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Formule1 d'hier et d'aujourd'hui

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  • #16
    Re : Formule1 d'hier et d'aujourd'hui

    Afin de donner une belle utilité à ce topic... trouvons des images de F1 d'à peu près aujourd'hui mais avec les livrées d'hier!

    Pour ma part, j'ai quelques montages personnels pour ce sujet.
    Ma Matra F1 est un peu limite, le bleu de l'époque mais pas la livrée exacte retranscrite.


    Pareil pour cette De Tomaso F1


    Moins loin pour cette Coloni F1.


    Par contre, je suis plus proche de l'originale avec cette Venturi Larrousse de 1992...


    La Sauber de 2010 avec les couleurs "test car" de 1993...


    La livrée des Minardi des années 91/92 sur une F1 de ces dernières années...


    Et la Lamborghini de 1991 avec le même traitement.


    Après, on en trouve des tonnes sur internet. Avec le temps, les montages sont devenus d'une qualité parfois exceptionnelles.
    Prost GP

    forumauto

    Des Ligier

    img3.auto-motor-und-sport.de

    Lotus époque Camel

    forum-f1.com

    Florilège...

    forum-f1.com


    L'immanquable livrée rouge et blanche Mclaren

    forum-f1.com

    Renault époque années 80

    forum-f1.com

    Sur Racedepartment, pas mal de réalisations intéressantes, comme cette Jaguar...


    ... Ou cette BRM.


    Sur Forza, on trouve aussi des choses formidables. Comme ceci.
    Benetton


    Jordan de 1991


    Brabham


    Lotus JPS


    Mais je crois que le meilleur, c'est l'illustrateur Sean Bull, qui propose des réalisations en tout genre de façon régulière.
    Fantasy and Retro Livery Designs ------------------------ Buisness: [email protected]


    Coté rétro, par exemple ceci, avec la Tyrrell P34 à 6 roues dans une version contemporaine.


    A compléter...
    Dernière modification par JM 30, 26 janvier 2018, 12h22.

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    • #17
      Re : Formule1 d'hier et d'aujourd'hui

      C'est original
      Avant c'était mieux

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      • #18
        Re : Formule1 d'hier et d'aujourd'hui



        Je mets ici cette photo trouvée chez SMITH en face à défaut de post plus approprié

        Ce qu'il y a d'intéressant outre qu'il s'agit de ICKX sur l'ENSIGN à MOSPORT 1977 c'est que cela ressemble à un entrainement pour changement de pneus alors que cette technique si je me souviens bien n'est régulièrement apparue en GP que suite à l'exploit de PROST à KYALAMI 1982.

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        • #19
          Re : Formule1 d'hier et d'aujourd'hui

          Envoyé par CMTARGA Voir le message


          Je mets ici cette photo trouvée chez SMITH en face à défaut de post plus approprié

          Ce qu'il y a d'intéressant outre qu'il s'agit de ICKX sur l'ENSIGN à MOSPORT 1977 c'est que cela ressemble à un entrainement pour changement de pneus alors que cette technique si je me souviens bien n'est régulièrement apparue en GP que suite à l'exploit de PROST à KYALAMI 1982.
          Est-ce qu'au Canada il n'y avait-il pas un concours de mécaniciens rapidité à changer les roues ?
          Comme il y a eu plus tard un concours de fabrication d'un engin flottant à base de matériel utilisé en F1 .
          Avant c'était mieux

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          • #20
            Re : Formule1 d'hier et d'aujourd'hui

            Oui tu as parfaitement raison CAMERAT il s'agit certainement de ça organisé par GOODYEAR.

            Tu as d'autant plus raison que ce n'est pas 1977 comme indiquée par erreur mais 1976 et j'ai souvenir qu'au RICARD où j'étais le dit concours avait opposé SHADOW à BRABHAM.

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            • #21
              Re : Formule1 d'hier et d'aujourd'hui

              Belle époque où il y avait tellement de F1 qu'il n'y avait pas assez de stands.....



              ZANDVOORT 1977 Trouvé chez SMITH en face ( MERCI)

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              • #22
                Re : Formule1 d'hier et d'aujourd'hui

                Envoyé par CMTARGA Voir le message
                Belle époque où il y avait tellement de F1 qu'il n'y avait pas assez de stands.....



                ZANDVOORT 1977 Trouvé chez SMITH en face ( MERCI)
                Il n'y avait que 30 stands à Zandvoort autrefois ?
                (34 F1 aux qualifs en 1977)
                Avant c'était mieux

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                • #23
                  Re : Formule1 d'hier et d'aujourd'hui

                  MARANELLO est-ce toi BOUM BOUM chez WOOKEY? Si c'est bien le cas tu sas parfaitement raison il n'y a jamais eu de 312 B1.

                  Commentaire


                  • #24
                    Re : Formule1 d'hier et d'aujourd'hui

                    Bonsoir, formule 1 d'hier et ses anciens circuit. Démolition en ce moment des anciennes tribunes du virage de Stavelot. Encore une page qui se tourne.

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                    • #25
                      Re : Formule1 d'hier et d'aujourd'hui

                      Envoyé par CMTARGA Voir le message
                      MARANELLO est-ce toi BOUM BOUM chez WOOKEY? Si c'est bien le cas tu sas parfaitement raison il n'y a jamais eu de 312 B1.
                      Bouboum, pas boumboum.

                      Bien entendu qu'il n'y a pas eu ni de B1, ni de T1, pas plus que de 126 C1.

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                      • #26
                        Re : Formule1 d'hier et d'aujourd'hui

                        Le sieur british que tu as affronté est d'une particulière mauvaise foi et refuse d'avoir tort. Je l'ai vu retirer son message parce qu'on lui a indiqué qu'il s'était trompé c'et dire la mentalité du bonhomme ....

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                        • #27
                          Monza 4-5-6 septembre 1970 (par John Miles).




                          "Le soleil était bas lorsque le Trident British Airways, vol 062, atterrit à l’aéroport de Milan Linate le jeudi 3 septembre 1970. Il faisait chaud et humide, comme il semble que ce soit toujours le cas en Italie. Je jetai un œil dans le cockpit baigné de pénombre où le pilote et le co-pilote remplissaient leurs plans de vol de retour. Ils seraient à la maison ce soir, les veinards.

                          Jochen était au sommet. Il régnait sur le championnat du monde. Sa confiance était inébranlable. Il venait de marquer une fantastique série de victoires qui avait débuté à Monaco sur une Lotus 49C, puis sa nouvelle 72 s’était mise à voler. Victoires à Zandvoort, Charade, Brands Hatch et Hockenheim. Jochen Rindt semblait indestructible, vu de l’extérieur.
                          Mais il ne faut pas se fier aux apparences. J’avais le sentiment que nous avions essuyé trop de casses. Les modifications constantes et les mises à jour – auxquelles s’ajoutaient la surcharge d’une troisième auto pour Emerson Fittipaldi – étaient le signe d’une activité frénétique et engendraient trop de fatigue chez les mécanos. On ne pratiquait pas comme ça chez nos concurrents, me semblait-il. Une intuition trottait dans ma tête, me disant que les choses ne se passeraient peut-être pas aussi bien durant ce week-end.

                          La 72 avait commencé sa carrière entachée de deux défauts de base : une anti-plongée excessive qui agissait sur les freins en les bloquant, et un anti-patinage également trop prononcé engendrant une traction trop faible. Une fois supprimés les systèmes « anti », la voiture a vraiment bien marché – car le reste était parfait.

                          Mais, mon Dieu, qu’elle était fragile ! Nous étions sans arrêt en train de la rafistoler. De plus, le fait de ne pouvoir garder un moteur intact me frustrait (on sut après qu’il y avait un défaut de lubrification). Sur l’Osterreichring, deux semaines avant Monza, un axe de frein s’était rompu sur ma voiture, manquant de peu de me précipiter contre un arbre. Une vibration horrible s’était déclenchée au début de la course. Quand je freinais, la voiture se déportait sans prévenir sur la droite et m’envoyait me bagarrer avec les virages – heureusement que mon ange gardien y veillait. C’en était assez. Chaque fois que je montais dans 72/R1, le moteur pétait ou quelque chose cassait.

                          ... à Suivre !


                           

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                          • #28
                            Merci PROSTO pour ce beau témoignage.Il aurait pu aisément s'intégrer dans mon carnet 1970...J'attends la suite avec impatience (PS GRANDPRIXPHOTOS en a mis de nouvelles ?)

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                            • #29
                              Ah oui CM TARGA ! Voici la suite !

                              J’avais demandé à la merveilleuse Trish, du Team Lotus, de me réserver une chambre calme à l’arrière de l’Hôtel de la Ville, afin d’en finir avec les lumières des feux de signalisation et des courses de mobylette toute la nuit. Je n’ai pourtant pas fermé l’œil, n’arrêtant pas de songer à Bruce McLaren, Piers Courage et Paul Hawkins. Piers venait juste de me doubler quand il s’est crashé. Et maintenant je suis à Monza, théâtre de combats de titans, fief des tifosis. Je n’aime pas cet endroit. Est-ce un circuit automobile ou une arène de chars, style Ben-Hur ? Quelle est la différence ?

                              Vendredi matin. Il y avait une superbe suspension dans la salle à manger et un lot de boiseries anciennes. N’ayant pas aperçu Jochen au petit-déjeuner, je suis parti au circuit, seul. Les tifosis étaient déjà à l’œuvre, tentant d’escalader les grillages. L’un avait du sang sur les mains. Aucun camion Gold Leaf Team Lotus n’était en vue. Pas de chef mécano Gordon Huckle, ni Dave « Beaky » Sims, non plus Eddie Dennis. Tous les autres étaient là, par contre. Graham Hill avait essayé sa Lotus 72 Rob Walker plus tôt dans la semaine ; je notai ses spécifications aérodynamiques : ailerons avant plats et section centrale de l’aileron arrière à trois plans ôtés.


                              Le camion Lotus arriva au paddock peu avant la première séance d’essais. Les gars venaient de s’envoyer 48 heures de route non-stop. Ils avaient l’air épuisé. Ils avaient fourni une grosse somme de travail depuis le GP d’Autriche, outre une 72 à assembler pour Emerson. Les gars étaient en train de régler les rétroviseurs, installaient le siège d’Emerson et faisaient les pleins.

                              Drôle de façon de gagner un championnat du monde, lance Phil Kerr, le team manager de McLaren, alors qu’il passe près de moi. Je suis convoqué au centre médical. Typique absurdité italienne : on me fait mettre sur une jambe, les bras écartés, les yeux fermés. Je n’ai jamais compris pourquoi. Dingue ce truc.





                              Préparation de la Lotus...sans ailerons AR

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                              • #30
                                Suite...

                                Jochen semblait en forme. Il savait le championnat dans sa poche. Nina, son épouse, était là comme d’habitude. Autour de Jochen flottait en permanence comme un air d’urgence. Il explosait très vite. Il détestait les essais ; j’adorais ça. En ce qui me concernait, ma conception du paradis était de tourner à Silverstone pour améliorer une auto. Une auto bien réglée va vite sans faire prendre à son pilote beaucoup de risques. Jochen et moi étions en retard après la première séance d’essais : dans les 1,28 alors que Jacky Ickx était à 1,24.6 en compagnie de Clay Regazzoni et Jackie Stewart dans les 1,25 sur sa Tyrrell 001 dont c’était la première sortie. Mais c’est dans la deuxième séance que les choses se sont sérieusement gâtées.

                                Jochen et moi travaillions sur la vitesse de pointe et nous en étions plus ou moins arrivés aux mêmes conclusions que Graham Hill : ailerons avant et arrière plats, volet central de l’aileron arrière enlevé. Il restait environ une demi-heure d’essais. Les Ferrari étaient devant en 1,24, nous étions deux secondes derrière. Jochen s’arrête au stand pour réclamer davantage de vitesse de pointe. Il avait failli gagner ici l’an dernier sur une Lotus 49 dépourvue d’ailerons. Il exige qu’on ôte ses ailerons.


                                C’est le seul moyen d’aller vite sur ce toboggan, dit-il à Eddie Dennis, son mécano. J’avais perdu un temps fou dans le deuxième Lesmo à cause de la sortie qui est aveugle et qui commande le bout droit menant à l’ultra-rapide courbe Ascari (une chicane maintenant) et à la longue ligne droite qui va vers la Parabolique.



                                C’est alors que j’aperçus Jochen dans mes rétroviseurs. Il restait environ une demi-heure à tourner. Il y avait quelque chose de changé sur sa voiture. J’ai ralenti. Il est passé sous le pont de l’anneau de vitesse dans l’habituel environnement de bruit et de turbulences. Dans Ascari sa voiture était comme folle : l’arrière zigzaguait, elle utilisait toute la piste, même le tarmac où le circuit junior rejoint le grand circuit. Nous nous sommes arrêtés tous les deux au stand. Jochen avait fait 1,25.7, moi 1,26.5. Il était de 500 à 600 tours plus vite en ligne droite sans ailerons. Il voulait maintenant une très longue 5e vitesse pour exploiter au mieux le super DFV à 10 500 tours qu’on lui installerait pour le samedi.

                                 

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