Re : John Woolfe, un livre bientôt
Je ne sais pas ce qui se passe depuis quelques jours, cher Claude, mais j'ai relevé trois phrases qui en disent long sur ton état d'esprit :
" Michel (...)ne penses tu pas que la récup systématique de tout fait te permettant de parler de John Woolfe est un peu too much. RIP #247.
" Ce que je vois ici, ce sont des gens un peu aveugles par une dévotion à un type...
" Désolé d'avoir froissé l'égo de son Altesse L'auteur... "
Pas très sympa tout çà. Nous, petites gens, on essaie de faire vivre notre sujet au gré des informations et de la doc qui nous parviennent sans chercher à faire le buzz. Et notamment cette coupure de presse Italienne envoyé par René BOZEC, où l'on voit enfin Zeccoli expliquer ce qu'il a vu.
Oui, John Woolfe a été imprudent et présomptueux. Oui il n'aurait jamais du monter en premier dans cette 917. Mais c'était sa voiture, et il pensait que sa famille était dans les tribunes, il était tellement fier d'avoir l'outil pour gagner LE MANS.
Nous essayons de mettre de l'humain, avec toutes les faiblesses qu'elles contiennent, dans cet homme qui n'a pas abdiqué.
Treutlin, son mécanicien en chef, l'avait mis en garde bien avant la course, en insistant sur le fait que çà durait 24 heures...
Il lui avait répondu : " Je serai à fond de la première à la dernière heure. " Alors que dans le même temps, il déclarait à la presse: " Je ne bougerai pas pendant les douze premières heures. "
à venir, le témoignage de Tony WARD, son mécano qui a réceptionné la 917.
Je ne sais pas ce qui se passe depuis quelques jours, cher Claude, mais j'ai relevé trois phrases qui en disent long sur ton état d'esprit :
" Michel (...)ne penses tu pas que la récup systématique de tout fait te permettant de parler de John Woolfe est un peu too much. RIP #247.
" Ce que je vois ici, ce sont des gens un peu aveugles par une dévotion à un type...
" Désolé d'avoir froissé l'égo de son Altesse L'auteur... "
Pas très sympa tout çà. Nous, petites gens, on essaie de faire vivre notre sujet au gré des informations et de la doc qui nous parviennent sans chercher à faire le buzz. Et notamment cette coupure de presse Italienne envoyé par René BOZEC, où l'on voit enfin Zeccoli expliquer ce qu'il a vu.
Oui, John Woolfe a été imprudent et présomptueux. Oui il n'aurait jamais du monter en premier dans cette 917. Mais c'était sa voiture, et il pensait que sa famille était dans les tribunes, il était tellement fier d'avoir l'outil pour gagner LE MANS.
Nous essayons de mettre de l'humain, avec toutes les faiblesses qu'elles contiennent, dans cet homme qui n'a pas abdiqué.
Treutlin, son mécanicien en chef, l'avait mis en garde bien avant la course, en insistant sur le fait que çà durait 24 heures...
Il lui avait répondu : " Je serai à fond de la première à la dernière heure. " Alors que dans le même temps, il déclarait à la presse: " Je ne bougerai pas pendant les douze premières heures. "
à venir, le témoignage de Tony WARD, son mécano qui a réceptionné la 917.
Commentaire