Pour information, il s'agit des relevés de données télémétriques (distances et temps), communiquées par les transpondeurs de toutes les voitures à chaque seconde de course. Attention toutefois, les résultats ne mentionnent que les distances parcourues au centimètre près ... avec la marge d'erreur due aux arrondis. ACO communiquait encore, il n'y a pas si longtemps, les distances au millimètre près. Les utilisateurs du tableur EXCEL connaissent ce souci.
Et comme sur tout circuit, le développement donné de la piste (ici 13.626 mètres) est une distance qui varie selon la trajectoire des voitures. Multipliez cet écart par 371 passages (e.g. cette année) et vous obtiendrez un écart plus ou moins important ...
ps: L'Alpine aussi a bien parcouru 60 mètres de moins que la Glickenhaus #708
Merci de l'info! On est bien dans le "pourquoi faire simple quand on peu faire compliqué" , peut être que l'effet de l'usure des pneus sur la circonférence joue aussi!
Remember: Franck BIELA à la troisième heure de l'édition 2003 après Arnage (de mémoire) au volant de la R8 #10 d'Audi Sport UK. Le pilote allemand n'avais pas respecté l'ordre d'un retour aux stands le tour précédent, pensant qu'il aurait assez de carburant. Cet abandon reste (à ce jour) le seul d'une AUDI sur problème de carburant
Oui tout à fait, mais c'était il y a 18 ans, il me semblais que depuis on avais fait des progrès en terme de capteur, informatique, stratégie etc...
D"après l'annuel 2003, les Anglais qui exploitaient cette Audi #10 c'étaient calé sur les consoeurs américaine qui apparement consommaient moins, moi dans mon souvenir c'était à cause d'une Panoz devant lui que Biela avais loupé l'entrée des stands
Dominique Bastien a émigré de France aux États-Unis avec ses parents dans les années 1960. En 1991, il fonde Specialty Brands of America , une entreprise alimentaire vendant des spécialités américaines. En 2014, il a vendu sa société à Foods B & G pour $ 155 millions de dollars.
De retour sur terre après ce pèlerinage tant attendu....
Sur place dès mercredi pour ne rien rater, j'avais la chance de pouvoir m'installer tout près du circuit. Prise de contact avec plusieurs copains déjà arrivés et première bière avec mon cousin préféré, Cousin Hub'... J'avais la possibilité de visiter le paddock à plusieurs reprises, je ne m'en suis pas privé. Ce fut l'occasion de croiser et taper la discute avec des gens qui ne demandent que ça. Le plus abordable étant Frédéric Sausset, un grand Monsieur.Et sans mauvais jeu de mot comme Thomas Bastin qui croisait les doigts pour sa réussite. Sa persévérance (faible mot) nous oblige à modifier notre regard sur le handicap, je lui ai dit.
J'ai adoré les « Legends », la Bentley n'a pas pris une ride. J'ai bien aimé également la course Porsche Sprint. Lilou Wadoux a scotché son monde : pôle et victoire pour sa première course en Porsche avec seulement un jour de roulage selon un de ses concurrents désabusés. En plus, elle n'a pas le melon, écoutez son interview par BVD.
J'ai eu le plaisir d'échanger avec Camerat. Si j'avais su, j'aurais apporté « Bleu Matra » pour ma dédicace.
Il y a déjà plein de commentaires sur la course en elle même. Je dirai juste que le directeur de course risque de se retrouver, l'an prochain à trier les photos au service com' ou au contrôle à l'entrée. Il a failli se faire catapulter. Vous imaginez si sa présence avait inversé la résultat en P2 ? C'est évident que, concentré sur son action, il n'a pas tout pris en compte mais il y avait quand même du monde à proximité pour lui dire que c'était ultra chaud il qu'il fallait reculer....
Gageons que l'an prochain, le damier sera sur la passerelle, comme pour le départ.
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