PARIS (AFP) - Deuxième nuit d'affilée avec un ralentissement pour Géronimo d'Oliver de Kersauson, qui tente de battre le record du tour du monde à la voile en équipage, cette fois il s'est agit ni plus ni moins d'un calamar géant et cela s'est passé dans l'Atlantique à la latitude de Gibraltar, a indiqué, lundi, le skipper du trimaran géant dans une liaison satellitaire.
"J'étais à la barre, j'ai senti des vibrations anormales. C'était trop fort. Nous avons ralenti le bateau. On ne voyait pas bien ce que c'était. On a affalé les voiles, on a sorti les torches, on ne voyait rien, a dit le skipper. Didier Ragault (un des deux seconds) est descendu dans l'habitacle pour chercher à comprendre de l'intérieur ce qui se passait. D'un seul coup il a vu quelque chose qui bougeait. C'étaient des tentacules."
"Ca tirait super-fort. On a fait de l'eau vers le roulement, a poursuivi Olivier de Kersauson. Quand nous nous sommes arrêtés, les tentacules se sont décrochées. On l'a vu à l'arrière du bateau, il était énorme. Cela fait quarante ans que je navigue, je n'avais jamais vu ça. J'en ai entendu parler. Tous les marins ont entendu ce genre d'histoires. Du temps où je naviguais avec Eric Tabarly et Alain Colas on en parlait et on se disait qu'il devait falloir y aller à coup de hache."
"Lorsque je suis descendu, a de son côté expliqué Didier Ragault, j'ai vu une tentacule par le hublot de l'avant. Elle était plus grosse que la section de mon bras avec le ciré. Je me suis dit que ce devait être énorme. J'ai de suite pensé aux dégâts que cela pouvait causer. Ensuite une fois remonté et lorsqu'il s'est décroché et que je l'ai vu à l'arrière, il devait faire 7, 8 ou 9 mètres. Je n'en avais jamais vu un."
"J'étais à la barre, j'ai senti des vibrations anormales. C'était trop fort. Nous avons ralenti le bateau. On ne voyait pas bien ce que c'était. On a affalé les voiles, on a sorti les torches, on ne voyait rien, a dit le skipper. Didier Ragault (un des deux seconds) est descendu dans l'habitacle pour chercher à comprendre de l'intérieur ce qui se passait. D'un seul coup il a vu quelque chose qui bougeait. C'étaient des tentacules."
"Ca tirait super-fort. On a fait de l'eau vers le roulement, a poursuivi Olivier de Kersauson. Quand nous nous sommes arrêtés, les tentacules se sont décrochées. On l'a vu à l'arrière du bateau, il était énorme. Cela fait quarante ans que je navigue, je n'avais jamais vu ça. J'en ai entendu parler. Tous les marins ont entendu ce genre d'histoires. Du temps où je naviguais avec Eric Tabarly et Alain Colas on en parlait et on se disait qu'il devait falloir y aller à coup de hache."
"Lorsque je suis descendu, a de son côté expliqué Didier Ragault, j'ai vu une tentacule par le hublot de l'avant. Elle était plus grosse que la section de mon bras avec le ciré. Je me suis dit que ce devait être énorme. J'ai de suite pensé aux dégâts que cela pouvait causer. Ensuite une fois remonté et lorsqu'il s'est décroché et que je l'ai vu à l'arrière, il devait faire 7, 8 ou 9 mètres. Je n'en avais jamais vu un."
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