Le modèle 66-67 a heureusement perdu ses grilles de refroidissement des freins sur les ailes remplacées par les ouïes sous les phares. Les deux bols Cibié longue portée faisaient impression en leur temps !
Ces clignotants Export surchargent un peu l'avant mais sont élégants.
Le cabriolet usine n'a pas les "plus" Chapron, qui pour certain sont des "moins"...
La baguette chromée courant de l'aile avant à la portière, et surtout les bas de caisse alu gaufrés.
On reconnait aussi les vraies Chapron au pare-brise plus bas. Quel cout démesuré pour cette seule transformation ! Henri Chapron était alors un monsieur d'un certain âge, qui savait ce qu'il voulait sur ses voitures !
Il faut aussi regarder l'intérieur des voitures de carrossiers, et leur capote s'il y a, c'étaient aussi de grands selliers notamment chez Chapron.
Certains prix d'enchères atteignent aujourd'hui des valeurs que certains risquent de regretter même si l'on n'est pas encore en haut d'une courbe pour certaines marques ou modèles. Seule l'historiquement exceptionnel n'a pas de prix, le reste est affaire de marché. Une DS même rare et jolie reste une voiture de grande série.
On attendait le berline SM de Citroën, ce fut Chapron qui la fit. La masse du coupé permet cette allongement et cela lui va bien.
Je n'en dirais pas autant de la DS La Lorraine au-dessus... Le modèle Majesty des berlines DS Chapron était bien plus fine que ce machin affublé d'un coffre-fort à l'arrière. MAsi quelqu'un osa-t-il dire à Henri Chapron que son dessin était laid ?
C'est etonnant de voir que Chapron avait rajouté des déflecteurs
alors que les aerateurs au de tableau de bord faisaient partie des
originalités de la DS.
Ces déflecteurs étaient probablement posés selon le choix du client.
C'est un des accessoires disparus que je regrette. Cela aérait vraiment la voiture, même par temps de pluie, en plus de vider le cendrier en un rien de temps !
Et puis, plus d'inquiétude à laisser ses clefs à l'intérieur...
Mais ce dernier point servait aussi aux malfaisants !
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