Re : John Woolfe, un livre bientôt
Bonjour à tous,
Un grand Merci à la CAN de Jane(Georges BRASSENS).
Merci pour ce livre, Merci pour la dédicace, Merci de redonner ses lettres de noblesses à ce pilote "AMATEUR".
J'avais 18 ans et la télé en noir et blanc lorsqu'une fois de plus les médias de l' époque on en fait leurs "choux gras". En ce temps là, Monsieur, on ne parlait des courses automobiles, que s'il n'y avait un accident!
A cette époque, il y avait deux sortes de pilotes, les "PROS", pilotes rémunérés par les usines ou des des teams semis-pro, et les "autres", que l'on qualifaient d'amateurs.
J.Woolfe connaissait "LE MANS" et ses difficultées, il avait piloté des engins aussi puissants, Alors, Pourquoi?
Il est vrai que ces 917 étaient "inconduisibles" aux dires des pilotes d'usine.
Alors, "Bouffée d'orgueil", peut-être?
L'on cherche, aujourd'hui, à expliquer les causes d'un accident.
Ce n'est que pour des raisons mercantiles d'assurance.
Un accident reste un accident et la fatalité reste la fatalité.
Pour en revenir au livre, je l'ai lu d'une traite et découvert plein de photos inédites et de choses.
J'en suis à la relecture.
Bien amicalement,
Joel
Bonjour à tous,
Un grand Merci à la CAN de Jane(Georges BRASSENS).
Merci pour ce livre, Merci pour la dédicace, Merci de redonner ses lettres de noblesses à ce pilote "AMATEUR".
J'avais 18 ans et la télé en noir et blanc lorsqu'une fois de plus les médias de l' époque on en fait leurs "choux gras". En ce temps là, Monsieur, on ne parlait des courses automobiles, que s'il n'y avait un accident!
A cette époque, il y avait deux sortes de pilotes, les "PROS", pilotes rémunérés par les usines ou des des teams semis-pro, et les "autres", que l'on qualifaient d'amateurs.
J.Woolfe connaissait "LE MANS" et ses difficultées, il avait piloté des engins aussi puissants, Alors, Pourquoi?
Il est vrai que ces 917 étaient "inconduisibles" aux dires des pilotes d'usine.
Alors, "Bouffée d'orgueil", peut-être?
L'on cherche, aujourd'hui, à expliquer les causes d'un accident.
Ce n'est que pour des raisons mercantiles d'assurance.
Un accident reste un accident et la fatalité reste la fatalité.
Pour en revenir au livre, je l'ai lu d'une traite et découvert plein de photos inédites et de choses.
J'en suis à la relecture.
Bien amicalement,
Joel
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