Re : Made in France, Delocalisations...
LES FUSILS DE L'ARMEE FRANCAISE BIENTOT ETRANGERS
Rappelant le sacrifice de nos soldats armés de leurs fusils Lebel, ne soyez pas le ministre de la Défense qui, pour la première fois de notre histoire, prendrait la décision d'équiper nos fantassins d'un fusil étranger", avait pour sa part interpelé au printemps 2014 le député Philippe Meunier (Les Républicains). Jean-Yves Le Drian avait répondu : "Conformément à la réglementation, nous avons dû lancer un appel d'offres européen, puisque, avec les nouveaux dispositifs, nous y sommes tenus. Les entreprises françaises capables de produire directement ce type d'armement il y a une quinzaine d'années ne le font plus ou ont été fermées ; je pense à la manufacture d'armes de Saint-Étienne et à l'atelier munitionnaire du Mans de GIAT-Industries. Il n'y a plus en France ce type d'activités".
Le patron de Manurhin, Rémy Thannberger, dans un entretien accordé en février dernier au quotidien "L'Alsace", avait pour sa part estimé que la France "dépendait de l'étranger. Cette situation suscite de plus en plus d'inquiétudes et de débats dans les milieux autorisés. Et ce qui n'était plus considéré comme stratégique hier pourrait bien le redevenir".
LES FUSILS DE L'ARMEE FRANCAISE BIENTOT ETRANGERS
Rappelant le sacrifice de nos soldats armés de leurs fusils Lebel, ne soyez pas le ministre de la Défense qui, pour la première fois de notre histoire, prendrait la décision d'équiper nos fantassins d'un fusil étranger", avait pour sa part interpelé au printemps 2014 le député Philippe Meunier (Les Républicains). Jean-Yves Le Drian avait répondu : "Conformément à la réglementation, nous avons dû lancer un appel d'offres européen, puisque, avec les nouveaux dispositifs, nous y sommes tenus. Les entreprises françaises capables de produire directement ce type d'armement il y a une quinzaine d'années ne le font plus ou ont été fermées ; je pense à la manufacture d'armes de Saint-Étienne et à l'atelier munitionnaire du Mans de GIAT-Industries. Il n'y a plus en France ce type d'activités".
Le patron de Manurhin, Rémy Thannberger, dans un entretien accordé en février dernier au quotidien "L'Alsace", avait pour sa part estimé que la France "dépendait de l'étranger. Cette situation suscite de plus en plus d'inquiétudes et de débats dans les milieux autorisés. Et ce qui n'était plus considéré comme stratégique hier pourrait bien le redevenir".
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