Ou comment j’ai joué les (Mini) Reporters aux US...
Bien qu’en déplacement aux Etats-Unis pour raisons professionnelles (un salon audiovisuel à Las Vegas), je n’ai pas pu m’empêcher pendant ces 10 jours de guetter l'apparition… de Minis ! Cela confirme l’un des effets secondaires du virus MINI : il se manifeste partout !
Voici donc les trouvailles de ma joyeuse enquête*…
* menée avec l’aide de mes collègues, qui à force de me côtoyer pendant ce séjour, sont devenus eux aussi des MINI addicted !
Première étape : Las Vegas.
Après avoir désespérément cherché des MINI pendant une semaine dans toute la ville, force est de constater que ce n’est pas ici que j’en verrai. Les cabs et les 4x4 sont monnaie courante, mais pas une seule Mini à l’horizon ! Notre voiture préférée n’est pas peut-être pas assez « m’as-tu vu » dans cette ville où seules les apparences comptent…
Je suis donc sur le point d’abandonner, lorsqu’un matin, sur le salon où nous exposons, un de mes collègues m’appelle, tout fou, pour me dire qu’il a déniché sur un stand un véhicule de reportage hors du commun ! Armée de mon APN, j’arrive immédiatement sur le stand en question, et que vois-je ? Une ravissante Solid Gold, à première vue tout à fait normale…
Mais dont le coffre fait office de régie vidéo !
Toute heureuse de ma trouvaille, je la photographie sous tous les angles, avant d’entamer la conversation avec le couple présent sur le stand. J’apprends que cette Mini est la leur, et qu’ils en sont fous ! Je leur demande comment, au vu du gabarit moyen des voitures américaines, leurs amis ont réagi à l’annonce de leur achat, et ils me répondent que ces derniers ne les ont pris au sérieux que lorsqu’ils ont su que la Mini était un produit BMW !
Après quelques échanges passionnés sur la Mini, ils m’indiquent un autre stand dans le même hall avec une Mini en exposition… Je reprends donc mon chemin !
Quelques mètres plus loin, je me trouve nez à nez avec une jolie Cooper S, dont la présence sur le stand sert uniquement à l’embellir. Il faut dire qu’au milieu de tous ces prompteurs pas particulièrement esthétiques, la Mini brille de mille feux.
Nouvelle séance photos, et nouvelle discussion avec l’heureux propriétaire, qui vient de recevoir son joujou et qui resplendit de bonheur ! Il m’annonce d’office que le chemin du retour lui permettra de tester les capacités de sa titine, et pendant ce temps, moi je craque pour sa plaque d’immatriculation… temporaire !
Fini le salon, je m’envole vers San Francisco , avec le pressentiment que je croiserai là-bas plein de nouvelles Mini… Instinct féminin oblige, à peine sortie de l’aéroport, j’aperçois une ravissante Cooper Electric Blue ornée de bandes blanches… Je me sens tout à coup en terrain connu !
Le pressentiment se confirme : me voici au paradis de la Mini. Il faut dire que les rues escarpées de San Francisco se prêtent parfaitement à la conduite en Mini. J’imagine déjà les heureux conducteurs jouer des remake du cultissime Bullit ! Nos taxis s’amusent à faire des bonds dans les dénivelés, alors je devine sans peine les sensations kart de la petite voiture dans les rues de San Francisco… rien que du bonheur !
En pagaille, voici quelques photos des Mini de San Francisco… Les couleurs récurrentes sont l’Hyper Blue et le Chili Red. J’ai vu tous les types de modèles, mais étonnamment, aucun cabrio ! La personnalisation la plus originale (et la plus locale !) que j’ai croisée : des bandes blanches, et un drapeau américain sur le toit… bref, rien de spécialement fou-fou !
Quelques photos et deux jours plus tard, l’heure est venue de rentrer à Paris… avec le souvenir de l’accueil chaleureux des Ministes américains.
L’esprit MINI est définitivement sans frontières !
Bien qu’en déplacement aux Etats-Unis pour raisons professionnelles (un salon audiovisuel à Las Vegas), je n’ai pas pu m’empêcher pendant ces 10 jours de guetter l'apparition… de Minis ! Cela confirme l’un des effets secondaires du virus MINI : il se manifeste partout !
Voici donc les trouvailles de ma joyeuse enquête*…
* menée avec l’aide de mes collègues, qui à force de me côtoyer pendant ce séjour, sont devenus eux aussi des MINI addicted !
Première étape : Las Vegas.
Après avoir désespérément cherché des MINI pendant une semaine dans toute la ville, force est de constater que ce n’est pas ici que j’en verrai. Les cabs et les 4x4 sont monnaie courante, mais pas une seule Mini à l’horizon ! Notre voiture préférée n’est pas peut-être pas assez « m’as-tu vu » dans cette ville où seules les apparences comptent…
Je suis donc sur le point d’abandonner, lorsqu’un matin, sur le salon où nous exposons, un de mes collègues m’appelle, tout fou, pour me dire qu’il a déniché sur un stand un véhicule de reportage hors du commun ! Armée de mon APN, j’arrive immédiatement sur le stand en question, et que vois-je ? Une ravissante Solid Gold, à première vue tout à fait normale…
Mais dont le coffre fait office de régie vidéo !
Toute heureuse de ma trouvaille, je la photographie sous tous les angles, avant d’entamer la conversation avec le couple présent sur le stand. J’apprends que cette Mini est la leur, et qu’ils en sont fous ! Je leur demande comment, au vu du gabarit moyen des voitures américaines, leurs amis ont réagi à l’annonce de leur achat, et ils me répondent que ces derniers ne les ont pris au sérieux que lorsqu’ils ont su que la Mini était un produit BMW !
Après quelques échanges passionnés sur la Mini, ils m’indiquent un autre stand dans le même hall avec une Mini en exposition… Je reprends donc mon chemin !
Quelques mètres plus loin, je me trouve nez à nez avec une jolie Cooper S, dont la présence sur le stand sert uniquement à l’embellir. Il faut dire qu’au milieu de tous ces prompteurs pas particulièrement esthétiques, la Mini brille de mille feux.
Nouvelle séance photos, et nouvelle discussion avec l’heureux propriétaire, qui vient de recevoir son joujou et qui resplendit de bonheur ! Il m’annonce d’office que le chemin du retour lui permettra de tester les capacités de sa titine, et pendant ce temps, moi je craque pour sa plaque d’immatriculation… temporaire !
Fini le salon, je m’envole vers San Francisco , avec le pressentiment que je croiserai là-bas plein de nouvelles Mini… Instinct féminin oblige, à peine sortie de l’aéroport, j’aperçois une ravissante Cooper Electric Blue ornée de bandes blanches… Je me sens tout à coup en terrain connu !
Le pressentiment se confirme : me voici au paradis de la Mini. Il faut dire que les rues escarpées de San Francisco se prêtent parfaitement à la conduite en Mini. J’imagine déjà les heureux conducteurs jouer des remake du cultissime Bullit ! Nos taxis s’amusent à faire des bonds dans les dénivelés, alors je devine sans peine les sensations kart de la petite voiture dans les rues de San Francisco… rien que du bonheur !
En pagaille, voici quelques photos des Mini de San Francisco… Les couleurs récurrentes sont l’Hyper Blue et le Chili Red. J’ai vu tous les types de modèles, mais étonnamment, aucun cabrio ! La personnalisation la plus originale (et la plus locale !) que j’ai croisée : des bandes blanches, et un drapeau américain sur le toit… bref, rien de spécialement fou-fou !
Quelques photos et deux jours plus tard, l’heure est venue de rentrer à Paris… avec le souvenir de l’accueil chaleureux des Ministes américains.
L’esprit MINI est définitivement sans frontières !
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