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Dominique Ottavi, émois, émois, émois

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  • #16
    Re : Dominique Ottavi, émois, émois, émois

    Hello tout le monde, everybody.

    Ce n'est pas banal d'être répertorié en tant que pilote sur RACING SPORT CARS . Et pourtant, il l'est !

    26/61966 : Trophée d'Auvergne - ALPINE A 110 # 69 15è

    28/5/1967 : Ronde Cévenole - ALPINE A 110 ( OTTAVI/COTTI ) 10è
    et le fin du fin :

    22/7/1967 : 24 h de SPA - ( OTTAVI/RIQUIER ) 12è et vainqueur de classe.

    Dominique nous invite dans son livre à découvrir ses " autos émois " et revivre ses deux expériences sur le circuit de SPA.
    Un livre plein d'émotions et REMARQUABLEMENT écrit, dixit my Girls, Girls, Girls.
    Alors pour les p'tits nouveaux, n'hésitez pas, c'est un très bon livre à lire et relire.

    Salut à toi, mon Dominique.

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    • #17
      Re : Dominique Ottavi, émois, émois, émois

      Salut à tous,

      Michel, je me demande où tu vas trouver tout ça!
      Ça fait plaisir, mais comme dit l'autre, on a tous eu notre quart d'heure de célébrité...:king:

      Cependant, j'ai noté une petite erreur concernant le nom de mon ami disparu Codi (et non pas Cotti) de son pseudo, François Rotger de son vrai nom. Il était un de mes co-équipiers habituels sur Alpine.

      C'est lui qui en 67 nous avait prêté sa R8 Gordini pour une "petite" course : les 24 Heures de Spa! Un geste d'une grande qualité, car on aurait pu la lui ramener en petits morceaux.

      Je me souviens aussi, que lorsqu'il eut pris goût aux sensations délivrées par la berlinette Alpine, François en acheta une avec le moteur 1100 Gordini. Au début, la mienne avec son petit moteur de 950, nous servait pour les rallyes, et la sienne, plus puissante, plus récente était en fait le mulet...

      À propos de Spa, nous y avons couru 3 fois et non pas 2, mais la deuxième fois, mon compère nous a mis dans une situation qui nous a disqualifiés. Dommage, car nous allions bon train, et aurions aimé nous comparer aux pilotes d'usine de chez Renault, dont les techniciens étaient venus nous espionner et nous questionner pour copier nos modifications.
      Et Mauro Bianchi et Vinatier, qui semblaient un peu perdus sur ce terrible toboggan au volant de voitures si volages. Car il ne s'agissait plus des virolets de Corse ou de Monte Carlo, ici. Les glissades se passaient à 160 à l'heure, et la maîtrise de l'auto n'était pas évidente de but en blanc, même pour des pros.

      Je ne dis pas que j'étais un grand pilote. Mais pas un tout petit quand même.

      Pour en revenir aux épreuves que tu cites Michel, j'ai un souvenir ému de la course de vitesse sur le circuit de Charade, sur lequel François, venu avec son Alpine avait pris peur, et ne voulut pas prendre le départ, comme le fit un autre de nos amis sur R8G.
      Il faut dire que nous étions écrasés physiquement et psychologiquement par la présence de monstres du genre Ferrari LM, Matra 630, Porsche 906, et autres super-cars.

      Ma place de 15è (je l'ignorais d'ailleurs) n'était pas ridicule, compte tenu de la qualité de mes adversaires. Et elle me situe devant... J.P. Beltoise sur Matra 630, victime d'un problème dans le dernier tour.

      Merci de vous intéresser au temps passé! Mais que deviendront les histoires quand il n'y aura plus personne pour les raconter ?*
      (D'autres détails dans le livre !)
      Bien cordialement,
      D.

      *Une pensée de Jim Harrison.
      "La vie est courte mais elle est très large" (Jim Harrison).
      http://leblogadoch2.blogspot.fr
      "Mes autos émois".
      "Dits d'autos".

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      • #18
        Re : Dominique Ottavi, émois, émois, émois

        Je suis sûr d'avoir lu Cotti ! Mais je pense qu'une bonne âme ( j'ai ma petite idée) est passée par là afin de rectifier sur RACING SPORTS CARS, notre bible. ( A propos, rien n'est fait pour Gagliardi )

        Alors, l'ami Doc'h , donnes nous les précision ( date, voiture, coéquipier, classement ) de tes 3 participations à SPA, car pour l'instant, tu n'es cité qu'une seule fois.
        C'est comme cela qu'on avance !

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        • #19
          Re : Dominique Ottavi, émois, émois, émois

          Ah, Michel,
          Des précisions ? Tu veux me faire bosser, c'est ça ?
          L'avantage d'avoir vu beaucoup de temps passer, c'est qu'on fait une sélection entre ce qu'il faut vraiment retenir et ce qu'on a le droit d'oublier...

          Bonsoir à tous,
          Ainsi, nous sommes partis pour Spa, la première fois, comme on part faire un pique-nique. Pour le plaisir, pas pour la gagne.
          Je me souviens qu'on avait décidé de ne pas pousser le moteur à fond, craignant qu'il ne tienne pas les 24 heures :
          — Nous ne dépasserons pas les 6500 t/m, avions-nous déclaré.
          Mais en faisant ça, on n'aurait même pas été qualifiés. Dans le feu de l'action, je dois avouer que j'ai parfois dépassé les 8000 tours.

          Il faut dire aussi que nous avons vite pris goût au défi qui s'offrait à nous de faire mieux que les autres...

          Rappelons-nous qu'à l'époque, le circuit était fait d'un triangle de 3 routes qui faisait 14 km au tour. Rien que des grandes courbes, sauf une large "épingle". À noter, une remontée de 5 ou 6 km où la R8 n'avait pas assez de puissance pour s'approcher de sa vitesse de pointe.

          La première année, en 65, nous étions sur la R8 G 1100. Dans la classe des 1300. Les Mini Cooper et les Isar Glas nous larguaient facile. Les premières grâce à leur tenue de route, les secondes à cause de leur belle allonge dans la descente de Masta, où elles approchaient le 200.

          Les R8, que ce soit en 1100 ou en 1300, n'étaient pas du tout à l'aise sur ce toboggan où elles donnaient souvent l'impression de vouloir passer sur le toit — ce qui a failli m'arriver dans l'épingle de la Source, où je me suis retrouvé sur 2 roues, dans une position de cascadeurs. Heureusement que j'ai réussi à la faire redescendre... de justesse, en la jetant dans les bottes de paille.

          En 66, nous étions opposés en particulier à la voiture de Mauro Bianchi - Jean Vinatier. J'aurais bien voulu voir si on pouvait faire mieux qu'eux, car aux essais, ils semblaient particulièrement empruntés.
          Jacques Ferret était venu nous questionner pour pouvoir améliorer la tenue de route des autos d'usine. Il fit faire les mêmes modifs que nous :
          abaissement de la caisse à l'avant en coupant une spire des ressorts.

          Mais une bévue de mon co-équipier nous a disqualifiés dans la nuit. Comme les autres, nous avions un deuxième réservoir dans le coffre, et un robinet à 3 positions au plancher. Il passa sur le réservoir supplémentaire avant que la voiture ne commence à ratatouiller, et roula sur ce réservoir jusqu'à le vider entièrement, sachant qu'il n'avait pas tout usé du réservoir arrière.
          Malheureusement, le peu d'essence qui restait dans ce réservoir ne lui permit pas de finir le tour. Il se fit pousser par une autre voiture de notre équipe, ce qui était évidemment interdit.

          J'avais repris le volant mais un drapeau noir m'a bientôt arrêté définitivement.

          Cette fois, nantis d'une bonne expérience, nous n'avons donc pas pu nous mesurer avec les pilotes d'usine, qui semblaient bien avoir les mêmes armes que nous, et qui cette année-là ont gagné la classe.

          Comme indiqué dans d'autres posts, (et dans mon livre!), nous avons été premiers en 1300 de justesse, en 67, malgré quelques petites pannes qui ne nous ont pas permis le classement que nous aurions pu espérer au général sans elles.

          Aux qualifs, nous étions à la 34è place scratch, et ensuite, en améliorant mes passages dans Stavelot, j'avais établi un petit record à plus de 163 k/h dans mon meilleur tour. Ce qui aurait dû nous permettre de faire mieux que 143 de moyenne, si il n'y avait pas eu les petits incidents mécaniques.

          J'ai gardé de ces courses d'endurance, de merveilleux souvenirs, car elles conviennent bien à mon tempérament. J'ai regretté de ne pas disposer d'une auto plus rassurante, car j'ai dû atteindre et même dépasser la zone rouge de mon rythme cardiaque à chaque passage dans la courbe de Burnenville. Elle s'étendait sur 700 ou 800 mètres, bosselée, en descente.
          La pauvre R8 ne s'en sortait que par miracle, à plus de 160, sautant et louvoyant, glissant des 4 roues pendant une éternité terriblement angoissante.

          Quel bonheur supplémentaire cela aurait été de disposer d'une voiture plus adaptée aux grandes courbes, avec un centre de gravité plus bas...
          Mais déjà dans ces conditions, que peu de pilotes ont eu le bonheur de connaître, cela a été pour moi une immense joie, dont je garde encore quelques "séquelles"...

          Cordialement,
          D.
          "La vie est courte mais elle est très large" (Jim Harrison).
          http://leblogadoch2.blogspot.fr
          "Mes autos émois".
          "Dits d'autos".

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          • #20
            Re : Dominique Ottavi, émois, émois, émois

            Donc, si je comprend bien ( j'ai prêté ton livre )

            1965 24 h de SPA R8 G OTTAVI/ RIQUIER NON QUALIFIE

            1966 24 H DE SPA R8 G OTTAVI/ RIQUIER DISQUALIFIE

            1967 on connaît.

            J'attends ta validation, notamment pour ton co pilote puis j'envoie à l'ami Martin, pour compléter ton dossier sur RACING SPORTS CARS.

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            • #21
              Re : Dominique Ottavi, émois, émois, émois

              Sacré Michel,
              À chaque fois que tu prêtes mon livre, cela me fait une vente en moins!

              Il faudra que je revoie mes notes, mais en 65, nous avons terminé 12èmes au scratch, je ne sais plus combien-ième dans la classe.
              Cette année là, Renault nous avait demandé de participer avec eux au classement pour la "Coupe du Roi", qui serait attribuée à l'équipe comportant le plus de voitures bien classées. Il me semble bien que "nous" avec Renault, l'ayons remportée.

              Mon "associé" dans l'affaire a toujours été Francis Riquier, oui.

              Je tâcherai de te donner d'autres précisions.

              Mais entre nous, ces précisions intéresseront qui ?
              Amitiés,
              D.
              "La vie est courte mais elle est très large" (Jim Harrison).
              http://leblogadoch2.blogspot.fr
              "Mes autos émois".
              "Dits d'autos".

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              • #22
                Re : Dominique Ottavi, émois, émois, émois

                Ah, doCh, çà intéresse qui ? En premier Martin Krejci qui gère RACING SPORTS CARS , la bible des résultats.
                Et tous les statisticiens passionnés qui aiment bien savoir.

                Donc, 12è en 1965, il faut que tu me confirmes et drapeau noir en 66, çà c'est enregistré.
                Pour en savoir plus, tu tapes RACING SPORTS CARS, tu vas dans " driver " et tu tapes... Ottavi. Mais tu dois savoir puisqu'il y a une photo de la R8 en 67 " offerte " par D. Ottavi. Ou quelqu'un l'a fait à ta place !

                J'attends confirmation du résultat de 65.

                PS/ Si j'avais vendu autant de livres que ceux que l'on a prêté, mon stock serait épuisé.
                Je ne parle de ceux que l'on a échangés, vendus, piétinés, jetés, customisés, vampirisés, découpés, ignorés, déchirés., enflammés, cachés,renvoyés.
                Mais comme toi, j'ai reçu des lettres de ceux qui avaient... aimé et çà,personne ne nous le prendra, mon doCh.

                Allez, au boulot !

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                • #23
                  Re : Dominique Ottavi, émois, émois, émois

                  Envoyé par DoCh Voir le message
                  Sacré Michel,
                  À chaque fois que tu prêtes mon livre, cela me fait une vente en moins!

                  Il faudra que je revoie mes notes, mais en 65, nous avons terminé 12èmes au scratch, je ne sais plus combien-ième dans la classe.
                  Cette année là, Renault nous avait demandé de participer avec eux au classement pour la "Coupe du Roi", qui serait attribuée à l'équipe comportant le plus de voitures bien classées. Il me semble bien que "nous" avec Renault, l'ayons remportée.

                  Mon "associé" dans l'affaire a toujours été Francis Riquier, oui.

                  Je tâcherai de te donner d'autres précisions.

                  Mais entre nous, ces précisions intéresseront qui ?
                  Amitiés,
                  D.
                  Beaucoup plus de monde que tu ne le pense ...

                  Commentaire


                  • #24
                    Re : Dominique Ottavi, émois, émois, émois

                    Envoyé par DoCh Voir le message
                    Ah, Michel,
                    Des précisions ? Tu veux me faire bosser, c'est ça ?
                    L'avantage d'avoir vu beaucoup de temps passer, c'est qu'on fait une sélection entre ce qu'il faut vraiment retenir et ce qu'on a le droit d'oublier...

                    Bonsoir à tous,
                    Ainsi, nous sommes partis pour Spa, la première fois, comme on part faire un pique-nique. Pour le plaisir, pas pour la gagne.
                    Je me souviens qu'on avait décidé de ne pas pousser le moteur à fond, craignant qu'il ne tienne pas les 24 heures :
                    — Nous ne dépasserons pas les 6500 t/m, avions-nous déclaré.
                    Mais en faisant ça, on n'aurait même pas été qualifiés. Dans le feu de l'action, je dois avouer que j'ai parfois dépassé les 8000 tours.

                    Il faut dire aussi que nous avons vite pris goût au défi qui s'offrait à nous de faire mieux que les autres...

                    Rappelons-nous qu'à l'époque, le circuit était fait d'un triangle de 3 routes qui faisait 14 km au tour. Rien que des grandes courbes, sauf une large "épingle". À noter, une remontée de 5 ou 6 km où la R8 n'avait pas assez de puissance pour s'approcher de sa vitesse de pointe.

                    La première année, en 65, nous étions sur la R8 G 1100. Dans la classe des 1300. Les Mini Cooper et les Isar Glas nous larguaient facile. Les premières grâce à leur tenue de route, les secondes à cause de leur belle allonge dans la descente de Masta, où elles approchaient le 200.

                    Les R8, que ce soit en 1100 ou en 1300, n'étaient pas du tout à l'aise sur ce toboggan où elles donnaient souvent l'impression de vouloir passer sur le toit — ce qui a failli m'arriver dans l'épingle de la Source, où je me suis retrouvé sur 2 roues, dans une position de cascadeurs. Heureusement que j'ai réussi à la faire redescendre... de justesse, en la jetant dans les bottes de paille.

                    En 66, nous étions opposés en particulier à la voiture de Mauro Bianchi - Jean Vinatier. J'aurais bien voulu voir si on pouvait faire mieux qu'eux, car aux essais, ils semblaient particulièrement empruntés.
                    Jacques Ferret était venu nous questionner pour pouvoir améliorer la tenue de route des autos d'usine. Il fit faire les mêmes modifs que nous :
                    abaissement de la caisse à l'avant en coupant une spire des ressorts.

                    Mais une bévue de mon co-équipier nous a disqualifiés dans la nuit. Comme les autres, nous avions un deuxième réservoir dans le coffre, et un robinet à 3 positions au plancher. Il passa sur le réservoir supplémentaire avant que la voiture ne commence à ratatouiller, et roula sur ce réservoir jusqu'à le vider entièrement, sachant qu'il n'avait pas tout usé du réservoir arrière.
                    Malheureusement, le peu d'essence qui restait dans ce réservoir ne lui permit pas de finir le tour. Il se fit pousser par une autre voiture de notre équipe, ce qui était évidemment interdit.

                    J'avais repris le volant mais un drapeau noir m'a bientôt arrêté définitivement.

                    Cette fois, nantis d'une bonne expérience, nous n'avons donc pas pu nous mesurer avec les pilotes d'usine, qui semblaient bien avoir les mêmes armes que nous, et qui cette année-là ont gagné la classe.

                    Comme indiqué dans d'autres posts, (et dans mon livre!), nous avons été premiers en 1300 de justesse, en 67, malgré quelques petites pannes qui ne nous ont pas permis le classement que nous aurions pu espérer au général sans elles.

                    Aux qualifs, nous étions à la 34è place scratch, et ensuite, en améliorant mes passages dans Stavelot, j'avais établi un petit record à plus de 163 k/h dans mon meilleur tour. Ce qui aurait dû nous permettre de faire mieux que 143 de moyenne, si il n'y avait pas eu les petits incidents mécaniques.

                    J'ai gardé de ces courses d'endurance, de merveilleux souvenirs, car elles conviennent bien à mon tempérament. J'ai regretté de ne pas disposer d'une auto plus rassurante, car j'ai dû atteindre et même dépasser la zone rouge de mon rythme cardiaque à chaque passage dans la courbe de Burnenville. Elle s'étendait sur 700 ou 800 mètres, bosselée, en descente.
                    La pauvre R8 ne s'en sortait que par miracle, à plus de 160, sautant et louvoyant, glissant des 4 roues pendant une éternité terriblement angoissante.

                    Quel bonheur supplémentaire cela aurait été de disposer d'une voiture plus adaptée aux grandes courbes, avec un centre de gravité plus bas...
                    Mais déjà dans ces conditions, que peu de pilotes ont eu le bonheur de connaître, cela a été pour moi une immense joie, dont je garde encore quelques "séquelles"...

                    Cordialement,
                    D.

                    Très intéressant tout çà, merci.
                    Il faudrat que je m'offre ce livre, pour Noël peut-être.
                    Avant c'était mieux

                    Commentaire


                    • #25
                      Re : Dominique Ottavi, émois, émois, émois

                      Merci, Camerat!
                      De bons souvenirs ne peuvent faire que du bon dit.
                      Je t'offre la dédicace sans supplément...
                      Bon, ce n'est pas tout, il faut que je fournisse d'autres informations pour entrer dans la légende...
                      J'arrive, Michel!
                      D.
                      "La vie est courte mais elle est très large" (Jim Harrison).
                      http://leblogadoch2.blogspot.fr
                      "Mes autos émois".
                      "Dits d'autos".

                      Commentaire


                      • #26
                        Re : Dominique Ottavi, émois, émois, émois

                        Bonsoir à tous,
                        J'ai du mal à retrouver mes résultats éparpillés dans des piles de revues et de photos.
                        Voici, pour faire patienter l'ami Michel, quelques données, à compléter (ou même à corriger pour certaines) :
                        1.- 24 Heures de Spa :
                        En 1965 : 13è au scratch
                        En 1966 : mise hors course après panne d'essence et poussette
                        En 1967 :
                        - Classement aux qualifications : 37ème avec 5'28"7 au tour, meilleur temps des r8G.
                        - Classement final : 12ème au scratch (1ère R8G) - 1er de la catégorie 1150 à 1300 - 3411,904 km - moyenne générale : 142,160 km/h - Meilleur tour en 5'10" à 163 km/h.

                        2.- Course de côte du Minier 1967 : 15'30"; 9ème du scratch, 1ère Alpine

                        3.- Targa Cévenole 1967 (avec co-pilote Codi) : 10è au scratch

                        4.- Course de côte du Ventoux 1966 ?: 3ème de la catégorie 1300.

                        À bientôt pour de meilleures infos.
                        Cordialement,
                        D.

                        P.S.- Je vous invite à jeter un coup d'œil sur mon nouveau blog (pas encore au point, mais lisible) :
                        "La vie est courte mais elle est très large" (Jim Harrison).
                        http://leblogadoch2.blogspot.fr
                        "Mes autos émois".
                        "Dits d'autos".

                        Commentaire


                        • #27
                          Re : Dominique Ottavi, émois, émois, émois

                          Envoyé par DoCh Voir le message
                          Bonsoir à tous,

                          P.S.- Je vous invite à jeter un coup d'œil sur mon nouveau blog (pas encore au point, mais lisible) :
                          http://leblogadoch.over-blog.com

                          interressant ton blog Dominique , je l'ai mis aussitôt dans mes favoris , c'est dire ... j'y retournerai...
                          a+
                          You can't always control who walks into your life...but you can control which window you throw them out of !

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                          • #28
                            Re : Dominique Ottavi, émois, émois, émois

                            Merci Kikadikoi, je vais m'y remettre après une absence...
                            Dominique.

                            Edit :
                            À voir quelques photos dans la série "Bizarre"...

                            Edit2 :
                            Ça me fait quand même un drôle d'effet de me voir classé dans les membres "Juniors"... Longtemps que ça ne m'était pas arrivé!
                            Dernière modification par DoCh, 23 décembre 2011, 11h32.
                            "La vie est courte mais elle est très large" (Jim Harrison).
                            http://leblogadoch2.blogspot.fr
                            "Mes autos émois".
                            "Dits d'autos".

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                            • #29
                              Re : Dominique Ottavi, émois, émois, émois

                              Bonjour Dominique. J'ai lu ton livre il y a quelques temps déjà. Michel me l'avait passé. Oui c'est aussi mon époque 68-69. J'ai apprécié beaucoup le ton de tes interventions. J'ai reconnu ces ambiances. Il sans ambages et super vivant.

                              A tous cela vaut le coup.

                              Bravo Dominique et vive la "R8 Gord".

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                              • #30
                                Re : Dominique Ottavi, émois, émois, émois

                                Bonjour Prosto,
                                Merci pour ce petit commentaire qui est pour moi un beau cadeau de Noël.
                                Heureux que tu aies eu l'occasion de partager "mes autos émois".

                                Je compte vous proposer, sur mon blog, quelques-unes de mes nouvelles historiettes, dans le même style, mais un peu moins "véridiques". Quoique...

                                Oui, la R8G était une auto intéressante, et agréable à conduire. Mais j'ai préféré mille fois le pilotage d'une berlinette qui elle, ne demande qu'à danser sans menacer de passer sur le toit.

                                J'ai conduit une Alpine berlinette 1600S, en mai dernier, après plus de 40 ans d'abstinence, et à la première courbe, j'étais déjà en position "conduite sur glace". Il y a peu d'autos qui soient aussi conciliantes... et bien sûr, aussi amusantes.

                                Bonnes fêtes!
                                D.
                                "La vie est courte mais elle est très large" (Jim Harrison).
                                http://leblogadoch2.blogspot.fr
                                "Mes autos émois".
                                "Dits d'autos".

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