Ah ! On a réussi à la faire sortir du bois, Pénélope... Elle nous sert un post enflammé en forme d'une plaidoirie sortie de la série "Avocats et associés", qui défend la cause des femmes que, selon elle, on a attaquée dans quelques posts plus haut. Diatribe efficace, même si pour l'appuyer, elle attaque au passage quelques intervenants comme Mack et moi, et dont le caractère percutant a amené à notre débat des gens qui jusque-là le lisaient simplement.
Que nenni, Pénélope, je ne suis pas contre les femmes, je suis même tout contre, pour paraphraser Sacha Guitry, un bon pilote de voiturettes des années 50. Mais celles que j'ai connues dans le monde de l'automobile, quand elles n'étaient pas éblouies par un François Cevert (que dans votre énervement vous qualifiez de bellâtre), ou par un Jochen Mass comme l'était une mienne connaissance, ne posaient sur leurs homologues masculins "normaux" qu'un regard vague. Ou alors c'étaient des tas de chairs. Le phénomène pit-babe, bien sympathique, était hélas inconnu dans les années 70 où j'ai sévi. Nous comptions sur les doigts d'une main les dames que nous approchions sur les circuits : une solide chronométreuse chez Matra, la rustique épouse d'un responsable de Elf, voire cette ex-pilote blonde, amie d'un grand de la catégorie tourisme (donc très prise), maintenant devenue photographe.
Dommage que vous ne fussiez pas née en 1950, Pénélope. Vous eussiez pu offrir une belle alternative à ces tas de chairs, encore qu'il aurait été à craindre que vous ne tombassiez sous le charme d'un certain bellâtre.
Que nenni, Pénélope, je ne suis pas contre les femmes, je suis même tout contre, pour paraphraser Sacha Guitry, un bon pilote de voiturettes des années 50. Mais celles que j'ai connues dans le monde de l'automobile, quand elles n'étaient pas éblouies par un François Cevert (que dans votre énervement vous qualifiez de bellâtre), ou par un Jochen Mass comme l'était une mienne connaissance, ne posaient sur leurs homologues masculins "normaux" qu'un regard vague. Ou alors c'étaient des tas de chairs. Le phénomène pit-babe, bien sympathique, était hélas inconnu dans les années 70 où j'ai sévi. Nous comptions sur les doigts d'une main les dames que nous approchions sur les circuits : une solide chronométreuse chez Matra, la rustique épouse d'un responsable de Elf, voire cette ex-pilote blonde, amie d'un grand de la catégorie tourisme (donc très prise), maintenant devenue photographe.
Dommage que vous ne fussiez pas née en 1950, Pénélope. Vous eussiez pu offrir une belle alternative à ces tas de chairs, encore qu'il aurait été à craindre que vous ne tombassiez sous le charme d'un certain bellâtre.
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