</font><blockquote>citation:</font><hr /> Paris a connu sa première 'flash mob'
Jeudi soir s'est tenue la première 'flash mob' parisienne, rassemblement impromptu et volontairement absurde d'inconnus contactés par mail.
A l'heure où il se vide, le hall d'accueil du musée du Louvre, sous la pyramide de verre, s'est rempli jeudi soir d'une petite centaine de personnes arrivées progressivement, par petits groupes.
Elles ont d'abord vaqué, dispersées, parmi les quelques touristes qui restaient. Puis, soudainement, se sont toutes mises à marcher plus vite, téléphone contre l'oreille. 30 secondes plus tard, elles sont restées figées, puis se sont toutes écroulées sur le marbre avant de se relever et d'applaudir à tout rompre un point invisible au dessus de leurs têtes. 30 secondes plus tard, tous étaient partis. Ne restaient dans le hall du Louvre que le personnel de la sécurité du musée, encore un brin interloqué, et quelques petits groupes épars. Paris avait connu sa première foule éclair, ou "flash mob". Une espèce de happening dénué de sens organisé entre inconnus grâce aux mails, téléphones mobiles, blogs et autres moyens de communication modernes.
La préparation et la mise en place de cet événement absurde a duré quelques semaines, le tout dans le plus grand secret. Un site laconique sur lequel les participants pouvaient s'inscrire, sans en savoir plus : impossible de connaître l'identité de ses organisateurs, ou de savoir où la flash mob aurait lieu avant le jour même. Jeudi après-midi, les inscrits recevaient un mail leur donnant rendez-vous dans un point précis de la capitale, à une heure précise réglée sur l'horloge parlante. Là, un homme distribuait un bout de papier sur lequel se trouvaient les instructions, très précises. Beaucoup de temps et de méticulosité pour un événement dépourvu de sens, fait pour le seul plaisir d'être fait, et d'une brièveté déconcertante. L'ensemble de l'événement aura duré trois minutes, trois minutes qui sont passées comme trois secondes, étourdissantes.
Alors que les organisateurs revendiquaient plus d'un millier d'inscrits, il n'y a avait qu'une centaine de personnes à la flash mob. Mais d'autres devraient suivre, attirant sans doute plus de monde.
</font>[/QUOTE]Je trouve le truc un peu con mais marrant.
Ca fait avancer le schmilblick
Jeudi soir s'est tenue la première 'flash mob' parisienne, rassemblement impromptu et volontairement absurde d'inconnus contactés par mail.
A l'heure où il se vide, le hall d'accueil du musée du Louvre, sous la pyramide de verre, s'est rempli jeudi soir d'une petite centaine de personnes arrivées progressivement, par petits groupes.
Elles ont d'abord vaqué, dispersées, parmi les quelques touristes qui restaient. Puis, soudainement, se sont toutes mises à marcher plus vite, téléphone contre l'oreille. 30 secondes plus tard, elles sont restées figées, puis se sont toutes écroulées sur le marbre avant de se relever et d'applaudir à tout rompre un point invisible au dessus de leurs têtes. 30 secondes plus tard, tous étaient partis. Ne restaient dans le hall du Louvre que le personnel de la sécurité du musée, encore un brin interloqué, et quelques petits groupes épars. Paris avait connu sa première foule éclair, ou "flash mob". Une espèce de happening dénué de sens organisé entre inconnus grâce aux mails, téléphones mobiles, blogs et autres moyens de communication modernes.
La préparation et la mise en place de cet événement absurde a duré quelques semaines, le tout dans le plus grand secret. Un site laconique sur lequel les participants pouvaient s'inscrire, sans en savoir plus : impossible de connaître l'identité de ses organisateurs, ou de savoir où la flash mob aurait lieu avant le jour même. Jeudi après-midi, les inscrits recevaient un mail leur donnant rendez-vous dans un point précis de la capitale, à une heure précise réglée sur l'horloge parlante. Là, un homme distribuait un bout de papier sur lequel se trouvaient les instructions, très précises. Beaucoup de temps et de méticulosité pour un événement dépourvu de sens, fait pour le seul plaisir d'être fait, et d'une brièveté déconcertante. L'ensemble de l'événement aura duré trois minutes, trois minutes qui sont passées comme trois secondes, étourdissantes.
Alors que les organisateurs revendiquaient plus d'un millier d'inscrits, il n'y a avait qu'une centaine de personnes à la flash mob. Mais d'autres devraient suivre, attirant sans doute plus de monde.
</font>[/QUOTE]Je trouve le truc un peu con mais marrant.
Ca fait avancer le schmilblick
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