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Emmanuel "Toulo" de Graffenried n'est plus.

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  • Emmanuel "Toulo" de Graffenried n'est plus.

    La Suisse perd un second pilote emblèmatique en quelques semaines.

    Le derniers des participants du premier GP du nouveau Championnat du Monde des Conducteurs est décédé.

    Lire ici et

    Il y eut Joseph "jo" "Seppi" Siffert, Gianclaudio "Clay" Regazzoni et dernièrement "Le Baron" Toulo de Graffenried.

    Lire réactions et notes sur le Forum général : Toulo de Graffenried nous quitte
    Dernière modification par Invité, 24 janvier 2007, 22h37. Motif: rappel annonce et modif erreur

  • #2
    Re : Emmanuel "Toulo" de Graffenried n'est plus.

    Si je puis me permettre, Gianclaudio Regazzoni et non Juanclaudio Regazonni.

    D'après Léo, le fils de "Toulo", la mort de Clay Regazzoni n'est peut-être pas complétement étrangère à celle de son père, si fort fut le choc. "Toulo" ne pouvait accepter qu'un pilote meurt dans un accident de la route.

    Et voici l'hommage de Jean-Claude Schertenleib publié dans Le Matin du 22 janvier dernier :

    J'étais fier de pouvoir vous appeler par votre surnom, «Toulo». Je ressortais de chacune de nos rencontres l'esprit envahi d'images de paix, de bonheur, de passion. Parce que, «Toulo», vous étiez un noble. Parce que, «Toulo», votre bonté naturelle, cette classe qui n'est que l'apanage des seigneurs, irradiaient.

    Vous aviez été, jusqu'au coeur des années cinquante, l'un de ces chevaliers qui, alors, formaient une famille unie: la formule 1. Des liens étroits vous rassemblaient, un respect absolu vous animait. Parce que, en ce temps-là, en ces temps glorieux, la mort, toujours terrible, se rappelait à vous chaque week-end de course. C'est d'ailleurs elle, en 1954, qui vous avait décidé de raccrocher votre casque, peu après le terrible accident de votre chef d'écurie, Enrico Platé, fauché et tué sur le coup par une voiture en perdition, devant les stands du circuit de Buenos Aires.

    La mort, «Toulo». Toujours cruelle pour ceux qui restent, parfois apaisante pour ceux qui s'en vont. Elle est venue samedi matin dernier et, dans un ultime effort, vous ne l'avez acceptée qu'après avoir compris que Léo, votre fils, était à vos côtés.

    Vous êtes parti, «Toulo». Mais vous serez toujours là pour ceux qui vous ont aimé. Bon repos, Baron.
    Il m'importe peu d'être le meilleur, mais beaucoup de donner le meilleur de moi-même (Dominique Perret)

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