Excusez-moi, mais en ce qui me concerne, je n'ai jamais eu la prétention de donner des leçons à qui que ce soit!
Pour en revenir au débat, je prendrais mon propre exemple:
Avant mon accident, je ne roulais pas comme aujourd'hui, c'est à dire que je n'avais peur d'une seule chose lorsque je roulais au dessus des limitations: la contravention.
Aujourd'hui, il y à un critère qui prend le dessus c'est l'accident. Que l'on arrête de jouer de la langue de bois en prétextant que la vitesse n'augmente pas le risque de mortalité… ça me semble logique, et, s’il vous plait, ne rentrez pas dans des phrases types, comme "dans ce cas, tout le monde roule à 20", ou bien, "Il y a des gens qui roulent doucement et qui sont des dangers" (ce qui est dès fois vrai, mais qui n'est pas un contre exemple pour autant).
Mais pour être objectif, je me dois de rappeler que mon accident n’a pas eu lieu sur une autoroute, mais une petite départementale sinueuse que je prenais très régulièrement.
Ce qui n'empêche pas que ma sortie de route est due à une mauvaise maîtrise de la trajectoire......... qui n'aurait probablement jamais eu les mêmes répercutions si j'avais respecté les limitations de vitesse (j'entends aussi au fond "et les limitations de conneries aussi").
Je pense que les limitations de vitesse ont étés mise en place parce que tout le monde ne sais pas réellement adapter sa vitesse aux conditions de conduite, il suffit d'ouvrir les pages faits divers de votre journal local.
Désolé, pour ce plaidoyer inutile de toute façon, mais j'ai relu tout à l'heure la copie de l'article de presse relatant mon accident, et je suis vraiment heureux de ne pas avoir eu droit à une case quelques pages plus loin.... dans les chroniques mortuaires, ce qui n’en était vraiment pas loin.
Ceux qui ont, un jour perdu un ami ou un proche suite à un accident de la route me comprendront. Quand je fais le con sur la route, je pense à ce jour de mai ou tout aurrais pu s’arrèter, et à la chance que j’ai seulement de pouvoir me rassoir à nouveau au volant de la même voiture (enfin, je devrais dire le même modèle).
Pour finir, j'ajouterais que si la vitesse n'est pas le seul facteur accidentogène, elle est dans tous les cas un facteur agravant.
Pour en revenir au débat, je prendrais mon propre exemple:
Avant mon accident, je ne roulais pas comme aujourd'hui, c'est à dire que je n'avais peur d'une seule chose lorsque je roulais au dessus des limitations: la contravention.
Aujourd'hui, il y à un critère qui prend le dessus c'est l'accident. Que l'on arrête de jouer de la langue de bois en prétextant que la vitesse n'augmente pas le risque de mortalité… ça me semble logique, et, s’il vous plait, ne rentrez pas dans des phrases types, comme "dans ce cas, tout le monde roule à 20", ou bien, "Il y a des gens qui roulent doucement et qui sont des dangers" (ce qui est dès fois vrai, mais qui n'est pas un contre exemple pour autant).
Mais pour être objectif, je me dois de rappeler que mon accident n’a pas eu lieu sur une autoroute, mais une petite départementale sinueuse que je prenais très régulièrement.
Ce qui n'empêche pas que ma sortie de route est due à une mauvaise maîtrise de la trajectoire......... qui n'aurait probablement jamais eu les mêmes répercutions si j'avais respecté les limitations de vitesse (j'entends aussi au fond "et les limitations de conneries aussi").
Je pense que les limitations de vitesse ont étés mise en place parce que tout le monde ne sais pas réellement adapter sa vitesse aux conditions de conduite, il suffit d'ouvrir les pages faits divers de votre journal local.
Désolé, pour ce plaidoyer inutile de toute façon, mais j'ai relu tout à l'heure la copie de l'article de presse relatant mon accident, et je suis vraiment heureux de ne pas avoir eu droit à une case quelques pages plus loin.... dans les chroniques mortuaires, ce qui n’en était vraiment pas loin.
Ceux qui ont, un jour perdu un ami ou un proche suite à un accident de la route me comprendront. Quand je fais le con sur la route, je pense à ce jour de mai ou tout aurrais pu s’arrèter, et à la chance que j’ai seulement de pouvoir me rassoir à nouveau au volant de la même voiture (enfin, je devrais dire le même modèle).
Pour finir, j'ajouterais que si la vitesse n'est pas le seul facteur accidentogène, elle est dans tous les cas un facteur agravant.
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