Muscle-cars, pony-cars et super-cars made in USA, qu' en pensez-vous?

[Invité]

J'ai fait ce montage pour les enfants du propriétaire Toulousain de cette Camaro.

Sympa, non ?

[AlexS]

</font><blockquote>citation:</font><hr />Débat lancé par &lt;fvcad&gt;:
Les corvettes sont considérées comme des Sport-cars et non comme des muscles cars.

Les mustangs et Camaros sont des Pony Cars

Les GTOs, Chevelles, Cuda, charger... sont des muscle cars.

POURQUOI ???? Je ne sais pas, elles ont souvent les même moteurs et finitions.
</font>[/QUOTE]Tu as vu ca ou cette classification ?
je connais ces 3 termes mais ne sais pas vraiment a quoi les appliquer...
Tu dois avoir raison. [img]graemlins/thumb.gif[/img]

[rockindé]

mode Dieun
J' ai modifié le titre du sujet afin qu' il ne soit plus réducteur en terme de voiture sportive made in USA...et surtout afin d' éviter l' ouverture d' autres sujets identiques...mégalo moi? [img]graemlins/buck.gif[/img] non...
mode Dieuff
[img]graemlins/jesors.gif[/img]

Un truc pour être hip cet été:
la chemise hawaaien pony-cars



ou corvette:



http://www.hawaiianshirtsonline.com/Cars.htm

[rockindé]

J' ai trouvé une image d' un concept de Mustang fort sympathique, à mon goût...
200X Mustang 350GT concepts



http://www.pipeline.com/~sweigel/concepts/mustang1.htm

Bonus:
200X Mustang BOSS concepts



PS:le concept est sympathique mais la réalisation à chier!!

[size="1"][ 04. octobre 2003, 22:42: Message édité par : rockindé ][/size]

[Emerson]

J'aime mieux celle qui roule en Prototype Daytona

[rockindé]

</font><blockquote>citation:</font><hr />Débat lancé par Image-Auto:
J'ai fait ce montage pour les enfants du propriétaire Toulousain de cette Camaro.

Sympa, non ? </font>[/QUOTE]Même si je n' aime pas cette génération de Camaro.Le montage est top [img]graemlins/thumb.gif[/img]
Tu vas te lancer dans la production de wallpapers?

[Invité]

J'aime bien la chemise !! [img]graemlins/thumb.gif[/img]

[Invité]

</font><blockquote>citation:</font><hr /> Débat lancé par AlexS
Tu as vu ca ou cette classification ?
je connais ces 3 termes mais ne sais pas vraiment a quoi les appliquer...
Tu dois avoir raison. [img]graemlins/thumb.gif[/img] </font>[/QUOTE]Je ne connais pas de régles, J'ai apris à classer certaines voitures a force de trainer dans le milieu ou dans des revues.

[size="1"][ 06. octobre 2003, 20:26: Message édité par : Dule ][/size]

[rockindé]

La Pontiac GTO, le retour!


Une Corvette familiale
 
Pour 33 000 dollars à peine, Pontiac lance un coupé aux performances inouïes. Son secret? Derrière sa calandre rugit le V8 5,7 litres de la Chevrolet Corvette. Après 30 ans d’absence, voici le retour de la GTO.
Bernard Geenen

La Pontiac GTO, le retour!

GTO. La simple évocation de ces trois lettres fait frémir de plaisir quiconque a bien connu cette voiture ancrée dans la mémoire collective au même titre que d’autres mythiques sportives. Il n’est donc pas étonnant de voir le nom ressuscité comme le seront à n’en pas douter ceux de la Camaro et de la Firebird, abandonnées sans gloire il y a 2 ans.
Des qualités intérieures
Il est surprenant par contre de constater qu’elle n’est plus une pure «red, white and blue» mais qu’elle a adopté la nationalité australienne. Conçue et construite à Melbourne sur la base de la Commodore VY, elle se prétend malgré tout digne héritière du modèle original. Autre surprise pour qui connaît un tant soit peu Pontiac: l’absence totale d’artifices esthétiques d’un goût douteux, aileron arrière mis à part car ce dernier est parfaitement fonctionnel. La division sport de GM a fait preuve de retenue de bon aloi et n’a donc pas altéré la fluidité des lignes de la cousine du grand Sud.
L’observation vaut aussi pour l’habitacle sobre – sans toutefois être triste – et fonctionnel. Les petites attentions sympathiques n’y manquent pas, à commencer par les 4 cadrans et les coutures du volant et du soufflet du levier de vitesses qui reprennent la couleur de la carrosserie. Certaines tonalités – c’était le cas pour notre GTO bleu cobalt – poussent le raffinement jusqu’à proposer une couleur de sièges identique. Des fauteuils excellents, soit dit en passant, anatomiques, moelleux et généreux dans le maintien latéral. Comme le veut la tradition, le dossier est enrichi d’une broderie des 3 lettres magiques. Autres petites touches: les pédales en aluminium serti de petits caoutchoucs antidérapants et le bouton de commande électrique d’avance ou de recul du siège situé juste sous le levier latéral du dossier. Il permet de ne pas devoir se baisser pour laisser les passagers prendre place à l’arrière. Un mécanisme pratique mais hélas très lent. A l’arrière, on trouve deux sièges distincts, en forme de baquets eux aussi. Si leur accès requiert une souplesse certaine, ils offrent par contre un bon niveau de confort, même pour des adultes, à condition qu’ils ne dépassent pas 180 cm, sans quoi leur crâne lustrera le ciel de toit. Grâce aux multiples mises au point des sièges et au double réglage (hauteur/profondeur) du volant, la position de trajet est idéale sauf après quelques heures de conduite où on cherche naturellement et désespérément un repose-pied. Le tableau de bord se passe de jauges de température et de pression d’huile... inacceptable sur une telle sportive. Par contre – très utile! – la vitesse est reprise en mode digital (avec des chiffres de 3 cm de hauteur!) sur l’écran de l’ordinateur de bord logé juste sous le tachymètre. Et la stéréo Blaupunkt développe 200 watts par 10 haut-parleurs.
Tous les éléments intérieurs paraissent avoir été ajustés avec soin. Dommage toutefois que les lisières des cadrans, de la console, des orifices d’aération latéraux ainsi que les inserts des branches du volant n’aient pas été réalisés en aluminium véritable.
Mise à feu
Dès le tour de clé, la voiture invite au voyage… soutenu! On reconnaît sans équivoque le grognement du 8-cylindres de la Corvette. Bien calibré, il n’est jamais dérangeant. La filtration des bruits est d’ailleurs un des points forts de la voiture. Malgré les longues portes (et donc les longues vitres) caractéristiques d’un coupé de cette taille (482 cm), les nuisances aérodynamiques latérales sont remarquablement contenues. Il n’est pas nécessaire de revenir une fois de plus sur les caractéristiques et les propriétés du superbe 8-cylindres LS1 qui délivre sa puissance de manière progressive. A tous les régimes, ce moteur ne donne jamais l’impression de ne plus vouloir pousser. Délectable!
La GTO procure donc des plaisirs en voie de disparition dans une quatre-places qui plus est très abordable. Le prix de la voiture – y compris la seule option, la boîte manuelle (695 $ ou 860 francs) dépasse très légèrement les 33 000 dollars (40 870 francs). Par comparaison, c’est, aux Etats-Unis, respectivement 17 600 $ (21 797 francs), 21 180 $ (26 231 francs) et 22 625 $ (28 021 francs) moins cher qu’une Audi S4, qu’une Mercedes C32 AMG et qu’une BMW M3! Le mot «exceptionnel» vient taquiner l’esprit… surtout qu’au niveau du comportement et des performances, la GTO n’a pas à rougir face à ce prestigieux trio d’allemandes. Si, avec une répartition AV/AR de 55/45 %, elle n’affiche pas le parfait équilibre de la BMW, la GTO n’en dégage pas moins une forte impression de neutralité. Dépourvue d’assistance électronique – sauf l’antipatinage – elle requiert toutefois une stricte concentration sur revêtements glissants. Avec 350 ch sous la pédale, le «self control» prend ici toute son importance. Légèrement plus lourde (1690 kg) que la C32 pour une puissance quasi égale, elle ne lui rend que deux petits dixièmes de seconde que ce soit pour passer de 0 à 96,5 km/h (60 mph) ou pour le sacro-saint quart de mille (402 m) qu’elle abat en 13,8 s avec une vitesse terminale de 167 km/h. Mais l’avantage principal va au couple phénoménal affiché par la Pontiac. Grâce il est vrai à une cylindrée nettement supérieure (5,7 l), il culmine à 495 Nm à 4000 tr/min contre 450 à la meilleure des teutonnes. Une qualité qui rend presque tout passage de rapport optionnel! Ce qui peut arranger certaines choses car la boîte Tremec T-56 n’est pas dotée d’une précision sans faille. Mais il est vrai qu’avec 4000 km à peine dans les engrenages, on peut la considérer comme étant toujours en rodage. Si le mouvement du levier est un peu long, l’étagement des rapports par contre est idéal. Notons que le conducteur moins sportif peut opter pour une boîte automatique hélas d’un autre âge puisqu’elle ne propose que 4 rapports.
Une bonne base
Basée sur les Commodore et Morano qui utilisent elles-mêmes une plateforme allongée de l’Opel Omega, la GTO fait dans le clas-sicisme: MacPherson à l’avant et triangles obliques avec leviers transversaux et amortisseurs à l’arrière. Et comme il se doit sur une hypersportive, deux barres stabilisatrices.
Le freinage est assuré par quatre grands disques (Ø AV 29,7 cm ventilés – et 28,7 cm AR). A froid, la pédale surprend par une course plutôt longue et par son caractère spongieux mais cette sensation disparaît très rapidement pour conférer un bon sentiment de sécurité, étayé par d’excellents pneumatiques BF Goodrich g-Force T/A KDWS 245/45ZR-17.
La direction à crémaillère est satisfaisante sauf en son point milieu par vent latéral où elle n’est pas un parangon de stabilité. Mais dans l’ensemble, elle est très précise et contribue grandement au plaisir de conduite.
Un tarif canon!
Il ne fait aucun doute que Pontiac atteindra aisément ses objectifs de vente (18 000 exemplaires), limités par les capacités de production en Australie.
D’un point de vue esthétique, mécanique, dynamique et pécuniaire, la nouvelle GTO est une réussite. Unique de surcroît. En 13 secondes (le temps qu’il faut à la GTO pour passer de 0 à 160 km/h), essayez de trouver une voiture dans cette gamme de prix qui soit à la fois une propulsion, un coupé deux portes à 4 vraies places et qui propose un V8 à un tel tarif! Bonne chance…


Revue Automobile, édition 1/2/2004




Un vulgaire copier/coller, j' ai la flemme [img]graemlins/sleep.gif[/img]
Mais bonne nouvelle

[Invité]

33.000 dollars, ca fait pas 40.000 francs! [img]graemlins/buck.gif[/img] [img]graemlins/evillaugh.gif[/img]

Sinon 167km/h ca fait pas beaucoup pour une voiture avec un V8, quand on sait que les rivales allemandes atteignent sans pb le 250...

Mais sinon un V8 a ce prix la, je dis bravo! [img]graemlins/applause.gif[/img] [img]graemlins/thumb.gif[/img]

[Invité]

Elle atteint 167 km/h après avoir parcouru 400m, ce n'est pas sa vitesse maximum !

[size="1"][ 09. janvier 2004, 21:08: Message édité par : Dule ][/size]

[rockindé]

160 km au 400 mètres DA c' est la vitesse "moyenne" atteinte par bon nombre de muscle-cars...Il risque d' y avoir du sport

Vu que l' euros est plus fort que le dollars, on doit avoir un rapport prix performance digne d' une Subaru Impreza WRX....A quand la victoire lors d' une élection de la sportive de l' année sur Echappement [img]graemlins/buck.gif[/img]

[size="1"][ 08. janvier 2004, 21:14: Message édité par : rockindé ][/size]

[Invité]

</font><blockquote>citation:</font><hr /> Les corvettes sont considérées comme des Sport-cars et non comme des muscles cars.

Les mustangs et Camaros sont des Pony Cars

Les GTOs, Chevelles, Cuda, charger... sont des muscle cars.

POURQUOI ???? Je ne sais pas, elles ont souvent les même moteurs et finitions. </font>[/QUOTE]Le terme Muscle car est un terme générique englobant toutes les voitures ayant
- un "gros moteur" et bcp de chevaux.
- une caisse de la série "intermédiaire" : par exemple les Chevelle chez Chevrolet (pas les Impala qui sont des "full size") ou les Tempest GTO chez Pontiac. C'est cette dernière qui a ouvert la voie à toutes les autres à partir de 64.
- Tous les muscle cars étaient proposés à des prix abordables contrairement aux sport cars (voir + loin)

Si on fait une voiture d'allure sportive (j'ai bien dit visuellement..) à partir d'une "compacte" (voitures plus petites que les intermédiaires), on obtient un pony-car, par ex. Mustang, Camaro, Javelin, Cougar, peu importe le moteur (6 cyl, V8) Mais si en plus y'a un gros moteur ces pony cars se transforment aussi en muscle cars !!

Les Sport cars sont des voitures ayant seulement 2 places comme les Corvette ou les T. Bird (1° génération). Vu le prix elles ne peuvent être rangées dans les muscle cars.
De même et toujours à cause du prix (et d'une finition trop luxueuse..) les Chrysler 300 "letter", les Buick Riviera ne sont pas non plus des muscle cars "stricto sensus" , même si elles en ont les performances !!

[rockindé]

Ford Mustang GT-R Concept sur votre bureau, ça vous dit

http://www.highresautoimages.com/ford/mustanggtr.html

[Invité]

Y revient de loin ce topic! [img]graemlins/biggrinking.gif[/img]

Elle a pas de la gueule hein?