Motorlegend vient de mettre en ligne un reportage sur la participation de l'Auto Union Monza à Le Mans Classic 2002.
Fort heureusement, Le Mans Classic n'était pas réservé aux voitures de prestige, aux cadors des circuits, aux douze cylindres Ferrari ou Porsche 917 synonymes de centaines de chevaux et de millions de dollars sur le marché de la voiture de collection. Tout au long de leur histoire, les 24 Heures du Mans ont vu s'affronter des machines de cylindrées modestes, auxquelles les marques françaises ont d'ailleurs beaucoup contribué dans les décennies de l'après-guerre.
Il nous a paru intéressant de donner un coup de projecteur à l'une de ces machines aux performances modestes, qui, pour autant, ont apporté leur contribution à la gloire des 24 Heures. Et nous avons choisi une voiture méconnue en France, l'Auto Union Monza, une sympathique petite voiture, par ailleurs très performante eu égard à sa cylindrée...
Fort heureusement, Le Mans Classic n'était pas réservé aux voitures de prestige, aux cadors des circuits, aux douze cylindres Ferrari ou Porsche 917 synonymes de centaines de chevaux et de millions de dollars sur le marché de la voiture de collection. Tout au long de leur histoire, les 24 Heures du Mans ont vu s'affronter des machines de cylindrées modestes, auxquelles les marques françaises ont d'ailleurs beaucoup contribué dans les décennies de l'après-guerre.
Il nous a paru intéressant de donner un coup de projecteur à l'une de ces machines aux performances modestes, qui, pour autant, ont apporté leur contribution à la gloire des 24 Heures. Et nous avons choisi une voiture méconnue en France, l'Auto Union Monza, une sympathique petite voiture, par ailleurs très performante eu égard à sa cylindrée...