Re : La F1 sur Canal +
Mais mes amis, il faut payer partout. Voici la réflexion de Trulli sur l'évolution de cette discipline. Cela rejoint ce que je pense du "talent de certains".
Jarno Trulli, Felipe Massa, Martin Whitmarsh, ces figures de la F1 avouent aujourd’hui leur malaise devant la recrudescence des pilotes payants. Le 17 mars prochain en Australie, cinq petits nouveaux seront sur la grille de départ de la saison 2013 – tous tirés des formules de promotion et soutenus par de riches sponsors.
Il y a deux ans, l’expérimenté Jarno Trulli devait renoncer à vivre la mutation du team Lotus Racing en Caterham, coiffé au poteau par le Russe Vitaly Petrov et ses pétrodollars. Aujourd’hui, l’Italien jette donc un regard amer sur l’évolution de la F1, et cette recrudescence des pilotes payants qui au début des années 2000 avaient quasiment déserté les paddocks. "Avant, la plupart des pilotes qui arrivaient jusqu'en F1 y parvenaient grâce à leur coup de volant. Ce n'est plus ce que je vois. La F1 n'est plus que de la location de voitures de luxe, s’indigne-t-il, relayé par la RTBF. Désormais, la plupart des pilotes payent pour courir, et payer pour courir, c'est une mauvaise tendance. Je suis triste pour les jeunes pilotes car il y en a énormément qui ont du talent mais qui n'ont pas de soutien financier."
Mais mes amis, il faut payer partout. Voici la réflexion de Trulli sur l'évolution de cette discipline. Cela rejoint ce que je pense du "talent de certains".
Jarno Trulli, Felipe Massa, Martin Whitmarsh, ces figures de la F1 avouent aujourd’hui leur malaise devant la recrudescence des pilotes payants. Le 17 mars prochain en Australie, cinq petits nouveaux seront sur la grille de départ de la saison 2013 – tous tirés des formules de promotion et soutenus par de riches sponsors.
Il y a deux ans, l’expérimenté Jarno Trulli devait renoncer à vivre la mutation du team Lotus Racing en Caterham, coiffé au poteau par le Russe Vitaly Petrov et ses pétrodollars. Aujourd’hui, l’Italien jette donc un regard amer sur l’évolution de la F1, et cette recrudescence des pilotes payants qui au début des années 2000 avaient quasiment déserté les paddocks. "Avant, la plupart des pilotes qui arrivaient jusqu'en F1 y parvenaient grâce à leur coup de volant. Ce n'est plus ce que je vois. La F1 n'est plus que de la location de voitures de luxe, s’indigne-t-il, relayé par la RTBF. Désormais, la plupart des pilotes payent pour courir, et payer pour courir, c'est une mauvaise tendance. Je suis triste pour les jeunes pilotes car il y en a énormément qui ont du talent mais qui n'ont pas de soutien financier."
Commentaire