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  • #91
    On s'amuse ici!

    Il s'agit d'une Auto-Union 12 cylindres munie d'un compresseur . Sur le moteur j'hesite...Si c'est une 12 c'est un 3L donc la formule 1937-1940.
    Pour ce qui est du lieu, keine Ahnung...
    Quant au pilote on peut presumer Rosemeyer, Muller, Von Stuck...

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    • #92
      "Dule" cher compatriote et coréligionnaire

      2,5 points pour Auto-Union et pour la période 1937 - 1940.

      Pour le lieu c'est bien en Europe mais pas en allemagne

      Pour le Pilote, il a couru avec eux.

      Aller ! encore trois réponses: date (année) lieu et pilote.

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      • #93
        Si ce n'est un des trois pilotes precités je table sur Nuvolari ("le mantouan volant")...

        Circuit italien ou anglais ??

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        • #94
          2,5 points de plus "Le grand Tazio" reconnaissable à sa manière de conduire, loin du volant et bras tendus et de plus les "goggles"

          Circuit Anglais et période entre 1937 et 1939

          Circuit toujours utilisé pour le BTCC mais dans une autre configuration et autre lieu mais même ville [img]graemlins/thumb.gif[/img]

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          • #95
            Bon, j'avais l'Auto-Union, mais elle est assez remarquable. Par contre, j'ai toujours été étonné de la puissance de ces voitures. La puissance au litre n'avait rien à envier à nos voitures modernes ! Je suppose qu'en contre-partie, la fiabilité n'était pas toujours au rendez-vous...

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            • #96
              En effet; quoique le 12 cylindres avait une durée de vie un peu supérieur au 16 cylindres.

              A peine 2 ou 3 dizaines d'heures ai-je lu.

              Bref il était fort le Père Ferninand

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              • #97
                Bon, il va être minuit et "Huhu" m'a proposé d'aller dormir.

                Dong Ding Dong OOOOOOOOONG

                GP de Donnington le 22 octobre 1938 Tazio négocie "Red Gate corner" sur le vieux Donnington Park.

                [img]graemlins/jesors.gif[/img] [img]graemlins/sleep.gif[/img] [img]graemlins/sleep.gif[/img]

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                • #98
                  </font><blockquote>citation:</font><hr />Débat lancé par Sportcars:
                  Circuit Anglais et période entre 1937 et 1939

                  Circuit toujours utilisé pour le BTCC mais dans une autre configuration et autre lieu mais même ville [img]graemlins/thumb.gif[/img]
                  </font>[/QUOTE]Surement 1938 alors...

                  Comme circuit je ne vois que Brands Hatch ou Donington, or Brands Hatch n'a pas du être déplacé (je n'y connais rien en matière de circuit)...

                  Je suis un peu lent à la détente ...Sportcars m'a devancé!

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                  • #99
                    Le moteur Auto-Union :



                    3 litres - 500 cv - 16 cylindres

                    120 à 140 litres / 100 Km de :
                    • Alcool 86 %
                    • Acétone 8,8 %
                    • Nitrobenzène 4,4 %
                    • Ether sulfurique 0,8 %
                    • Ricin

                    Forcément ça va plus vite ...
                    www.etoilespassion.com

                    Commentaire


                    • Et j'oublie aussi que cela ne marchait pas vraiment à "l'essence"...

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                      • Au terme de son evolution (soit en 1936) le 16 cylindres cubait 6 litres....

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                        • Un peu d'histoire.

                          Regarder cette extraordinaire "machine" des années trente, relire l'ouvrage de Peter Vann "AUTO UNION" chez ETAI 2001,et penser à notre France de ces mêmes années

                          Ce propos n'est pas de réécrire l'Histoire mais de rappeler des faits et les assembler pour comprendre.

                          1933 en Allemagne une subvention de 300.000 Reich Mark est accordée à Ferdinand Porsche (devis estimatif) pour la construction d'une voiture de course selon un cahier des charges très précis.
                          Dès lors que l'Auto Union est construite, qu'elle répond point pour point aux "Directives", la machines, à partir de 1934, est imbattable, partageant quelques courses avec une autre marque concurrente (concurrence souhaitée) Mercedes Benz.

                          Entre 1934 et 1939 lors des Grands Prix et Courses de Côte les "teutonnes" se partagent les victoires et accessits avec deux marques italiennes: Alfa Romeo et Maserati et 2 marques françaises: Bugatti et Talbot.

                          Face à la déblacle (non, pas encore la course à l'échalotte de 1940), face donc aux semi échecs endurés par nos marques, le gouvernement dit du "Front Populaire", issu des élections de 1936, n'accepte pas que les voisins - alliés dit "Axe" - nous fiche une pâtée pareille.

                          Celui-ci, sous l'égide de l'Automobile Club de France ACF, décide donc de doter d'un prix en espèce de 1 million, un constructeur français qui réussira à parcourir 200km à la moyenne de ??? bref une moyenne très élevée

                          Bugatti et Delahaye vont s'affronter sur le circuit de Montlhéry.
                          Bugatti renoncera avec sa 50/59 pilotée par Jean Pierre Wimille laissant la victoire à René Dreyfus dans une Delahaye 12 cylindres en V

                          voir la publicité de l'époque:


                          merci à: Association Delahaye


                          La France pusillamine a confondu course de vitesse et endurance.

                          Résultat du "don", la Delahaye ne figure qu'une seule fois dans les trois premières lors des rendez-vous internationnaux:
                          le 10 avril 1938 lors du GP de Pau (Auto Union avait laissé la place à Mercedes).

                          [size="1"][ 10.10.2005, 10:43: Message édité par : Sportcars ][/size]

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                          • On peut ajouter que les pays en course professionnelle (Allemagne, Italie, France) s'arrangeaient pour s'éviter.
                            Ainsi l'Allemagne courut surtout en Grands-Prix, l'Italie en Voiturettes de course (monoplace moins de 3 L) et la France en Endurance. On est plus sûr de gagner en conservant son pré carré ...
                            www.etoilespassion.com

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                            • Encore que !

                              Va pour la France par contre l'Italie - les fonds versés par le "Démocrate italien" (dixit Thierry Le Luron -, ne voulait pas s'en laisser compter par l'allié "Brun".

                              Si l'Allemagne ne figure pas souvent dans les compétitions d'endurance, il n'en est pas de même pour les "Rouge" transalpines.

                              En GP 1934, les Alfa Romeo, ont souvent tapé les "grise" ou "argent" et de ne citer que les Guy Moll, Achille Varzi, Louis Chiron, ... etc; puis vinrent les mises au point des flèches d'argent, tant M.B. que A.R. taillèrent des croupières jusque l'arrivée de Tazio Nuvolari chez Alfa (mais ceci est un autre belle Histoire)

                              Hans von Stuck et Paul Pietsch revinrent de loin dans les premières années. Puis l'on assista aux "Swap" des pilotes; ici un jour, chez un autre ensuite.

                              Et puis, et puis vint la limite de cylindrée en 1939 et l'arrêt de Auto Union.

                              Il y a tant et tant à écrire sur l'attrait qu'exerçait les voitures de course; l'utilisation par la propagande des voitures, supports d'une "croix" ou d'un "faisceau" idem sur le pilotes: en blanc chez les uns et noirs chez les autres; l'anecdote de notre "Normand" Phi Phi Etancelin et son éternelle casquette; le béret du "Pied Noir" Guy Moll l'algérois; la combinaison immaculée de Dreyfus, le casque de toile de Wimille.................


                              Aller on y revient: Marque ?

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                              • McLaren-Mercedes ...
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