Et bien si cela n'est pas de la passion ...
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Suite à une décision de justice (Arrêt N°344 de la Cour d'appel de Rennes en date du 05 décembre 2023) contestant les droits possédés par Washington Photo sur certains de ses clichés photographiques) et interdisant de les reproduire notamment sur Internet sous peine de poursuites financières, il est donc interdit de poster et donc reproduire dans nos forums (notamment le forum endurance) toute photo issue du fonds photographique de Washington Photo. La transgression de cette interdiction exposera ses auteurs à des poursuites juridiques. Nous vous demandons donc de respecter scrupuleusement cette interdiction.
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Anneau de Montlhéry
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Sportcars
vivement que l'on partage une autre bière (et peut être même plusieurs...) et que tu me racontes tout ça dans le détail !La Ligier JS2
www.ligierjs2.fr
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Vous avez raison PV; ce n'est pas une gare de chemin de fer mais une halte d'autobus ou d'autocar.
Et si je me souviens bien, encore, pour des auto - bus ou car ne dit-on pas une gare routière.
Bref un type s'est retrouvé tellement alcoolisé qu'il n'a pas pu prendre sa voiture et des bonnes âmes (il n'en manque pas dans ce milieu), l'ont posé dans une gare afin qu'il rentre chez lui.
On a vu revenir le gars en fin de semaine pour remercier ses "accompagnateurs" et reprendre sa voiture.
Dans les années 60 il n'y avait pas de port de ceinture de sécurité obligatoire et "boire ou conduire", un slogan.
Bref comme le disait le "Général" dans ces même années: " c'est la Chianli".
En 68, à cause de la "Chianli", nous avons eu les 24 heures du Mans au mois de septembre et dans la foulée: les 1000 km de Paris.
Il fallait bien qu'il y en ait qui carbure avec autre chose que de l'eau minérale ou jus de fruit; il fallait tenir !
Thierry L, je raconterai une autre fois des 24 heures du Mans au stand "Grand Marnier", puis dans la foulée comment ça se passait avec les cabannes "Heineken", les virouses chez "Moet en Chandon" et une année, la gueule de bois après le concert d'Europe n° 1 animé par Harold Kay..... Les chanteuses et chanteurs devaient avoir l'habitude de chanter sans que personne ne les écoute.
Courir en ancienne c'est aussi se remémorer comment cela se déroulait avant et après la course; comment les pilotes de la "coupe R8 Gordini" se débrouillaient dans les "parking"; le "paddock" est arrivé plus tard quand on à mis les voiture sur des remorques et que les "AS" dormaient à l'hôtel.
Ciao
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savethetrack et sportcars, votre combat est louable et je le partage mais inutile de vous époumoner, le sort de Monthléry est scellé mais pas au sens où vous l'entendez. Des choses se décident en sous-main e de façon très confidentielle. Il est vraisemblable que ce circuit est déjà sauvé. Si tel est le cas la vraie question est la suivante : qui pourra bien se présenter pour exploiter ce circuit de façon rentable et surtout à quelle fin ?
Affaire à suivre...
Sportivement vôtre
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Salut,
J'éspère que tu as de bonnes informations Verax et qu'il y a bien une vie après la mort. Question existantielle si il en est !
On ne va quand même pas démolir Montlhéry à l'époque ou les anglais veulent reconstruire Brookland !!!!!
Mon dieu, mais faites leur entre raison...
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Cher Verax
assez de secret de polichinelle concernant l'avenir du circuit ..pourquoi ne pas s'exprimer normalement ? les soit disants futur projets confidentielles seraient plus credible et certainement soutenus dans leurs demarches à moins que cela ne soit pour une questions d'argent ? je continuerai a m'époumoner tant que personnes ne nous diras la veritée.
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Cher "savethetrack",
Je salue ton courage et ton abnégation;
des origines irlandaises sans doute ?
Ne laches pas le morceau; les témoignages et les actes concrets des soutiens sont les indicateurs qui, à l'instar des monuments "emblèmatiques" du patrimoine de la France, fera que Montlhéry ne sera pas "l'éléphant" des Mésirables refuge de Gavroche.
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suite au texte de la petition de la Mairie de Linas....
Depuis un certain temps déjà nous voyons fleurir des associations pour la sauvegarde du circuit de Montlhéry. Cela prouve avant tout que nous sommes nombreux à nous inquiéter de son devenir.
Cependant on ne peut s’empêcher de relever quelques inepties. L’exemple le plus flagrant est le texte de la pétition de la mairie de Linas.
« Tous les 4 ans une commission d’homologation vient inspecter l’autodrome »: Cette commission ne vient que si le propriétaire du site, en l’occurrence l’UTAC, en fait la demande. La commission ne vient pas d’elle-même inspecter l’autodrome !
« Afin d’évaluer si celui-ci répond aux normes de sécurité tant pour les pilotes que pour le public » :
« La prochaine évaluation aura lieu d’ici 2005 »: Il se trouve que l’UTAC refuse de faire une nouvelle demande d’homologation et l’a confirmé par écrit au maire de Linas. Ce dernier à même lu cette lettre à l’assemblée des défenseurs de Montlhéry ayant eu lieu la veille des Festivités de Linas 2004 ! Alors pourquoi parle-ton ici de prochaine évaluation ? Le maire aurait-il la mémoire si courte qu’il en a oublié cet écrit de l’UTAC ?
« La vétusté des installations est un souci supplémentaire qui ne peut que s’aggraver avec le temps » : A qui la faute ? Personne ne s’est vraiment soucié de cet aspect, qu’il s’agisse des organisateurs d’évènements ou de l’UTAC !
Si l’on veut prendre un exemple, nous pouvons citer celui des « commodités ». Que l’UTAC n’entretienne pas ou ne construise pas de WC ou de douches, c’est une chose ! Que les organisateurs ne se sentent pas obligés d’assurer un minimum de confort aux spectateurs et aux pilotes c’est autre chose ! Il est pourtant facile de louer, le temps d’un week-end, des cabines de sanitaires ! Cela prouve tout simplement que l’UTAC tout comme les organisateurs de manifestations (dont la mairie de Linas fait partie avec ses « Festivités ») ne respectaient pas les gens qu’ils faisaient payer pour participer ou assister à une course. Prévoir 3 WC, dont un accusait une forte pente, rendant son utilisation périlleuse, et les deux autres devenant rapidement impraticable faute d’entretien sur 3 jours, c’était chose courante. Un évènements comme l’Age d’Or, drainant + de 5 000 spectateurs en moyenne aurait nécessité un équipement plus important !
Pas une seule cabine de douche n’était prévue pour le confort de ceux sans lesquels le spectacle n’aurait pu se faire et sans lesquels les organisateurs n’auraient pu générer de recette ! A ce sujet nous sommes en droit de nous demander si ces mêmes organisateurs qui se targuent de vouloir défendre le site, n’auraient plutôt pour objectif de ne pas perdre une manne qui faisait pour certains l’essentiel de leur chiffre d’affaires. Il est d’ailleurs fort curieux de voir aussi a quel vitesse quelques uns ont abandonné « le combat » pour se replier à Dijon ! Ils n’ont même pas tous attendu la fin de l’homologation pour quitter le « navire Montlhéry » !
« La structure en béton de l’anneau a subi de fortes dégradations ces dernières année » : L’anneau à 80 ans, rappelons-le, et n’a jamais eu le droit à un entretien sérieux de la part de son propriétaire ! ! Faut-il alors s’étonner des dégradations ? ? ?
« Poursuivre l’organisation….de manifestations » : N’est-il pas dommage qu’une association de sauvegarde mette en avant l’organisation de manifestations ? La première chose à faire n’est-elle pas d’empêcher la ruine ou la destruction de l’autodrome ? Pourquoi ne parlent-ils pas tout d’abord de patrimoine en péril ? Quel est leur but réel ? Gagner de l’argent et se faire plaisir en organisant des manifestations ou assurer la pérennité d’un lieu et conserver un monument faisant parti du patrimoine culturel et architectural ?
« de manifestations comme les Festivités Linas ou Moto-légende » : Pourquoi ce caractère restrictif ? Que dire de l’Age d’Or, du Trophée Jumeaux et de toutes les autres manifestations qui si elles étaient plus méconnues du grand public, avaient le bonheur de se dérouler à Montlhéry et de réunir quelques passionnés (Les journées Bugatti, le TOP, le trophée Lalique…)
« il est nécessaire d’engager des travaux importants et coûteux » : C’est gentil mais il n(y a aucune indication sur la provenance des fonds ! ? ! Et l’UTAC ne semble pas disposer ni à faire des frais ni à recevoir des subsides pour les travaux ! Alors ? ? ?
« sinon à court terme, l ’autodrome de Linas-Montlhéry serait réduit à l’état de ruine et disparaîtrait » : Aujourd’hui c’est l’outil de travail et la proprièté de l’UTAC. C’est donc à eux de le maintenir en état sauf s’ils ont des projets à moyens termes de destruction ! ? !
« Pour les amoureux du circuit cette perspective serait catastrophique » : pour eux ou pour les organisateurs ?
Il paraît évident qu’avant même de prendre en considération les « amoureux du circuit » c’est d’abord à la mémoire d’un grand lieu historique et son devenir qu’il faut s’intéresser. Il s’agit plus de patrimoine et de culture que de loisirs/plaisirs ne concernant qu’une minorité. Avant de penser au plaisirs que l’on peut éprouver à piloter ou assister à des courses à Montlhéry, il y a d’abord le respect dû à un monument de cette envergure.
« La ville de Linas a créée une commission de sauvegarde de l’autodrome le 18 décembre 2002 » : c’est très bien…mais à quoi sert-elle ? Ou plus exactement qu’a-t-elle entrepris pour rendre son action (puisqu’elle a la prétention d’en avoir une ) efficace ?
« Une large mobilisation est engagée pour sauver l’autodrome » : Oui c’est vrai mais pas par eux ! ! ! On ne les entends pas beaucoup et on ne peut lire nul part leur projet ! Les journalistes ignorent quasiment leur existence ou restent dubitatif à l’évocation de cette association. Pourquoi ? Ont-ils une mauvaise communication ? C’est fort gênant lorsque l’on veut défendre un tel monument. A moins que cela ne soit dû à leur manque de persuasion quant aux efforts qu’ils déploient pour la sauvegarde de Montlhéry !
Il est à noter que leur position n’est pas suffisamment claire sur ce dossier. Des membres du conseil municipal ont laissés transpirer qu’un projet de résidences de luxes en lieu et place de l’autodrome avait déjà été discuter en commission à la mairie ! ? !
La municipalité jouerait-elle un double jeu ? Son manque de dynamisme pourrait ainsi s’expliquer !
Il se dit que le maire veut obtenir l’autorisation de l’UTAC pour une édition 2005 des festivités de Linas. Ce sera toujours un plaisir pour nous de pouvoir à nouveau pénétrer dans ce sanctuaire mais pourquoi lors de la dernière édition la mairie n’avait-elle pas de stand pour accueillir les personnes souhaitant apposer leur signature sur cette pétition ou obtenir des détails sur l’action menée par cette association.
Il est étonnant de voir le nombre de gens qui sont montés aux créneaux pour la « sauvegarde du circuit » et qui aujourd’hui lui tournent le dos sans tambours ni trompettes, arguant du seul fait qu’ils sont au courant des projets de l’UTAC mais qu’ils n’ont pas le droit d’en parler. Pourquoi tant de mystères ? Que se cache-t-il derrières ces pseudos volonté d’action et ces retraits de la scène incompréhensibles ?
Qu’est-ce qui peut faire changer d’avis un ardent défenseur et le transformer en un mouton pacifiste ?
Le débat est ouvert, il ne reste plus qu’à obtenir des réponses aux questions évidentes qui se posent. Et c’est bien là que le bât blesse !
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La sauvegarde de notre autodrome intervient dans l'un des pires contextes que l'automobile en général, et la sportive en particulier, aient eu à affronter depuis la seconde guerre mondiale.
En toile de fond générale, la hausse du prix du pétrole qui n'a rien à voir en 2004 avec les chocs pétroliers de 1973, 1979 et 1980, politiques. Maintenant, du pétrole, y'en a plus ; de surcroît les Chinois et les Indiens vont nous tirer les dernières nappes. Et comme le lobby pétrolier a tout fait pour qu'il n'y ait pas d'énergie de substitution, on roulera comment dans 30 ans ? Sur le Net, sans doute.
Sur le plan franchouillard, le contexte automobile a de quoi réjouir les autophobes qui sont en train de gagner par KO :
- Les autoroutes sont devenus des pièges à permis. Rouler vite équivaut à du grand banditisme. Il y davantage de radards sur Paris-Marseille que dans le ciel irakien.
- Les constructeurs ne construisent plus que des ordinateurs avec du simili-cuir autour, ont banni de leurs catalogues les petites GT et ne font que du politiquement correct. Pas très incitatif à la naissance des vocations. On se demande à quoi peuvent rêver les Berha, Beltoise, Servoz-Gavin, Depailler, Cevert du début de ce siècle ? A des Velsatis ou des Citroën Picasso, peut-être.
- Et le sport ? Eh bien, le sport en France, c'est plus que Renault, et pour pas longtemps, le temps que Carlos Goshn (qui n'a rien du Carlos des Grosses Têtes) règle son siège et fasse monter son courrier de directeur de Renault en 2005. On vient d'apprendre que Peugeot-Citroën se retire des rallyes en 2006, ce qui n'a fait jusqu'à présent que quelques lignes de-ci, de-là. Tout le monde semble trouver ca normal, dans la logique économique du temps. Cette frilosité bien française, on la retrouve bien sûr dans la "gestion" des circuits automobile. Soit on ferme au public et on fait des labos high tech, comme au Ricard, soit on abandonne en ruines (Reims, Rouen), soit on dessine un ersatz de circuit sur le cadavre d'un grand tracé (Charade).
Et Montlhéry ? Le gros dinosaure est devenu un symbole qui n'est pas encore empaillé. Il sera difficile à nos édiles de le rayer d'un trait de plume : il y a trop de monde derrière, et malgré le climat anti-automobile qui rendra ardue sa sauvegarde, je reste quand même confiant.
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Effectivement vous feriez bien de retrouver une certaine lucidité quant au monde qui nous entoure, car même si je partage votre point de vue sachez que la majeure partie de la population française se moque de ce que deviendra Monthléry !!! Demandez-leur qui est son fondateur et il y a fort à parier que personne ne saura vous répondre...Ce qui est en soit est bien triste, je vous l'accorde.
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Verax, nous sommes lucides, rien dans ce que nous avons posté n'indique le contraire. Le combat sera dur mais il n'est pas perdu d'avance.
Les signataires des différentes pétitions constituent un levier qui peut faire bouger le rocher de certitudes où guettent les gens qui ont en charge l'autodrome.
Et la belle affaire si la majorité des Français se fout de ce circuit et ignore le nom de son fondateur ! Il ne s'agit pas d'un examen d'histoire. Il suffit que la minorité agissante agite les bons arguments. Il faudrait que cette minorité agissante se dégotte un porte-drapeau d'envergure internationale qui puisse ratisser large, un ancien grand pilote de F1, par exemple (non que FOB ne soit pas à la hauteur, loin de là, mais son nom n'est pas encore suffisamment connu hors du cercle des initiés).
Dans le cas de Reims, que nous connaissons bien, un grand nom s'était récemment proposé pour prendre la tête d'un comité de défense. Mais on dut se rendre à l'évidence : cette icône du sport auto français, connue pour son sens des affaires, était davantage attirée par les retombées médiatiques et pécuniaires qu'elle aurait pu retirer d'un tel engagement que par la sauvegarde du circuit de Reims.
Pour Montlhéry, il faut qu'un homme comme lui, mais honnête et désintéréssé, sorte du rang, quelqu'un qui dise : "Stop, on arrête tout, on réfléchit à ce qu'on veut faire de l'autodrome et on demande un moratoire, le temps qu'une décision soit prise".
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