lu dans capital du 18/07/2008
Une Mini Cooper pour le parc automobile de la Police Judiciaire
C’est une première : la direction de la Police Judiciaire, la DPJ, vient de se voir attribuer un véhicule qu’elle avait saisi au cours d’une de ses enquêtes. En l’occurrence : une Mini Cooper.
L’affaire remonte au 19 décembre 2006. Les policiers de la Brigade de répression du proxénétisme avaient interpellé la gérante d’un salon de massage parisien, ainsi que son mari, pour des faits de proxénétisme aggravé. Leurs investigations ont démontré que trois masseuses, qu’ils employaient, proposaient des prestations sexuelles à leurs clients. Leurs activités rapportant un chiffre d’affaire mensuel d’environ 54000 euros, les sommes récoltées avaient permis, entre autres, aux propriétaires du salon de se payer, pour 28500 euros, une Mini Cooper noire aux vitres teintées.
Au terme du travail de ses enquêteurs, le patron de la Brigade de répression du proxénétisme a donc demandé à ses supérieurs hiérarchiques de la direction de la Police Judiciaire l’attribution du véhicule saisi. Cette requête ayant été acceptée, la direction de la Police Judiciaire dispose désormais de ce véhicule dans son parc automobile.
© Capital.fr
18/07/2008 19:16
Une Mini Cooper pour le parc automobile de la Police Judiciaire
C’est une première : la direction de la Police Judiciaire, la DPJ, vient de se voir attribuer un véhicule qu’elle avait saisi au cours d’une de ses enquêtes. En l’occurrence : une Mini Cooper.
L’affaire remonte au 19 décembre 2006. Les policiers de la Brigade de répression du proxénétisme avaient interpellé la gérante d’un salon de massage parisien, ainsi que son mari, pour des faits de proxénétisme aggravé. Leurs investigations ont démontré que trois masseuses, qu’ils employaient, proposaient des prestations sexuelles à leurs clients. Leurs activités rapportant un chiffre d’affaire mensuel d’environ 54000 euros, les sommes récoltées avaient permis, entre autres, aux propriétaires du salon de se payer, pour 28500 euros, une Mini Cooper noire aux vitres teintées.
Au terme du travail de ses enquêteurs, le patron de la Brigade de répression du proxénétisme a donc demandé à ses supérieurs hiérarchiques de la direction de la Police Judiciaire l’attribution du véhicule saisi. Cette requête ayant été acceptée, la direction de la Police Judiciaire dispose désormais de ce véhicule dans son parc automobile.
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18/07/2008 19:16
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