Bonsoir à tous.
Est-ce que l’histoire de l’Endurance s’arrête au n° de châssis, palmarès des pilotes, de la voiture, de l’écurie ???
Un nouveau sujet pour raconter toutes ces anecdotes sur l’histoire de l’endurance…….
Petite contribution, histoire d’amorcer la pompe .
1925…….
Source. Le quotidien L'Ouest-Éclair
Le Mans
Un clairon se tiendra à 200 mètres en avant de toute agglomération et autres endroits où il sera reconnu nécessaire. Il annoncera l'arrivée des véhicules.
1938….
Source. Le quotidien L'Ouest-Éclair 1938
Le Mans….
TARIF MILITAIRE
Enfin, il a été prévu un tarif militaire, et les hommes de troupe qui se présenteront aux guichets pourront se procurer des cartes pour deux entrées contre versement de la somme de 5 francs, étant précisé que ces cartes seront uniquement vendues aux guichets et que les bénéficiaires devront
• se présenter en tenue, aussi bien aux guichets de vente qu'au contrôle d'entrée.
1965….
Source. Sport Auto 1965
Le Mans….
Un incident faillit éclater lorsque la scudéria fillipinetti présenta sa cobra sensée être première réserve, d’après les lettres échangées avec les organisateurs, mais qui ne figurait pas sur les listes officielles.
Fort heureusement, le responsable retrouva la correspondance qui lui avait été adressée et tout rentra dans l’ordre…..
Source. Sport auto, juillet 1965.
Le Mans….
« Chez Ferrari, en revanche, la défaillance du freinage fut une surprise. L’efficacité n’était pas en cause, c’était la résistance mécanique des disques qui laissait à désirer et l’un après l’autre, les prototypes Ferrari furent contraints à de longs arrêts pour remplacer leurs disques qui étaient fêlées…
Source. Sport auto mai 1965.
Le Mans….
Ferrari et la c.s.i
« Nouvelle épisode de la petite guerre qui oppose le commandatore Ferrari à la commission sportive internationale :
Lors de la réunion de la c.s.i à Genève, les délégués italiens ont présenté la demande d’homologation de la Ferrari 275gtb.
Bien que la livraison de ces voitures ait été considérablement retardée par de grosses difficultés de mise au point de la tenue de route, la c.s.i. a bien voulu fermer les yeux, admettant à juste titre qu’à l’opposé du cas de la Ferrari lm, il s’agissait réellement d’une voiture conforme à l’esprit « grand tourisme ».
Mais en revanche, lorsque le détail de la demande d’homologation fut annoncé aux délégués,
Certains d’entre eux s’étonnèrent de voir que le poids de la gtb, annoncé comme étant 1050kg
sur les prospectus de la firme, était subitement ramené à 850kg « nos catalogues sont faux, une dactylo s’est trompée » déclara un représentant de la firme.
Mais puisqu’une voiture de ce type était exposée sur le stand Ferrari du salon de geneve, quelqu’un proposa de la faire peser.
Comme on le pense bien, cette proposition ne recueillit pas l’approbation du commendatore…
L’homologation fut donc refusée et Ferrari de dénoncer dans un communiquer à la presse un certain nombre d’irrégularités qui aurait été commises dans les homologations au profit d’autres firme,(sans parler de l’homologation de la g.t.o. qui fut en elle-même l’erreur initiale de la c.s.i. )
Source. Sport auto 1965.
Le Mans….
Quel bruit pouvait faire cette fameuse Rover B.R.M à turbine en 1965...
Elle avait un bruit caractéristique de " lampe à souder"
Source. Sport auto. Mai1965
Essais des 24h du mans, mai 1965 …
Arrivée le dimanche matin, l’ELVA-B.M.W. de l’honorable Richard Wrottesley se révéla être la ravissante petite berlinette exposée au salon de Londres.
Elle comportait encore sur sa glace de portière l’inscription : « porte verrouillée, ne touchez pas s.v.p .
1966…
Source. Sport auto 1966
Les employés de l’écurie Chaparral étaient avertis en permanence (grâce à une affiche) que leurs rivaux aimeraient bien connaître leurs secret.
Sur l’affiche était marqué, " competitors are peeking "
Cette année là, l’écurie chaparral avait prévue pour la saison européenne, de faire les 1000 km de Monza, de spa, du nurburgring, la targa florio, et les 24h du mans, et qu’après chaque course la voiture serais expédiée par avion à midland, pour y être préparée en vue de la prochaine épreuve……
Source. Sport auto juillet 1966
Le mans….
Un règlement qui fit hérisser les cheveux des constructeurs…….
« A l’issue du déjeuner de presse des 24 heures du mans, le Président Lelièvre a annoncé quelles seraient les grandes lignes du règlement que l’ACO désirerait voir adopter par la C.S.I. pour l’an prochain : ravitaillement tout les 30 tours au minimum (soit 400 km), retour à des carrosseries à quatre vraies places utilisables « par des acheteurs sportifs, mais aussi par des utilisateurs désireux de pouvoir entrer et sortir de leur véhicule sans contorsions acrobatiques ».
Dés qu’il fut annoncé, ce projet de règlement a déclenché une levée de bouclier de la part de presque tous les constructeurs.
1967…
Source. Sport Auto 1967
Des essais devaient être entrepris avec le concours de la sécurité civile, pour équiper un hélicoptère d’extincteur(s) assez puissant et efficaces pour éteindre instantanément une voiture qui flambe.
Ainsi il patrouillerait en permanence dans le ciel, et acourrerait dés qu’un nuage de poussière révélateur signalerait un accident.
1968…..
source. sport auto septembre 1968.
Le Mans….
une histoire de poids.....
"L'un des avantages principaux de la porsche (porsche 908)est son poids très réduit.
Mais, pour l'obtenir, il a fallu rogner absolument sur tous les éléments.
Un fournisseur nous a raconté l'histoire d'un alternateur refusé parce qu'il était
50 grammes plus lourd que le cahier de charge ne le prévoyait....."
1971…..
Source. Sport auto mars 1971
Daytona …..
Heureux spectateurs de cette édition des 24 heures de Daytona 1971 !!!!
« Le spectacle n’est pourtant pas fini, les spectateurs restent assis dans les tribunes, une demi-heure plus tard ils verront une petite boule de feu s’élever au loin dans le ciel…APPOLLO 14 ».
1972…
Source. Sport auto 1972.
Le Mans
Malgré le forfait des 4 Ferrari, des 2 mirages, de l’une des 4 alfa et de la Mercedes 6,8 SEL entre autres, soixante-six voitures avaient passé le cap des vérifications de sorte que onze n’allaient pas pouvoir prendre le départ.
l’accident survenu le mercredi à la GRAC MT16 de Lionel noghés, (pilote légèrement brûlé) et plusieurs bris de moteurs permirent à d’autres de prendre le départ et diminuèrent le nombre de ceux qui allaient rester sur la touche.
Mais il faut reconnaître que l’ACO n’a pas joué le jeu en refusant de publier comme cela se fait partout ailleurs, les temps de qualifications réalisés par chaque pilote.
quelques équipages étrangers, à qui le départ avait été refusé, se demandaient de ce fait si tous les pilotes régionaux que l’on trouvait au départ avaient effectivement tourné dans les minima imposé.
La pluie survenue lors des premières heures du mercredi, la fermeture de la piste durant plus d’une heure à la suite de l’accident de la GRAC, avaient pourtant pas mal contrarié le déroulement des essais et les voitures les plus rapides n’avaient pu terminer leur mise au point suffisamment à temps pour pouvoir faire de bons chronos.
On resta très en dessous des prévisions (3’35’’) avec une pole position en 3’42’’2 pour cevert, ce qui rendit la qualification d’autant plus aisée que les organisateurs souhaitaient la fixer à 133% alors que la CSI demandait 130% (l’opération se fit si discrètement que nous ignorons toujours quel chiffre fut retenu !!!)
1973….
Source. Sebastien-2 de Motorlegend
Le Mans…..
Michel Elkoubi
En 1973, j'avais engagé l'ACE que je venais de construire.
A cette époque, une épreuve du pesage (se déroulant alors sur le circuit) consistait à faire un "8" sur la piste, entre deux rails, en poussant la voiture.
Celle-ci ne braquant pas suffisamment, Yves Martin me suggère d'élargir temporairement le train avant....en prenant les roues de sa F2!!
Le hic, c'est qu'elles dépassent de la carrosserie.....
On trouvent alors un prétexte pour présenter la voiture sans son capot et à notre grand soulagement, personne n'y trouve à redire !
Le "8" s'effectue....comme sur des roulettes !!!
Toutefois, je savais qu'il allait nous manquer à présent une vingtaine de Kg à la pesée.
Que faire ??
Idée....on a retiré une roue, foncé chez un cultivateur du coin et grâce à son appareil utilisé pour remplir d'eau les pneus de tracteur (ce qui donnait une meilleur adhérence dans les champs), on a remplacé l'air de notre pneu par de la flotte, triomphant ainsi de la pesée (et du pesage) au Kg prés !!!
Ce qu'il faut bien nommer "ces petites tricheries" ne nous ont pas porté chance : lors de la première séance d'essais, on a cassé si vite l'arbre à cames qu'on n'a pas réussis à se qualifier.
Bien mal acquis................
1976…..
Source. Forum de Motorlegend
Le Mans….
Nous sommes en 1976, les voitures Nascar sont acceptées par l'ACO.....
A cette époque, les voitures Nascar avaient (ou ont ??) des roues à 5 boulons et la réglementation Nascar obligeait de changer TOUS les boulons par des neufs à chaque changement de roues .....
Par ignorance, les américains de la Ford Torino (n°90) appliqua aussi ce règlement au Mans.........
Donc, à chaque arrêt au stand, l'énergie de la manœuvre faisait se disperser ces morceaux de métal , 20 à chaque arrêt !!! , dans les stands voisins, où il fallait soigneusement nettoyer pour ne pas tomber , ou pour les voitures voisines ...
Au début tous le monde, venaient rapporter les écrous , les américains ne comprenant rien, ils s'empressaient de les mettrent à la benne immédiatement
Et la voiture à roulé 10 heures ... à la fin, plus personne ne ramassait quoique ce soit , et des centaines de boulons abandonnés sont restés sur place ....
Est-ce que l’histoire de l’Endurance s’arrête au n° de châssis, palmarès des pilotes, de la voiture, de l’écurie ???
Un nouveau sujet pour raconter toutes ces anecdotes sur l’histoire de l’endurance…….
Petite contribution, histoire d’amorcer la pompe .
1925…….
Source. Le quotidien L'Ouest-Éclair
Le Mans
Un clairon se tiendra à 200 mètres en avant de toute agglomération et autres endroits où il sera reconnu nécessaire. Il annoncera l'arrivée des véhicules.
1938….
Source. Le quotidien L'Ouest-Éclair 1938
Le Mans….
TARIF MILITAIRE
Enfin, il a été prévu un tarif militaire, et les hommes de troupe qui se présenteront aux guichets pourront se procurer des cartes pour deux entrées contre versement de la somme de 5 francs, étant précisé que ces cartes seront uniquement vendues aux guichets et que les bénéficiaires devront
• se présenter en tenue, aussi bien aux guichets de vente qu'au contrôle d'entrée.
1965….
Source. Sport Auto 1965
Le Mans….
Un incident faillit éclater lorsque la scudéria fillipinetti présenta sa cobra sensée être première réserve, d’après les lettres échangées avec les organisateurs, mais qui ne figurait pas sur les listes officielles.
Fort heureusement, le responsable retrouva la correspondance qui lui avait été adressée et tout rentra dans l’ordre…..
Source. Sport auto, juillet 1965.
Le Mans….
« Chez Ferrari, en revanche, la défaillance du freinage fut une surprise. L’efficacité n’était pas en cause, c’était la résistance mécanique des disques qui laissait à désirer et l’un après l’autre, les prototypes Ferrari furent contraints à de longs arrêts pour remplacer leurs disques qui étaient fêlées…
Source. Sport auto mai 1965.
Le Mans….
Ferrari et la c.s.i
« Nouvelle épisode de la petite guerre qui oppose le commandatore Ferrari à la commission sportive internationale :
Lors de la réunion de la c.s.i à Genève, les délégués italiens ont présenté la demande d’homologation de la Ferrari 275gtb.
Bien que la livraison de ces voitures ait été considérablement retardée par de grosses difficultés de mise au point de la tenue de route, la c.s.i. a bien voulu fermer les yeux, admettant à juste titre qu’à l’opposé du cas de la Ferrari lm, il s’agissait réellement d’une voiture conforme à l’esprit « grand tourisme ».
Mais en revanche, lorsque le détail de la demande d’homologation fut annoncé aux délégués,
Certains d’entre eux s’étonnèrent de voir que le poids de la gtb, annoncé comme étant 1050kg
sur les prospectus de la firme, était subitement ramené à 850kg « nos catalogues sont faux, une dactylo s’est trompée » déclara un représentant de la firme.
Mais puisqu’une voiture de ce type était exposée sur le stand Ferrari du salon de geneve, quelqu’un proposa de la faire peser.
Comme on le pense bien, cette proposition ne recueillit pas l’approbation du commendatore…
L’homologation fut donc refusée et Ferrari de dénoncer dans un communiquer à la presse un certain nombre d’irrégularités qui aurait été commises dans les homologations au profit d’autres firme,(sans parler de l’homologation de la g.t.o. qui fut en elle-même l’erreur initiale de la c.s.i. )
Source. Sport auto 1965.
Le Mans….
Quel bruit pouvait faire cette fameuse Rover B.R.M à turbine en 1965...
Elle avait un bruit caractéristique de " lampe à souder"
Source. Sport auto. Mai1965
Essais des 24h du mans, mai 1965 …
Arrivée le dimanche matin, l’ELVA-B.M.W. de l’honorable Richard Wrottesley se révéla être la ravissante petite berlinette exposée au salon de Londres.
Elle comportait encore sur sa glace de portière l’inscription : « porte verrouillée, ne touchez pas s.v.p .
1966…
Source. Sport auto 1966
Les employés de l’écurie Chaparral étaient avertis en permanence (grâce à une affiche) que leurs rivaux aimeraient bien connaître leurs secret.
Sur l’affiche était marqué, " competitors are peeking "
Cette année là, l’écurie chaparral avait prévue pour la saison européenne, de faire les 1000 km de Monza, de spa, du nurburgring, la targa florio, et les 24h du mans, et qu’après chaque course la voiture serais expédiée par avion à midland, pour y être préparée en vue de la prochaine épreuve……
Source. Sport auto juillet 1966
Le mans….
Un règlement qui fit hérisser les cheveux des constructeurs…….
« A l’issue du déjeuner de presse des 24 heures du mans, le Président Lelièvre a annoncé quelles seraient les grandes lignes du règlement que l’ACO désirerait voir adopter par la C.S.I. pour l’an prochain : ravitaillement tout les 30 tours au minimum (soit 400 km), retour à des carrosseries à quatre vraies places utilisables « par des acheteurs sportifs, mais aussi par des utilisateurs désireux de pouvoir entrer et sortir de leur véhicule sans contorsions acrobatiques ».
Dés qu’il fut annoncé, ce projet de règlement a déclenché une levée de bouclier de la part de presque tous les constructeurs.
1967…
Source. Sport Auto 1967
Des essais devaient être entrepris avec le concours de la sécurité civile, pour équiper un hélicoptère d’extincteur(s) assez puissant et efficaces pour éteindre instantanément une voiture qui flambe.
Ainsi il patrouillerait en permanence dans le ciel, et acourrerait dés qu’un nuage de poussière révélateur signalerait un accident.
1968…..
source. sport auto septembre 1968.
Le Mans….
une histoire de poids.....
"L'un des avantages principaux de la porsche (porsche 908)est son poids très réduit.
Mais, pour l'obtenir, il a fallu rogner absolument sur tous les éléments.
Un fournisseur nous a raconté l'histoire d'un alternateur refusé parce qu'il était
50 grammes plus lourd que le cahier de charge ne le prévoyait....."
1971…..
Source. Sport auto mars 1971
Daytona …..
Heureux spectateurs de cette édition des 24 heures de Daytona 1971 !!!!
« Le spectacle n’est pourtant pas fini, les spectateurs restent assis dans les tribunes, une demi-heure plus tard ils verront une petite boule de feu s’élever au loin dans le ciel…APPOLLO 14 ».
1972…
Source. Sport auto 1972.
Le Mans
Malgré le forfait des 4 Ferrari, des 2 mirages, de l’une des 4 alfa et de la Mercedes 6,8 SEL entre autres, soixante-six voitures avaient passé le cap des vérifications de sorte que onze n’allaient pas pouvoir prendre le départ.
l’accident survenu le mercredi à la GRAC MT16 de Lionel noghés, (pilote légèrement brûlé) et plusieurs bris de moteurs permirent à d’autres de prendre le départ et diminuèrent le nombre de ceux qui allaient rester sur la touche.
Mais il faut reconnaître que l’ACO n’a pas joué le jeu en refusant de publier comme cela se fait partout ailleurs, les temps de qualifications réalisés par chaque pilote.
quelques équipages étrangers, à qui le départ avait été refusé, se demandaient de ce fait si tous les pilotes régionaux que l’on trouvait au départ avaient effectivement tourné dans les minima imposé.
La pluie survenue lors des premières heures du mercredi, la fermeture de la piste durant plus d’une heure à la suite de l’accident de la GRAC, avaient pourtant pas mal contrarié le déroulement des essais et les voitures les plus rapides n’avaient pu terminer leur mise au point suffisamment à temps pour pouvoir faire de bons chronos.
On resta très en dessous des prévisions (3’35’’) avec une pole position en 3’42’’2 pour cevert, ce qui rendit la qualification d’autant plus aisée que les organisateurs souhaitaient la fixer à 133% alors que la CSI demandait 130% (l’opération se fit si discrètement que nous ignorons toujours quel chiffre fut retenu !!!)
1973….
Source. Sebastien-2 de Motorlegend
Le Mans…..
Michel Elkoubi
En 1973, j'avais engagé l'ACE que je venais de construire.
A cette époque, une épreuve du pesage (se déroulant alors sur le circuit) consistait à faire un "8" sur la piste, entre deux rails, en poussant la voiture.
Celle-ci ne braquant pas suffisamment, Yves Martin me suggère d'élargir temporairement le train avant....en prenant les roues de sa F2!!
Le hic, c'est qu'elles dépassent de la carrosserie.....
On trouvent alors un prétexte pour présenter la voiture sans son capot et à notre grand soulagement, personne n'y trouve à redire !
Le "8" s'effectue....comme sur des roulettes !!!
Toutefois, je savais qu'il allait nous manquer à présent une vingtaine de Kg à la pesée.
Que faire ??
Idée....on a retiré une roue, foncé chez un cultivateur du coin et grâce à son appareil utilisé pour remplir d'eau les pneus de tracteur (ce qui donnait une meilleur adhérence dans les champs), on a remplacé l'air de notre pneu par de la flotte, triomphant ainsi de la pesée (et du pesage) au Kg prés !!!
Ce qu'il faut bien nommer "ces petites tricheries" ne nous ont pas porté chance : lors de la première séance d'essais, on a cassé si vite l'arbre à cames qu'on n'a pas réussis à se qualifier.
Bien mal acquis................
1976…..
Source. Forum de Motorlegend
Le Mans….
Nous sommes en 1976, les voitures Nascar sont acceptées par l'ACO.....
A cette époque, les voitures Nascar avaient (ou ont ??) des roues à 5 boulons et la réglementation Nascar obligeait de changer TOUS les boulons par des neufs à chaque changement de roues .....
Par ignorance, les américains de la Ford Torino (n°90) appliqua aussi ce règlement au Mans.........
Donc, à chaque arrêt au stand, l'énergie de la manœuvre faisait se disperser ces morceaux de métal , 20 à chaque arrêt !!! , dans les stands voisins, où il fallait soigneusement nettoyer pour ne pas tomber , ou pour les voitures voisines ...
Au début tous le monde, venaient rapporter les écrous , les américains ne comprenant rien, ils s'empressaient de les mettrent à la benne immédiatement
Et la voiture à roulé 10 heures ... à la fin, plus personne ne ramassait quoique ce soit , et des centaines de boulons abandonnés sont restés sur place ....
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