en plus par leur volume ou hauteur à ceux déjà arborés par les LOTUS officielles en France, même celle privée de Rob WALKER en étant affublée. Mise à part ceci, le plateau de cette 7ème manche du Championnat du monde ne comptait aucune nouveauté marquante seule la présence de Robin WIDDOWS au volant de la seconde COPPER-BRM était à noter, ce qui laissait fortement supposer qu’en sus de leurs performances médiocres, les fonds de l’équipe pourtant championne du monde aux débuts de cette décennie, étaient au plus bas pour faire appel à des pilotes payants. Dan GURNEY faisait enfin son retour avec son EAGLE-WESLAKE déjà vue à MONACO et espérait bien que cette pause avait été mise à profit par le motoriste US, pour redonner à son V12 puissance et fiabilité. Disons le tout de suite, si les spectateurs britanniques avaient un doute sur la qualité des prestations des créations de Colin CHAPMAN après la disparition du grand Jimmy CLARK, ceux-ci ont dû être totalement dissipés au soir de ce GP, qu’une LOTUS mena du premier au dernier tour. Certes ce n’est pas une voiture officielle aux couleurs bariolées d’un fabricant de tabac qui passa la première sous le drapeau à damiers, mais bien et pour la toute dernière fois dans l’histoire du championnat du monde ( tout au moins jusqu’à ce jour), celle d’une équipe privée en l’occurrence la bleue nuit et blanche de l’écurie ROB WALKER et de son pilote fétiche Jo SIFFERT. Dès les essais les pilotes de la firme de HETHEL s’étaient mis en évidence. Graham HILL, fort de son statut, avait réussi à mater son jeune et fougueux coéquipier Jackie OLIVER, pour s’imposer à la première place de la grille de départ. De son côté SIFFERT avait bien été devancé par AMON et sa FERRARI, mais il était clair que le suisse n’avait pas encore totalement en main sa LOTUS 49 dernier modèle qu’il venait d’étrenner. Jochen RINDT et sa BRBHAM suivait et surprise GURNEY était à ses côtés, prouvant les nets progrès de l’EAGLE. Les déceptions venaient de STEWART et de sa MATRA en délicatesse avec son aileron mobile commandé par un moteur électrique de fusée ( MATRA oblige) qu’il fera démonter pour la course et des McLAREN décidément peu à l’aise sur les tracés tortueux, tout comme la HONDA de SURTEES. Enfin Jacky ICKX dernier vainqueur en date, s’était loupé pour ne figurer qu’en 12ème position alors que BELTOISE handicapé par le surpoids de sa MATRA côtoyait les BRM et COOPER à l’arrière. Une nouvelle fois en cette saison bien humide, la pluie menace au moment du départ et RINDT-McLAREN et RODRIGUEZ optent pour les pneus pluie, ce qui va obérer immédiatement leur course qui retestera sur piste sèche. C’est OLIVER qui s’empare du commandement devant son glorieux équipier et SIFFERT soit un trio LOTUS suivi par AMON, STEWART et SURTEES, tous les 2 bien partis, il est vrai aussi bien aidés par les pneus inadaptés de RINDT et les soucis de GURNEY sur la grille qui s’est élancé après la meute. HILL réussit rapidement à se débarrasser de son équipier et s’échappe devant lui qui précède de peu les duos SIFFERT-AMON et plus loin STEWART-SURTEES roue dans roue. Derrière au fil des tours les rangs s’éclaircissent. C’est tout d’abord BRABHAM et BONNIER er puis ATTWOOD ( BRM) et BELTOISE qui disparaissent alors que les McLAREN échangent leur position, HULME prenant le dessus sur son patron et que ICKX entame une belle remontée le voilà 8ème. Au 15ème tour une légère fumée bleue s’échappe de la LOTUS d’OLIVER. Mais alors qu’on s’inquiète pour lui, coup de théâtre, c’est Graham HILL qui s’arrête suspension cassée. Les actions LOTUS s’effondrent car on ne donne pas cher de celle d’OLIVER qui fume de plus en plus et l’inévitable va se produire au 44ème tour avec l’abandon de la seconde machine officielle. Heureusement pour les couleurs britanniques, il reste SIFFERT toujours en bagarre avec AMON. Derrière ICKX, poursuit sa superbe remontée en passant les Mc LAREN puis le duo SURTEES-STEWART, le champion moto ayant pris le pas sur l’écossais mais il sera par la suite victime d’un bris d’aileron, ce qui facilitera l’accès à la 3ème place du belge à distance des leaders. Devant une telle chevauchée on se dit que les FERRARI ont le vent en poupe et on ne donne pas cher du pauvre SIFFERT et de sa « modeste » LOTUS privée. C’est mal connaître le caractère impétueux du pilote suisse qui va résister coûte que coûte aux attaques du néo zélandais qui jamais ne trouvera l’ouverture se contentant d’une nouvelle seconde place devant son équipier héroïque. La fin de course a aussi été animée entre le trio HULME-SURTEES-STEWART finissant dans cet ordre, suite aux avatars des deux britanniques. Au championnat, la déconvenue des LOTUS officielles, permet un sacré resserrement des positions où Jacky ICKX, pour sa toute première saison F1, est maintenant le nouveau dauphin de Graham HILL à seulement 4 points puis viennent STEWART et HULME respectivement à 7 et 9 points de retard.

          Grille de départ ou piste d’envol, les ailerons fleurissent de plus en plus


          OLIVER s’est emparé du commandement devant HILL-SIFFERT-AMON



          Le moteur d’OLIVER est entrain de lâcher


          Duel pour une première victoire en F1 SIFFERT devant AMON


          Jacky ICKX la remontée du jour et la place de dauphin au championnat




           

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          • Envoyé par CMTARGA Voir le message
            .../...

            Duel pour une première victoire en F1 SIFFERT devant AMON




             
            Bonjour,
            Le bras levé de Chris Amon indique un barrage efficace de Jo Siffert, un peu trop ?
            Dominique

             

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            • Et, dans les coulisses de ce British GP :

              La traditionnelle partie de cricket



              La présence de Charles III





              Graham fête sa pôle d'abord avec modération, puis avec éxagération





              Dan Gurney teste l'intégral, pendant que Black Jack fait dans le vieux





              Jo Bo n'arrive pas à régler sa voiture, et demande à Bruce McLaren de lui donner un coup de main



              Mauro soucieux









               

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              • Pedro de bonne humeur





                Rob Walker comblé



                Simone Siffert qui tombe dans les bras de Colin Chapman



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                • Bonsoir. Et ce samedi après-midi de course, je faisais visiter le garde-meuble de la caserne à un couple qui devait être muté à l'étrager. Mais lors de ce déplacement dans le grenier, j'avais le transistor collé à l'oreille. Il me semble qu'Oliver avait hérité de la Lotus de Siffert lorsque Walker avait reçu la future Lotus victorieuse de Jo. Allez jeunes gens, continuaient à me remuer les méninges, ça me fait du bien.

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                  • TIPO tu nous gâtes...superbe témoignage photo qui nous raconte la course en 1968 ....Autre chose que les supers et hermétiques motorhomes d'aujourd'hui et les gueules d'enterrement des champions de nos jours. En fait une vraie convivialité basée sur autre chose que la paraitre ..... 

                    Je vais prendre le temps de déguster tout ça   

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                    • +1 !!!
                      Accro depuis le 12 Avril 1970

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                      • 24 HEURES SPA FRANCORCHAMPS


                        On attendait beaucoup de cette édition de la classique belge, malheureusement une pluie quasi incessante vint contrarier l’efficacité des « tourismes spéciales » dites groupe 5, qui faisaient leur grand début sur le double tour d’horloge belge, suite à leur admission au championnat comme nous l’avons vu. Une PORSCHE 911 l’emporta fort logiquement d’autant que BMW, le principal rival dans le championnat s’abstint de tout engagement de ses 2002, laissant à des FORD MUSTANG privées, le soin de disputer la victoire aux produits de STUTTGART. Mais la pluie ne fut pas leur allié, à l’inverse d’ALFA-ROMEO. L’une d’elle pilotée par Enrico PINTO réussit dès le départ à prendre le commandement sous la pluie battante et à se détacher des grosses cylindrées allemandes et américaines. Une brève accalmie en début de soirée, vint remettre les choses en place quand la piste s’assécha, permettant aux futurs vainqueurs de reprendre le commandement et comme sous la pluie ils avaient pris leurs distances sur tous les autres concurrents, la victoire leur tendait les bras. Ces vainqueurs, c’est le trio allemand des 3 K, composé de Helmuth KELLENERS-Willi KAUSHEN-Erwin KREMER et leur PORSCHE 911 concoctée dans les ateliers de ce dernier qui signait ainsi la toute première grande victoire internationale d’une très longue liste à venir pour ses préparations des produits PORSCHE. Derrière la FORD MUSTANG préparée par Claude DUBOIS, des belges ELDE-DEPREZ fit une couse pleine de régularité aux avants postes, mais comme nous l’avons vu, la pluie fut un handicap certain pour passer la puissance du 5000 cm³ sur la piste détrempée. Une autre MUSTANG engagée par des hollandais était au départ mais elle ne fut jamais dans le coup. Deux autres 911 finirent aux 3ème et 4ème places avec Bernard DARNICHE au volant de la mieux classée. A la 5ème place et meilleure des véritables voiture de tourisme on retrouvait une OPEL COMMODORE. IRMSCHER, le préparateur patenté par la marque à l’éclair, avait pour le compte de plusieurs concessionnaires préparé pas moins de 5 COMMODORE dont l’une d’elle bénéficiant d’un moteur plus puissant et pilotée par le duo GREDER-TUERLINX finit donc 5ème. Toutes les autres seront classées entre la 10ème et la 14ème places, loupant de peu la Coupe du Roi, qui revint aussi à PORSCHE pour avoir mieux classé ses 4 meilleurs voitures. Si une marque pouvait être déçu au terme des 24H, c’est bien ALFA-ROMEO qui ne fut pas vraiment récompensé de ses efforts. La firme au trèfle engageait soit directement soit par ses filiales européennes un contingent impressionnant, soit de coupé GTA, soit des berlines 1750 visant elles la victoire dans la petite division. Au final une GTA ne finit que 7ème au général, celle du duo PILETTE-SLOTEMAKER bien loin des ambitions initiales et des espoirs nés des essais et du début de course du duo PINTO-DEMOULIN. Certes une GTA l’emporte en division inférieure, celle des allemands SCHIKENTANZ-DUTZI-KERSCHERINK et toutes les 1750 franchirent la ligne d’arrivée notamment la meilleure pilotée par Lucien BIANCHI, tempérant un peu cette déception. Enfin un petit mot des voitures françaises engagées qui étaient au nombre de deux modèles seulement. D’une part la DS de NEYRET-OGIER qui concourrait notamment face aux ALFA 1750 et qui fut nettement devancée par ces dernières ainsi que les R8 GORDINI dont la meilleure finit 27ème avec Bob WOLLEK et Alain SERPAGGI à son volant, alors que celle engagée pour Jean-François PIOT et Jean TODT ne prit pas le départ suite à une sortie de route de ce dernier.



                        La PORSCHE 911 KREMER une première grande victoire qui va en appeler beaucoup d’autres

                        upload photos

                        Une bonne seconde place dans ces conditions pour la MUSTANG


                        Beau résultat d’ensemble des OPEL COMMODORE


                        Déception pour ALFA ROMEO qui amène quand même toutes ses 1750 à l’arrivée





                         

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                        • Excusez la mini MUSTANG je vais essayer de la repasser plus grande 

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                            • ZANDVOORT F2

                              Les organisateurs de cette 6ème manche du Trophée européen avait simplifié la compréhension de leur épreuve au regard de l’attribution des points, tout simplement en excluant tout pilote de notoriété de la liste des engagés. Ainsi point de RINDT STEWART, HILL, AMON ou ICKX dans les dunes de ZANDVOORT. Juste les postulants au titre européen à la tête desquels figuraient bien entendu les MATRA de BELTOISE et PESCAROLO, les FERRARI DINO de BELL et Tino BRAMBILLA, mais aussi les BRABHAM de Piers COURAGE et Kurt AHRENS, la TECNO de REGAZZONI et la LOTUS de OLIVER. Parmi les extras, on notait aussi la présence de Dick ATTWOOD sur une des TECNO Ron HARRIS, Eric OFFENSTADT étant à nouveau au volant de la seconde. Mais la nouveauté de cette épreuve était l’apparition pour la première fois en F2 des ailerons dits « stabilisateurs » quasi identiques à ceux vus en F1 chez FERRARI et MATRA et même sur la BRABHAM de Franck WILLIAMS dévolue à COURAGE. Les essais allaient confirmer que dotés de ces appendices, les 5 meilleurs temps étaient réalisés dans l’ordre par BELL-BELTOISE-BRAMBILLA-COURAGE-PESCAROLO démontrant parfaitement les biens faits de la théorie mise en pratique par Colin CHAPMAN alors que bizarrement la LOTUS d’OLIVER n’en bénéficiait pas. La course était prévue en 2 manches qualificatives et une finale. Dans la première on assista à un match à 3, les deux FERRARI face à la MATRA de BELTOISE. BRAMBILLA et BELL jouèrent à fond la course d’équipe au détriment du français, qui réussit à s’intercaler entre les deux pilotes de la Scuderia l’anglais devant l’italien. Dans la seconde manche bis repetita, avec cette fois COURAGE-PESCAROLO et REGAZZONI et leur lutte fut si farouche, qu’il fallu presque la photo finish pour départager le français et le britannique en faveur de ce dernier, REGAZZONI 3ème et ATTWOOD lointain 4ème. Après de tels affrontements on s’attendait à une finale grandiose et elle le fut. REGAZZONI manquait au premier virage alors que BELL s’était emparé du commandement devant BELTOISE-COURAGE-PESCAROLO et BRAMBILLA. Puis COURAGE réussit à doubler la MATRA si bien que les couleurs britanniques étaient au zénith mais elles allaient rapidement tourner au deuil, le jeune Chris LAMBERT au volant d’une BRABHAM après s’être accroché avec la TECNO de REGAZZONI repartie, avait perdu la vie suite à une série de tonneaux. En tête, ignorant tout du drame, la lutte continuait à faire rage, mais cela n’allait pas durer. Coup sur coup les 2 FERRARI rentraient aux stands, puis COURAGE connaissait des problèmes de freins qui d’abord l’expédièrent en tête à queue puis dans une sortie de route définitive. Dès lors la messe était dite en faveur des MATRA boys même si ATTWOOD resta menaçant jusqu’au bout. En empochant une nouvelle victoire devant son équipier, BELTOISE consolide un peu plus son statut de quasi champion.

                              Départ BELL et BELTOISE au coude à coude


                              Piers COURAGE animateur de cette manche et malchanceux


                              Au final nouveau doublé MATRA et BELTOISE quasi titré

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                              • Drôle de cadrage ??????

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