L'intitulé du sujet est certes ambitieux, mais il faut bien commencer petitement une rubrique qui ne demandera qu'à s'étoffer.
Sachez donc, chers amis, que notre nurserie a été cette semaine à deux doigts d'accueillir une nouvelle pensionnaire: une W 186 IV, encore appellée 300c:
L'époque des tempêtes d'équinoxe etait donc à peine passée qu'un ouragan à faire voler en éclats l'échelle de Beaufort a ravagé mon pauvre crâne. Cette auto, dont les photographies ici exposées masquent tant bien que mal le besoin indispensable d'une rénovation de fond en comble, allait-elle devenir un objet d'extase, ou le vecteur d'un cauchemar long et pénible ?
Incapable d'arrêter un avis, j'ai donc consulté les augures, amateurs distingués et professionnels; les avis des Docteurs de la Foi se sont, comme il est d'usage, avérés divergents.
J'ai, au terme d'une recherche un peu plus poussée et en désespoir de cause, renoncé pour deux raisons:
- la quasi-certitude d'avoir devant moi un budget abyssal et deux ans de tortures,
- l'impression désagréable d'avoir été mené en bateau putôt qu'en limousine.
J'étais donc libéré et content de moi, lorsque j'ai eu l'idée de regarder ce soir le film de Billy Wilder, un,deux,trois dont nous régalait Arte (qui, et c'est bien dommage semble abandonner de plus en plus la V.O.); que n'avais-je pas fait là ! La véritable héroïne de ce film est une..............300d, d'un beau noir statutaire, quasi-identique à la couleur et l'injection près au récent objet de mes désirs.......la scène de la poursuite de la 300d par une Volga des années 58/60, copie d'une Nash de 1937 est véritablement impayable....
J'ai senti ce soir là en ma chair s'appliquer comme jamais l'expression "retourner le couteau dans la plaie" :king:
Sachez donc, chers amis, que notre nurserie a été cette semaine à deux doigts d'accueillir une nouvelle pensionnaire: une W 186 IV, encore appellée 300c:
L'époque des tempêtes d'équinoxe etait donc à peine passée qu'un ouragan à faire voler en éclats l'échelle de Beaufort a ravagé mon pauvre crâne. Cette auto, dont les photographies ici exposées masquent tant bien que mal le besoin indispensable d'une rénovation de fond en comble, allait-elle devenir un objet d'extase, ou le vecteur d'un cauchemar long et pénible ?
Incapable d'arrêter un avis, j'ai donc consulté les augures, amateurs distingués et professionnels; les avis des Docteurs de la Foi se sont, comme il est d'usage, avérés divergents.
J'ai, au terme d'une recherche un peu plus poussée et en désespoir de cause, renoncé pour deux raisons:
- la quasi-certitude d'avoir devant moi un budget abyssal et deux ans de tortures,
- l'impression désagréable d'avoir été mené en bateau putôt qu'en limousine.
J'étais donc libéré et content de moi, lorsque j'ai eu l'idée de regarder ce soir le film de Billy Wilder, un,deux,trois dont nous régalait Arte (qui, et c'est bien dommage semble abandonner de plus en plus la V.O.); que n'avais-je pas fait là ! La véritable héroïne de ce film est une..............300d, d'un beau noir statutaire, quasi-identique à la couleur et l'injection près au récent objet de mes désirs.......la scène de la poursuite de la 300d par une Volga des années 58/60, copie d'une Nash de 1937 est véritablement impayable....
J'ai senti ce soir là en ma chair s'appliquer comme jamais l'expression "retourner le couteau dans la plaie" :king:
Commentaire