Bonjour, pourquoi une mini ? y'a pas de raison, c'est le genre de chose qui ne peut s'expliquer, la premiére fois que je suis monté dans cette voiture ( 1997-8), c'était celle des parents d'un ami, une Mini Spéciale grise avec super pare-chocs, j'ai toujours eu des yeux de gamin en la voyant et quand j'y suis monté...c'est bizarre mais l'émotion a gommé le "tape cul" de mon esprit et je ne me souviens que du positif. Et puis l'âge du permis est vite arrivé, il y en avait une noire (mayfair probablement) à vendre dans un garage proche de chez moi, beaucoup me voyez déjà l'acheter ( moi le premier), et puis permis en poche (2001), pas assez d'argent pour acheter la mini, donc je reprend la Super 5 de mon frére...hormis une mini à 150 euros a restaurer la en 2002 (projet que j'abandonne vite) la Mini sort de ma vie, mais pas de mon esprit. Quelques années d'études, un diplôme et un travail plus tard, le temps et revenu de repenser serieusement à la mini. L'argent aidant à réaliser les rêves en mieux, la British open me tend les bras. Epluchage d'annonce, nuit blanches, ... voilà je la trouve, à à peine 5 kms de chez moi, une Rover Mini British Open de 1994 AVEC PARE-LAPIN ( la cerise sur mon gâteau). J'en prend possession le 27 décembre 2007, un magnfique cadeau de Noël ( merci à l'ancienne propriétaire). Premiers tours de roues exceptionnels, 15°C dehors, un rayon de soleil et le toit ouvert, du Bonheur à l'état pur. Passé le temps de la prise en main, ce n'est que du plaisir à conduire, avec son capot et ses phares, de l'interieur on se croirait dans une porsche, on fait corps avec. Mars 2008, un souhait de longue date que je réalise enfin , aller en angleterre en Mini, 800 km aller retour, pour une semaine de vacances à Londres ( Procahin projet: c'est Douvres->Ecosse en Lotus seven, mais on n'y est pas encore...avant au moins dix ans). Un temps de londoniens à notre arrivée ( Soleil, pluie grêles, en 15 minutes se succédent...ouf), les beatles et fool's garden dans la radio pour une entrée dans Londres en conquérant. Le plaisir commence, là où s'arrête la raison...