Pour être beautifully made, c'est beautifully made ! Un peu Hollywood même !
Il a fallu attendre le début des années 70 pour ne plus voir les "clim" car elles commencèrent à être prévues d'origine dans le tableau de bord et non ajoutées.
Enfin, du moment que ça fait du frais !
Behr était aussi le nom d'un personnage dans une aventure de Tintin en Arabie ...
Plus j'en vois, et plus j'aime ces séries 300, a à d.
A la bourse de dimanche dernier, j'ai été abordé par le rabatteur du marchand Munichois, qui m'a demandé si j'avais pris la 300c objet du début de cette rubrique; son commettant non plus, probablement pour les mêmes raisons que moi, même s'il semblait ne pas avoir poussé les calculs aussi loin.
Bref, en un mot comme en cent, c'était le tonneau des Danaïdes........ (même si le "tonneau" est carrossé en limousine: je te vois venir, Huhu ! )
Dernière modification par Invité, 27 avril 2007, 19h59.
Coucou Beluga !
Comme le jeu des glaces déformantes ! J'ai la berlue, j'en vois partout ! Un Beluga accroupi tout ramassé sur le bout de pare-chocs, un Beluga tout en hauteur et à l'envers - comme au cirque ! - sur le butoir et encore un, petit pois, sur l'autre bout !!
On avait évoqué plus haut les différentes versions de cette étonnante voiture. En voici chronologiquement les modèles.
W186 II 3001951 1954 limousine
W186 II 300 Cabriolet D1952 1954 cabriolet 4p
W186 III 300 b1954 1955 limousine
W186 III 300 b Cabriolet D1954 1955 cabriolet 4p
W186 IV 300 c1955 1957 limousine
W186 IV 300 c Cabriolet D1955 1956 cabriolet 4p
W186 IV 300 c longue1956 1957 limousine
W189 300 d1957 1962 limousine
W189 300 d Cabriolet D1958 1962 cabriolet 4p
W189 300 d special version longue toit haut 1960 1961 limousine
Dieu qu'elle était tentante, cette 300 rencontrée à Heidelberg; hélas, à y regarder de très près, l'envie laissait place à la terreur, la rouille bourgeonnant ici et là sous la peinture. Celà semble une fatalité sur ce modèle.
Et encore je ne suis pas allé y regarder par dessous, comme le suggère Sandorf; non pas que l'envie m'en ait manqué, mais l'hommage assidu rendu à la gastronomie locale aurait rendu la chose, comment dire, quelque peu acrobatique...
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