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Re : Les FERRARI 365/GTB4 "Daytona" aux 24 Heures
Et quel article ce quatrième scan (plutôt un appareil photo numérique); c'est à croire que le "rédacteur" était sourd d'une oreille, qu'il avait des difficultés à entendre de l'autre et vraisemblablement un strabisme dans un sens ou dans l'autre
N'accablons pas un "pigiste" détaché des chevaux écrasés. Oups, pardon ! Veuillez lire: "chiens écrasés".
Relisons ceci : Les seules concurrentes sérieuses sont la Ferrari "Daydona" et la Lamborghini "Muira" ... !
L'émotion sans doute après avoir essayé la "Bora" et d'avoir pu rouler à 272 km/h (les établissements Thépenier, situés sur les bords de Seine, n'étaient pas très éloignés de l'entrée du tunnel de Saint-Cloud vers l'autoroute) - il n'y avait pas de vitesse limitée à l'époque et en particulier après l'autoroute vers la Normandie, chez les grands propriétaires de chevaux -.
Cette très belle et très puissante Maserati Bora* ne fut jamais homologuée pour aller chercher les Ferrari 365 GTB/4 Daytona Competizione (avec ou sans coffre car celui-ci était utilisé en tant que logement du réservoir tant la dame est gourmande).
En ce qui concerne la Lamborghini "Miura**" P400: 475 ex; la P400 S: 140 ex; SV:150 ex.; quant à la "Jota" ! Pour comparaison, environ 1350 ex. de la 365 GTB/4 entre 1968 et 1973.
* "Maserati" Maurizio Tabucchi" ETAI 2005, page 278 et suivantes et page 281 calculez combien il y avait de Bora en 1973 !
** "Lamborghini" Serge Bellu, EPA 1987; "Lamborghini "MIURA" Stefano Pasini, Automobilia 1988.
H.S. en relation avec l'article de presse en 1973 ci-dessus:
Heureusement qu'il n'y a pas tant de coquilles dans les "livres", ni de fautes de doigts ou d'orthographe à contrario des ENORMES fautes tant de frappes, de conjugaison, que la dyslexie ambiante et autres déviances que l'on trouvent sur des forum !
Etre pressé et désordonné cela se traduit dans le bout des doigts, à l'instar des mêmes qui prennent du temps et de s'appliquer afin de respecter un lectorat identique ou quasi mais utilisant un pseudo différent
Et quel article ce quatrième scan (plutôt un appareil photo numérique); c'est à croire que le "rédacteur" était sourd d'une oreille, qu'il avait des difficultés à entendre de l'autre et vraisemblablement un strabisme dans un sens ou dans l'autre
N'accablons pas un "pigiste" détaché des chevaux écrasés. Oups, pardon ! Veuillez lire: "chiens écrasés".
Relisons ceci : Les seules concurrentes sérieuses sont la Ferrari "Daydona" et la Lamborghini "Muira" ... !
L'émotion sans doute après avoir essayé la "Bora" et d'avoir pu rouler à 272 km/h (les établissements Thépenier, situés sur les bords de Seine, n'étaient pas très éloignés de l'entrée du tunnel de Saint-Cloud vers l'autoroute) - il n'y avait pas de vitesse limitée à l'époque et en particulier après l'autoroute vers la Normandie, chez les grands propriétaires de chevaux -.
Cette très belle et très puissante Maserati Bora* ne fut jamais homologuée pour aller chercher les Ferrari 365 GTB/4 Daytona Competizione (avec ou sans coffre car celui-ci était utilisé en tant que logement du réservoir tant la dame est gourmande).
En ce qui concerne la Lamborghini "Miura**" P400: 475 ex; la P400 S: 140 ex; SV:150 ex.; quant à la "Jota" ! Pour comparaison, environ 1350 ex. de la 365 GTB/4 entre 1968 et 1973.
* "Maserati" Maurizio Tabucchi" ETAI 2005, page 278 et suivantes et page 281 calculez combien il y avait de Bora en 1973 !
** "Lamborghini" Serge Bellu, EPA 1987; "Lamborghini "MIURA" Stefano Pasini, Automobilia 1988.
H.S. en relation avec l'article de presse en 1973 ci-dessus:
Heureusement qu'il n'y a pas tant de coquilles dans les "livres", ni de fautes de doigts ou d'orthographe à contrario des ENORMES fautes tant de frappes, de conjugaison, que la dyslexie ambiante et autres déviances que l'on trouvent sur des forum !
Etre pressé et désordonné cela se traduit dans le bout des doigts, à l'instar des mêmes qui prennent du temps et de s'appliquer afin de respecter un lectorat identique ou quasi mais utilisant un pseudo différent
, mais quant à ses qualités de pilote,par contre.
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