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Souvenirs des Grandes Epreuves Sport & Prototypes

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  • Re : Souvenirs des Grandes Epreuves Sport & Prototypes

    Cliquez-donc là, pour voir la Targa 65 !!

    Des P2 et des 904 bien sûr, mais aussi la 904 Kangourou pour le sautillant Sportcars, l'unique GT40 GTX, la très compétition 275 GTB n°196, etc. !!
    On voit même un passage de la rare Testa Rossa de Gachnang avec son arrière haut !

    Enfin, plein d'Abarth, big Healey et Sprite roadster vert pomme !

    Plus l'ambiance ...

    AJOUT : Pour mieux suivre la course
    Dernière modification par Huhu, 18 mai 2007, 07h19.
    www.etoilespassion.com

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    • Re : Souvenirs des Grandes Epreuves Sport & Prototypes

      Envoyé par Huhu Voir le message
      (...) pour le sautillant Sportcars... Plus l'ambiance ...
      Je tiens à rassurer celles et ceux qui me connaissent que, au contraire de l'animal, je ne me sers pas d'un appendice ([SIZE="1"]prolongement anatomique, d'un organe de l'homme ou de l'animal[/SIZE]) pour prendre un appui afin de sauter.... un mur par exemple

      Merci "Huhu" de me rappeler qu'à plus de soixante balais, on ne peut pas être après avoir été

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      • Re : Souvenirs des Grandes Epreuves Sport & Prototypes

        Il est génial cet extrait de film réalisé par castrol. (je l'ai en entier 50 minutes environ)

        Et dire qu'il y a des spectateurs qui jouent aux cartes

        Le plus surprenant (je ne sais pas si elle est dans l'extrait) reste la 500 TRC (0670MDTR) de Tagliavia et Simillia.

        Les mécanos redressent la carroserie de la 250 GTO (3647GT) de Mosca et Marchesi tout comme la 250 GT Lusso de Blouin et Saueur (4965), à coup de barre à mine et de marteau.

        Vraiment un beau document.
        http://ferrari1955.labrute.fr

        L'homme a créé Dieu, l'inverse reste à prouver.

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        • Re : Souvenirs des Grandes Epreuves Sport & Prototypes

          Superbe série de photos, bravo pour les recherches et indications. a+

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          • Re : Souvenirs des Grandes Epreuves Sport & Prototypes

            LM story a ravivé en moi la mémoire des 1000 km de Paris 1961 ou 1962 ! car était présent au Mans la DB Camionnette qui était également présente à Monthlery (mais peinte en blanche).
            Il faut que je retouve des photos N&B prise par un oncle qui était à l'époque à l'école de photo.

            Mais j'ai cherché vainementla liste des engagés de l'époque et le classement d'une épreuve remportée, je crois, par les Frres Rodriguez sur une 250GT (n°5)

            Ca existe qq part sur le oueb ?
            Dernière modification par Invité, 09 juillet 2007, 14h11.

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            • Re : Souvenirs des Grandes Epreuves Sport & Prototypes

              A noter que les pilotes de cette époque en "avaient" comme on dit - la "Targa" se déroulait sur des routes sans sécurité, c'est comme a Francorchamps ou c'est toujours Pesca qui détient toujours le record du circuit de 15kms a 262 km/h de moyenne , ce qui signifie qu'il négociait le "S" de Masta entre les maisons a + de 300 km/h
              (C'est là que le pilote incarné par Yves Montant dans "Grand Prix" trouve la mort)

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              • Re : Souvenirs des Grandes Epreuves Sport & Prototypes

                Désolé , mais c'est sur l'anneau de Monza que Jean-Pierre SARTI trouve la mort ...
                L'age d'Or est derrière nous !... Faisons demi-tour ...

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                • Re : Souvenirs des Grandes Epreuves Sport & Prototypes

                  c'est vrai... Et il a aussi un accident à SPA ou des gamins trouvent la mort !

                  Pour en revenir à mes 1000 km de Paris 61, j'ai trouvé !:king:



                  Je post des photos des que j'ai pu les retrouver et les scanner ! elles sont en A4 !

                  Commentaire


                  • Re : Souvenirs des Grandes Epreuves Sport & Prototypes

                    Donc a petite DB camionette vue à LM Story 2007






                    Et la même au 1000 km de Paris 1961 mais en blanc ! Pilotée par Gérard Laureau et Paul Armagnac elle abandonnera au 58 tours sur un problème moteur.
                    copyright Mustang 66 pour les photos (mon oncle ne m'en voudra pas !)

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                    • Re : Souvenirs des Grandes Epreuves Sport & Prototypes

                      Et puisqu'ils ont gagné la course voila 3005 GT avec Pedro et Ricardo Rodriguez engagée par Luigi Chinetti ! une seule course en europe pour cette auto, mais quelle course ! (tellemen neuve qu'elle avait ses pare -chocs !)

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                      • Re : Souvenirs des Grandes Epreuves Sport & Prototypes

                        Quand tout ou presque était encore à faire... l'époque où les manufacturiers de pneumatiques se livraient une bataille féroce : Dunlop et Michelin en Europe ; Goodyear et Firestone outre Atlantique.

                        "I Coppa Velocità di Brescia" le 2 septembre 1907 (37,725 km x 8 tours, 301,80 km)
                        Alessandro Cagno sur Itala (à gauche, floue) remporte l'épreuve en 4 h 37' 36" à 65,075 km/h, et Gian-Battista Raggio sur SPA abandonne après deux tours.

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                        • Re : Souvenirs des Grandes Epreuves Sport & Prototypes

                          J'ai retrouvé cet article qui aurait être mis sur mon ancien site internet.

                          TOUR DE FRANCE AUTOMOBILE 1954
                          JEAN ESTAGER : LE CHAMPION DU FAIR PLAY


                          Les courses automobiles ont beaucoup évolué en quelques décennies. Les gentlemen drivers, ces pilotes fortunés courant uniquement pour le plaisir sur des vraies voitures de course achetées avec leurs propres deniers, n’ont plus leur place dans l’univers de sophistication à outrance que nous vivons aujourd’hui. Les intérêts financiers sont devenus tels que seul le résultat compte. Il était pourtant une époque où l’ambiance dans les courses était bien différente…

                          Jean Estager, né en 1919, est l’un de ces pilotes qui disposent de suffisamment de moyens, sans volonté de bâtir un palmarès marquant les annales. Pur amateur, sociétaire de l’écurie Auvergne, il débute sa carrière en participant à diverses épreuves régionales. Ami intime de Louis Rosier, le grand champion auvergnat n’hésite pas à lui prêter sa Talbot T150C (châssis 82930) que le pilote amateur engage à ses frais dans quelques épreuves en 1949 et 1950 (GP du Salon, coupes de l’USA, 12 Heures de Paris sur le circuit de Montlhéry, GP de Rouen). Aux 24 Heures du Mans 1950, alors que Rosier entre dans la légende en gagnant seul, il est le coéquipier d’Henri Louveau sur une Delage et finit au 7e rang. Mais, il est avant tout un excellent pilote de rallies et il obtient de nombreux classements flatteurs avec ses amis de l’écurie Auvergne, Maurice Michy et Michel Collange sur diverses montures (Denzel, Simca).
                          Il devient, dès 1951, l’un des fidèles participants du Tour de France automobile. Cette année-là, Jean Boussignac fait appel à lui pour le seconder au volant de sa Porsche 356 1100cc. Partis en reconnaissance de Clermont vers les cols pyrénéens, Estager (Nounours pour les copains) s’étonne des têtes à queue répétés de son coéquipier. Quand ce dernier lui laisse le volant, Estager, dès les premiers virages, peut juger par lui-même de la difficulté à maintenir le bon cap avec la Porsche. Très mal équilibrée avec son moteur en porte à faux, l’arrière a une fâcheuse tendance à passer devant dès que le pilote attaque un peu ! L’équipe auvergnate termine le Tour, loin, en 21e position.
                          L’année suivante, les deux compères sont engagés sur une berlinette Siata à moteur Fiat V8. La voiture, qui appartient à Jean Boussignac, se montre malheureusement plus belle qu’efficace. L’aventure se termine en Bretagne à cause d’une stupide panne d’allumage. Pourtant, le propriétaire avait bien établi une liste de pièces à embarquer lors de la révision de la Siata à l’usine, en prévoyant notamment deux têtes d’allumeur car le moteur présentait une faiblesse chronique de ce côté. Mais ces éléments n’étaient pas disponibles ce dont ne s’étaient pas vanté les Italiens ! Rapatriée tout juste pour le départ à Nice (Boussignac et Proto, le mécanicien de Jean Estager sont tellement pressés qu’ils passent la frontière sans s’arrêter et, après avoir été interceptés par les policiers, il faudra l’intervention de la direction de course pour éviter la fourrière !), les deux hommes n’ont pas le temps de vérifier le contenu de la caisse de pièces placée dans le coffre de la Siata et ils sont contraints à l’abandon du côté de Saint Meen le Grand.

                          Une véritable bête de course :

                          Depuis début 1952, Estager a débauché un mécanicien de l’équipe Rosier, Jean Proto. Motard émérite (il participe à de nombreuses épreuves dont 2 Bol d’Or au guidon de BMW attelées en 1949 et 1950), Proto est suffisamment compétent pour assister Marcel Bauchet, le célèbre mécanicien de Louis Rosier, dans le stand de la Talbot victorieuse au Mans en 1950. Il se souvient notamment de la rampe de culbuteurs d’occasion précautionneusement placée à bord de la T26GS avant la course pour parer à toute éventualité, les vis de réglage ayant une fâcheuse tendance à foirer à l’usage. Ce témoignage fait taire ainsi toutes les élucubrations échafaudées sur la présence ou non à bord de la voiture de la rampe changée au petit matin.
                          Proto veille aussi sur les monoplaces T26C sur tous les circuits d’Europe jusqu’à son départ chez Estager.
                          Ce dernier franchit un nouveau cap en s’offrant une Maserati A6GCS en 1954. Début mai, Nounours reçoit le feu vert de l’usine : la voiture est enfin prête. Il envoie donc Jean Proto à Modène avec le Berliet pour ramener l’A6GCS, non sans avoir préalablement réglé le solde de la facture qui s’élève tout de même à 3 millions. A son arrivée, Proto a la désagréable surprise de s’apercevoir que la voiture est encore en cours de montage. Seule la carrosserie fabriquée chez Fantuzzi est terminée alors que deux autres A6GCS attendent leurs propriétaires, un coupé bleu et un spider rouge, ce dernier destiné à Monneret.
                          Jean Proto prend des instructions auprès de son patron, lequel lui indique que le mieux est de rester sur place et de participer au montage de la voiture afin d’apprendre à mieux la connaître. Le moteur double arbre (76x72, 1985cc, 170ch à 7300tr/mn) n’aura désormais plus de secrets pour le mécanicien, notamment au niveau de la distribution, particulièrement délicate à caler.
                          La voiture (châssis 2071, immatriculé BO 34934) est enfin terminée. Après une séance de rodage sur l’autodrome de Modène, le moteur est déculassé pour vérifications puis remonté. Enfin opérationnelle, Proto convoie la Maserati bleue directement à Planfloy où Nounours l’attend pour participer à la course de côte.
                          Avant le départ du Tour de France, Estager participe encore à deux épreuves sur circuit (Amiens le 20 juin où il termine 3e et Bressuire le 27 où il abandonne).

                          Le champion du fair play.

                          Au départ du Tour Auto, personne ne mise un centime sur le retour à Nice de la Maserati n°120, curieusement engagée en GT de série, après plus de 5000 km, une boucle un peu longue pour une véritable voiture de course.
                          Et pourtant, malgré d’incessants changements de bougies et de gros soucis d’embrayage que Proto résout en aspergeant le disque avec le contenu d’un extincteur, vidé par la trappe de visite (les carters sont plombés, interdisant un simple échange), la Maserati se retrouve au départ de l’ultime épreuve organisée sur le circuit dessiné sur la Promenade des Anglais à Nice. Les deux hommes ont supporté l’inconfort de la barquette et dormi seulement quelques heures sans quitter l’habitacle exigu de la barquette, ils sont épuisés mais le contrat est rempli. Sauf abandon lors de la dernière épreuve, la Maserati ne peut plus être battue dans sa catégorie.
                          Sur le circuit de Nice, Gendebien, au volant de son Alfa Romeo 1900SS, véritable voiture de Grand Tourisme celle-là, parvient à rester devant la Maserati. Littéralement en état de grâce, le pilote belge distance Estager dans les parties sinueuses en assurant un spectacle grandiose, basé sur d’impressionnants dérapages des 4 roues magistralement contrôlés mais la rapide Maserati refait invariablement son retard dans les bouts droits.
                          Les spectateurs soutiennent chaleureusement le pilote de l’Alfa mais, malheureusement, à quelques tours de l’arrivée, gêné par un autre concurrent, Gendebien va à la faute, tape durement un trottoir et fausse une roue.
                          Plus question dans ces conditions de se maintenir devant l’A6GCS, aussi Gendebien fait-il signe à Estager de passer. Curieusement, la Maserati se place derrière l’Alfa et s’y maintient. Le Belge renouvelle ses signes mais Estager lui fait comprendre qu’il ne doublera pas.
                          Après l’arrivée, Gendebien se précipite vers le pilote auvergnat et lui demande pourquoi il n’est pas passé alors qu’il le ralentissait depuis l’incident. « Tu faisais une course magnifique et j’ai bien vu l’erreur du concurrent qui t’a gêné. Tu méritais tellement la victoire que j’ai préféré te laisser gagner »
                          A l’arrivée du Tour 1954, la Maserati d’Estager-Proto est classée 6e au général et 1ère de sa catégorie devant l’Alfa de Gendebien-Stasse.

                          En 1955, la Maserati fait place à une Ferrari 750 Monza (châssis 0526M) puis Estager achète une 250GT Boano (0443GT). Il gagne le Rallye de l’Acropole et poursuit sa carrière jusqu’au début des années soixante.
                          Le nom de Jean Estager est quelque peu oublié aujourd’hui. Pourtant, il mérite bien de passer à la postérité pour rappeler aux plus jeunes générations que la course automobile est avant tout un sport et que les pilotes doivent rester des êtres humains encore capables de tels gestes chevaleresques.
                          Dernière modification par Tool-43, 14 juillet 2007, 13h02. Motif: Grosse grosse faute d'orthographe
                          http://ferrari1955.labrute.fr

                          L'homme a créé Dieu, l'inverse reste à prouver.

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                          • Re : Souvenirs des Grandes Epreuves Sport & Prototypes

                            Petite épreuve mais rare : le GP de Monaco ! En Sport !



                            Regardons bien le départ, car tous n'arriveront pas ...


                            [SIZE="1"]photo Didier Moreau dans Ferrari Sport et Prototypes d'A.Prunet[/SIZE]
                            J'aide un peu à les reconnaitre : devant nous, la Ferrari n°96 4,1 L un peu tarabiscotée de Marzotto. En 2° ligne la barquette claire Gordini n°56 de Manzon.

                            Comme souvent, pépin à Ste Dévote : huile sur la piste !








                            [SIZE="1"]photo-reportage de L'Automobile n°80 - juillet 1952.[/SIZE]

                            Les légendes racontent bien la scène, pilotes et voitures - hormis Sterling Mooss - et la dernière photo montre bien l'endroit et la pauvre Aston ...

                            J'allais oublier !
                            Vittorio Marzotto gagna les 100 tours et 314 km en 3h21.

                            On demande dans l'immédiat : carrossiers !
                            Pour la suite : commissaires de piste avé drapeau !

                            On sait aujourd'hui les remarquables services des commissaires de Monaco depuis des années.
                            www.etoilespassion.com

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                            • Re : Souvenirs des Grandes Epreuves Sport & Prototypes

                              La suite... la suite ... la suite ...

                              Vue du sol Reg Parnell, de face avec le casque et les "goggles", n'a pas encore "paumé" sa pompe gauche.



                              Quelques instants plus tard vue du haut du parapet



                              C'est la guigne sur le port à Monaco; déjà en 1950......

                              Clichés extraits du Tome 1 du quadruple volume "Grand Prix Automobile de Monaco"
                              Dernière modification par Invité, 14 juillet 2007, 18h58. Motif: ajout de la source

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                              • Re : Souvenirs des Grandes Epreuves Sport & Prototypes

                                Merci des ces vues, c'est une des rares occasion de voir la DB 3 ! Dix exemplaires coururent durant 2 ans, ou au moins essayèrent car de grosses faiblesses de transmission les faisaient plus souvent abandonner ...

                                Hormis une notable victoire aux 9 heures de Goodwood 52 avec Collins et Griffith.
                                www.etoilespassion.com

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