Il y a qd même une chose qui m'étonne , c'est qu'avec les progres faits sur l'électronique, il n'y ait pas sur les moteurs turbo de dump valve pilotée qui permette de mettre partiellement ou totalement la pipe d'admission a l'air libre en fonction des besoins
Annonce
Réduire
A LIRE IMPERATIVEMENT
Suite à une décision de justice (Arrêt N°344 de la Cour d'appel de Rennes en date du 05 décembre 2023) contestant les droits possédés par Washington Photo sur certains de ses clichés photographiques) et interdisant de les reproduire notamment sur Internet sous peine de poursuites financières, il est donc interdit de poster et donc reproduire dans nos forums (notamment le forum endurance) toute photo issue du fonds photographique de Washington Photo. La transgression de cette interdiction exposera ses auteurs à des poursuites juridiques. Nous vous demandons donc de respecter scrupuleusement cette interdiction.
Voir plus
Voir moins
Turbo séquentialisés, la fin des atmo ?
Réduire
X
-
Le montage sur une Lotus Esprit
La connection au boitier électronique
La dump valve
et l'explication ICI(en anglais)
Commentaire
-
Les turbos de la 535d n'ont pas de géométrie variable.
La "Dump valve" se monte si le papillon d'admission est en aval du compresseur et elle sert à éviter le pompage du compresseur quand le papilon est fermé brusquement. Si le papillon est en amont du compresseur, il n'y a pas besoin de dump valve.
Commentaire
-
Je suis sceptique. Peut-être avec de futurs moteurs à RV variable, mais sinon je ne vois pas vraiment l’intérêt sur un moteur essence vu que les systèmes à « waste gate » et les turbocompresseurs actuels permettent d’établir la pression de suralimentation maxi à très bas régime déjà. Ca été employé dans le passé pour « améliorer la plage de fonctionnement relativement étroite des turbocompresseurs des années 80 », comme dit ici :
« La turbosuralimentation séquentiellle est couramment employés sur les Diesel marins, mais Toyota (Supra), Mazda (RX7) et Porsche (959) semblent avoir été les seuls constructeurs automobiles à commercialiser ce système. L'avantage d'une telle installation est l'élargissement de la plage de fonctionnement de la turbosuralimentation. À bas régime, un seul turbocompresseur est en fonction, les conduits d'admission et d'échappement du second étant fermés par des clapets.
Par exemple, le système Mazda utilise un petit turbocompresseur avec une roue de turbine de 51 millimètres de diamètre jusqu'à un régime moteur de 1500 t/min. Au-delà de ce régime, la quantité des gaz d'échappement devient suffisante et les clapets ouvrent les conduits d'un plus grand turbocompresseur, d'une roue de turbine de 58 millimètres de diamètre. Les deux turbocompresseurs sont ainsi actionnés en parallèle. Ce système séquentiel a été employé à partir de 1986 sur la 3ème version du moteur à pistons rotatifs 13B de la Mazda RX7 afin d'améliorer la plage de fonctionnement relativement étroite des turbocompresseurs des années 80. Le moteur 2,85 litres de 336 kW (450 ch) de la Porsche 959 a également utilisé un turbocompresseur séquentiel. »
http://www.auto-innovations.com/site...er/turbo2.html
Cordialement,
Commentaire
-
Hum.. effectivement, merci pour les exemples. Si des choses comparables ont déjà été employées.. ça laisse peu d'espoirs. Il va falloir que je rejette un oeil sur le dossier.
Apparemment les atmos font toujours aussi bien voir mieux en rendement. Ah si seulement on pouvait fonctionner presque tout le temps en stratifié, on aurait peut-être cet avantage sur les turbos. A ce sujet, existe-t-il seulement des turbo essence qui savent faire ça ? Ca me parait complexe mais bon.
Commentaire
Commentaire