Voilà c’est fait, depuis le 7 août dernier j’ai pris possession de la 512 TR, ma première Ferrari que je recherchais depuis quelques temps. Après moult hésitation, j’ai sauté le pas et je ne le regrette absolument pas. La recherche n’a pas été des plus facile, surtout pour un modèle en très bon état avec un historique connu et un carnet à jour. Les modèles présentés étant souvent dans des états très moyens surtout au niveau des intérieurs qui sont souvent pitoyables.
Elle est rouge intérieur noir moquette rouge, 20500 km d’origine, 2ème main, pot inox (Orbisoud) sans catalyseur.
J’ai déjà parcouru 3000 kms depuis ma prise de possession. Que du bonheur, d’autant que ce modèle est vraiment celui de la marque qui m’a toujours le plus attiré avec la 288 GTO, mais là, on rentre dans un tout autre budget. De la route, petite et grande, de l’autoroute, en France, Italie et Espagne sur le sec et parfois sur le mouillé (cet été était vraiment pourri). Les petites routes ne sont pas du tout approprié en raison de sa largeur, mais pour le reste aucun problème.
La prise en main a été relativement facile, relativement car en ville, on est assis très bas, la visibilité n’est donc pas terrible et le rayon de braquage est nul mais le couple cammionesque permet une conduite facile. Je précise qu’on si habitue très vite. La direction non assisté ne simplifie pas les manœuvres mais on est pas là pour ça ! Après c’est très sympa, très direct on « sent » vraiment la voiture. Ensuite c’est sensationnel, ça pousse fort avec un bruit terrible. La pédale d’embrayage est ferme, la boite très facile a maniée, elle est aussi assez ferme mais pas du tout dure comme j’ai pu le lire ici ou là, même a « froid ». L’accélération est très linéaire, sans les paliers que j’ai pu lire ici ou là encore, sauf pour le bruit de l’échappement. Il faut faire attention, sur autoroute, aux barrières de péage, si l’on ne veut pas laisser l’aile arrière gauche. C’est une voiture que je qualifierait de « très vivante », sans fioritures électroniques et autres gadgets, du pur bonheur, c’est tout à fait ce que je recherchais et mieux encore.
Enfin, j’ai était très surpris par l’avalanche de sympathie des gens sur mon passage qu’ils soient en voiture ou à pied, les appareils photos et autres téléphones mobiles ont crépités. Je dis cela sans exagération.
Voilà, je l’ai maintenant laissé pour quelques temps, car habitant à Marrakech, j’ai laissé ma belle en Europe
Elle est rouge intérieur noir moquette rouge, 20500 km d’origine, 2ème main, pot inox (Orbisoud) sans catalyseur.
J’ai déjà parcouru 3000 kms depuis ma prise de possession. Que du bonheur, d’autant que ce modèle est vraiment celui de la marque qui m’a toujours le plus attiré avec la 288 GTO, mais là, on rentre dans un tout autre budget. De la route, petite et grande, de l’autoroute, en France, Italie et Espagne sur le sec et parfois sur le mouillé (cet été était vraiment pourri). Les petites routes ne sont pas du tout approprié en raison de sa largeur, mais pour le reste aucun problème.
La prise en main a été relativement facile, relativement car en ville, on est assis très bas, la visibilité n’est donc pas terrible et le rayon de braquage est nul mais le couple cammionesque permet une conduite facile. Je précise qu’on si habitue très vite. La direction non assisté ne simplifie pas les manœuvres mais on est pas là pour ça ! Après c’est très sympa, très direct on « sent » vraiment la voiture. Ensuite c’est sensationnel, ça pousse fort avec un bruit terrible. La pédale d’embrayage est ferme, la boite très facile a maniée, elle est aussi assez ferme mais pas du tout dure comme j’ai pu le lire ici ou là, même a « froid ». L’accélération est très linéaire, sans les paliers que j’ai pu lire ici ou là encore, sauf pour le bruit de l’échappement. Il faut faire attention, sur autoroute, aux barrières de péage, si l’on ne veut pas laisser l’aile arrière gauche. C’est une voiture que je qualifierait de « très vivante », sans fioritures électroniques et autres gadgets, du pur bonheur, c’est tout à fait ce que je recherchais et mieux encore.
Enfin, j’ai était très surpris par l’avalanche de sympathie des gens sur mon passage qu’ils soient en voiture ou à pied, les appareils photos et autres téléphones mobiles ont crépités. Je dis cela sans exagération.
Voilà, je l’ai maintenant laissé pour quelques temps, car habitant à Marrakech, j’ai laissé ma belle en Europe
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