Je ne remets pas en cause le fait d'aimer les anciennes (moi même je rêve secrètement d'un coupé Fulvia Zagato, un coupé Beta ou une belle Montecarlo) mais renier les nouvelles, c'est renier la marque elle-même. Ceux qui aiment les anciennes aiment la marque Alfa des années 60-70 (je généralise).Mais comme tout ce qui est soumis à la loi du marché, et à la société en général, l'évolution est indispensable. Il y a des hauts et des bas, des obstacles et des bonnes périodes!
Une question : immaginez Alfa aujourd'hui si elle n'avait jamais rencontré de difficultés et serait toujours restée ultra-fidèle à ses principes d'antan. Aurait-elle survécu à la crise pétrolière? Aurait-elle été rachetée par Ford plutôt que par Fiat? Aurait-elle évolué dans le bon sens? Dans quels modèles roulerions nous aujourd'hui?
Autant de questions auxquelles on ne peut répondre avec certitude!
Tout ça pour dire que oui, un modèle ne peut pas plaire (j'ai la stilo en travers de la gorge), on peut désapprouver un choix, un style mais si on aime vraiment une marque, on se doit de l'aimer pour le meilleur et pour le pire, et pas seulement quand elle est au firmament.
(L'exemple de BMW dans les années 60, d'Audi, des marques très fragiles qui sont devenues de véritables valeurs aujourd'hui, en évoluant, en se remettant en question)
Alors vive le changement et vive la passion automobile!
Une question : immaginez Alfa aujourd'hui si elle n'avait jamais rencontré de difficultés et serait toujours restée ultra-fidèle à ses principes d'antan. Aurait-elle survécu à la crise pétrolière? Aurait-elle été rachetée par Ford plutôt que par Fiat? Aurait-elle évolué dans le bon sens? Dans quels modèles roulerions nous aujourd'hui?
Autant de questions auxquelles on ne peut répondre avec certitude!
Tout ça pour dire que oui, un modèle ne peut pas plaire (j'ai la stilo en travers de la gorge), on peut désapprouver un choix, un style mais si on aime vraiment une marque, on se doit de l'aimer pour le meilleur et pour le pire, et pas seulement quand elle est au firmament.
(L'exemple de BMW dans les années 60, d'Audi, des marques très fragiles qui sont devenues de véritables valeurs aujourd'hui, en évoluant, en se remettant en question)
Alors vive le changement et vive la passion automobile!
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